Le projet SAFEMED IV financé par l’UE organise un séminaire pour les pays de la PEV-Sud

SAFEMED IV

Dans le cadre du projet SAFEMED IV financé par l’UE, l’AESM a organisé le séminaire « Med MoU PSC » (mémorandum d’entente méditerranéen sur le contrôle des navires par l’État du port). 

Ce séminaire s’est tenu dans les locaux de l’AESM, à Lisbonne, du 26 au 29 novembre 2018. Au total, 16 participants venus d’Algérie, d’Égypte, d’Israël, de Jordanie, du Liban, du Maroc et de Tunisie ont suivi avec succès le cours de formation.

Dans ce contexte, le séminaire « Med MoU PSC » de SAFEMED IV visait à promouvoir la coopération entre les parties signataires dans la région méditerranéenne et à encourager la mise en œuvre des procédures du mémorandum d’entente méditerranéen.

Cette formation est fondamentale pour diffuser les meilleures pratiques, les opinions, les expériences et les interprétations dans un système d’inspection fondé sur le jugement professionnel des agents chargés du contrôle par l’État du port.

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L’UE contribue à réduire la pollution en Égypte

Nile Delta region in Egypt

Jusqu’à six millions de personnes vivant dans la région du Kitchener Drain, l’une des plus polluées de la région du delta du Nil en Égypte, bénéficieront d’améliorations significatives en matière de santé environnementale grâce à une enveloppe financière conjointe de 168 millions d’euros accordée par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et l’Union européenne (UE).

Un prêt de 79 millions d’euros de la BERD, une subvention à l’investissement de 3 millions d’euros et une coopération technique de 5 millions d’euros de l’UE sont accordés au gouvernement égyptien pour améliorer la gestion des déchets solides municipaux le long des rives du Kitchener Drain. Il s’agit du premier investissement de la BERD dans le secteur des déchets solides en Égypte.

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Lancement officiel d’un livre expliquant l’impact du projet EDU Syria financé par l’UE

EDU Syria

Christos Stylianides, commissaire européen chargé de l’aide humanitaire et de la réaction aux crises, a lancé officiellement le livre « My Story » le 8 décembre au Karama Film Festival, en présence d’Andrea Matteo Fontana, ambassadeur de la délégation européenne en Jordanie.

« My Story » est une initiative menée par des étudiants, qui vise à obtenir une meilleure compréhension des jeunes Syriens et Jordaniens et de leurs aspirations pour l’avenir à travers une exposition qui présente des photos et des histoires de 24 étudiants expliquant comment le projet « EDU SYRIA » financé par l’UE a eu un impact significatif sur leur vie.

Le programme de bourses EDU SYRIA a aidé plus de 1 400 étudiants à réaliser leur potentiel éducatif.

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«L’engagement de la diaspora est générateur d’opportunités», Léonard Leveque, DiafrikInvest

Pour Léonard Leveque, DiafrikInvest est un link de choix entre l’écosystème entrepreneurial du Sénégal et sa diaspora consciente du potentiel économique de leur pays d’origine.

«L’engagement de la diaspora est générateur d’opportunités», Léonard Leveque, DiafrikInvestPouvez-vous nous faire une présentation du projet DiafrikInvest et de ses objectifs ?

Le projet DiafrikInvest a pour ambition d’accélérer et d’accompagner la mobilisation des hauts talents, des entrepreneurs et des investisseurs de la diaspora pour dynamiser les relations d’affaires entre l’Europe, le Sénégal, le Maroc, la Tunisie et contribuer ainsi au développement économique. Une quarantaine d’opérations, à destination des entrepreneurs locaux et de la diaspora, des investisseurs et des institutions du Sénégal, du Maroc et de la Tunisie, sont réalisées depuis décembre 2016 et ce, jusqu’en décembre 2019.

DiafrikInvest est là pour apporter des réponses, par l’accompagnement des entrepreneurs de la diaspora, mais également en travaillant avec les institutions sur leur stratégie Diaspora et les dispositifs d’accompagnement. Cette initiative offre aussi une gamme de possibilités aux talents de la diaspora pour s’engager : partager son expérience en tant que mentor auprès de jeunes entrepreneurs, influencer l’environnement des affaires, se connecter aux innovations, ou encore co-investir…

Doté d’un budget de 2,2 millions d’euros, le projet est cofinancé à hauteur de 90% (soit 2 millions d’euros) par l’Union européenne, à travers la Direction générale du développement et de la coopération, suite aux engagements pris dans la Déclaration de Rome qui a initié une nouvelle phase du processus de Rabat pour 2015-2017, dont l’un des axes principaux est de renforcer le lien entre migration et développement. Le projet est coordonné par ANIMA Investment Network dans le cadre d’un consortium constitué de six partenaires, dont le Centre des Jeunes Dirigeants du Sénégal.

ANIMA travaille depuis plus de 10 ans sur la thématique Diaspora et poursuit aujourd’hui son action au travers de l’initiative DiafrikInvest.

Pourquoi avoir choisi le Sénégal pour tester le projet ?

Le réseau ANIMA réunit 80 membres présents dans 18 pays de la zone euro-méditerranéenne et fédère les agences gouvernementales et régionales de promotion des territoires, des fédérations d’entrepreneurs, des pôles d’innovation, des investisseurs et des instituts de recherche. L’objectif d’ANIMA est de contribuer à une amélioration continue du climat des affaires et de l’investissement et à un développement économique durable et partagé en Méditerranée et en Afrique.
Dans ce contexte, le Sénégal nous a semblé être un pays particulièrement dynamique pour mettre en œuvre le projet DiafrikInvest, notamment en raison de l’énergie et l’implication de sa diaspora, mais également, parce que le Sénégal voit son écosystème d’innovation se développer de manière exponentielle.

On assiste, depuis les années 2000, à une prise de conscience croissante des pays d’origine sur le potentiel économique de sa population résidente à l’étranger, mais aussi du capital humain que représente cette diaspora. C’est spécialement le cas au Sénégal, où l’on constate que l’engagement de la diaspora est générateur d’opportunités et peut donner lieu à des partenariats d’affaires et stimuler de nouveaux échanges commerciaux ou encore des investissements. La diaspora sénégalaise partage aussi des compétences ou favorise le transfert technologique.

Ainsi, fin 2018 et durant l’année 2019, le projet DiafrikInvest au Sénégal organisera différentes activités, dont une réunion de concertation des acteurs publics et privés travaillant sur l’entrepreneuriat des diasporas, et la possibilité pour des porteurs de projets sénégalais d’accéder à un forum d’affaires et à des opportunités de rencontrer de potentiels investisseurs en Europe et en Afrique.

Par Amayi Bad -Source de l'article Réussir Business

Châteauroux : le cinéma méditerranéen a trouvé sa place

Les deuxièmes Rencontres du cinéma méditerranéen ont lieu les 27, 28 et 29 janvier aux CGR. Trois films sont au programme.

Résultat de recherche d'images pour "Châteauroux : le cinéma méditerranéen a trouvé sa place"Les organisateurs des Rencontres du cinéma méditerranéen de Châteauroux ont hâte d’y être. En effet, qu’on parle de Châteauroux Métropole, des cinémas CGR ou du collectif Frontières, qui regroupe la Ligue des droits de l’homme, la Fol 36, la MLC Belle-Isle, l’Association castelroussine pour la gestion des centres socioculturels, le Prij de Déols, le service culturel de la Ville de Châteauroux, l’Agec Equinoxe-Apollo et des compagnies artistiques locales, tous sont fiers de la programmation proposée et espèrent que, comme eux, le public sera conquis.

« Nous avons choisi des films forts, et qui le sont pour des raisons différentes, explique Ahmed Abourahim, de Châteauroux Métropole. La Méditerranée, c’est un peu le symbole de la liaison entre les peuples. Et c’est ce lien que nous avons voulu recréer durant ces Rencontres. »

Au programme, donc, des films originaires de Tunisie (Vent du Nord), du Liban (Capharnaüm) et d’Israël (The Cakemaker). Pour Jean-François Mémin, maire-adjoint en charge de la culture, « pas de doute, quand on crée de la convivialité internationale, la magie opère. Ces films sont rassembleurs, touchants, graves, et même parfois drôles, notamment The Cakemaker. »

Émotions en perspectiveStéphane Castro, directeur des cinémas CGR, s’attend à ce que le public vive beaucoup d’émotions : « Ce sont des films qui ne vont pas laisser indifférents, c’est évident. S’il est nécessaire qu’on prolonge l’un ou l’autre à l’affiche, on le fera ».

Chaque film sera diffusé une fois au cours des trois jours des Rencontres qui remplacent finalement le festival du film israélien qui, de l’avis des organisateurs, « était arrivé à bout de souffle ».

Par Christophe Gervais. Source de l'article La Nouvelle République

Rapport sur les relations UE-Égypte: Investir dans le développement socio-économique et la croissance inclusive

EU-Egypt flags

Le rapport sur le partenariat entre l'UE et l'Égypte pour la période allant de juin 2017 à mai 2018 a été publié et met en évidence les principaux développements dans la coopération UE-Égypte en se concentrant plus particulièrement sur la réalisation des objectifs définis dans le cadre des Priorités de partenariat 2017-2020 adoptées au cours du Conseil d'association UE-Égypte, en juillet 2017. 

Au cours de la période couverte par le rapport, l'engagement de l'UE envers l'Égypte a été réaffirmé à travers des dialogues politiques réguliers, des visites bilatérales des parties UE et égyptienne et la poursuite de la mise en œuvre de l'assistance financière de l'UE.

L'Égypte a également continué de s'engager en tant qu'acteur régional sur des questions régionales et internationales essentielles, notamment dans la perspective de sa présidence de l'Union africaine l'année prochaine, telles que le processus de paix au Moyen-Orient, la Syrie, la Libye, l'Afrique, la situation dans le Golfe et la coopération euro-méditerranéenne.

Globalement, les conclusions du rapport montrent que la mise en œuvre des domaines prioritaires est bien avancée, des difficultés notables subsistant cependant en ce qui concerne l'État de droit, les droits de l'homme, les libertés fondamentales et l'espace dévolu à la société civile. Le prochain Conseil d'association UE-Égypte, qui se tiendra à Bruxelles le 20 décembre, sera l'occasion d'approfondir la discussion sur le partenariat UE-Égypte pour les mois à venir.

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Le projet Kafaat Liljamia, financé par l’UE organise un séminaire sur l’Innovation Sociale dans la Formation Professionnelle

Le projet Kafaat Liljamia, financé par l’UE

Le projet Kafaat Liljamia, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par le British Council et l’Agence Espagnole de Coopération Internationale AECID, a organisé, le 11 Décembre à Tanger un séminaire ayant pour thème «Innovation Sociale dans la Formation Professionnelle: Exemples d’approches et de pratiques inclusives».

L’innovation sociale, thème de ce séminaire, consiste à faire preuve d’inventivité afin d’apporter une réponse nouvelle à des problèmes d’ordre économique et social encore non satisfaits, que ce soit par le marché ou par l’Etat. Le secteur de la formation professionnelle est plus que jamais confronté à ce besoin d’innovation pour mieux répondre aux attentes des populations exclues de l’emploi et en situation de vulnérabilité.

En écho à cette préoccupation, Mr Stephan Veran, Chef du projet Kafaat Liljamia indique que « Le séminaire a pour but de mettre en avant des expériences, des projets nationaux ou internationaux (Royaume-Uni, Espagne, Finlande…) mais aussi marocains ayant intégré une démarche d’innovation sociale dans le domaine de la Formation Professionnelle, avec pour toile de fond la question suivante : comment aborder concrètement la formation et l’acquisition de compétences techniques et comportementales de façon nouvelle, afin de leur faire jouer pleinement leur rôle d’outil pour l’emploi et afin de faciliter l’inclusion des populations les plus vulnérables ? ».

Le projet Kafaat Liljamia – vers un système de formation professionnelle marocain de qualité, inclusif et axé sur le marché du travail, a été initié en Août 2017. Il est financé par l'Union européenne à hauteur de 2,4 M€, dans le cadre de son Programme d'Appui à la Formation Professionnelle pour le Développement du Capital Humain au Maroc, d'un montant global de 60 M€.

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L’UE soutient l’autonomisation et l’intégration des personnes handicapées en Égypte

The EU supports the empowerment and inclusion of persons with disabilities in Egypt

L’Union européenne en Égypte, avec ses partenaires, a commémoré la « Journée internationale des personnes handicapées », célébrée chaque année le 3 décembre. 

Cela s’inscrit dans le droit fil de l’engagement ferme de l’UE à soutenir l’inclusion et la pleine participation des personnes handicapées dans la société.

L’UE, avec son partenaire institutionnel, le Conseil national pour les personnes handicapées, et les institutions de ses partenaires de mise en œuvre, Handicap International et la Fondation Drosos, ont célébré cette occasion par une manifestation organisée conjointement au Warraq El Hadar Youth Club à Gizeh où plusieurs actions de soutien aux personnes handicapées ont eu lieu. L’événement était organisé sous le thème « Ensemble, pour autonomiser les personnes handicapées » et proposait des activités pour les personnes handicapées, notamment des sports, des jeux et un spectacle de talents, ainsi qu’une table ronde sur l’autonomisation et l’inclusion.

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EBSOMED : les PME euro-méditerranéennes, principal moteur du développement économique de la région


C’est sous le thème « Plaidoyer pour un rôle majeur des PME Euro-Méditerranéennes comme principal moteur du développement économique de la Région » que l’Union Méditerranéenne des confédérations d’Entreprises a organisé le Roadshow MED BUSINESS DAYS le 10 janvier 2019 à Alger.

Organisés dans le cadre du projet EBSOMED avec la participation de plusieurs entreprise Tunisiennes et des experts Tunisiens, les MED BUSINESS DAY ont été inaugurés par les discours de bienvenue de Mme Saida Neghza, présidente de BUSINESSMED et la Confédération générale des entreprises algériennes, CGEA, de M. Vincenzo Boccia, président de la CONFINDUSTRIA.

Mme Monia Eldjandoubi , attachée Coopération à la Délégation de l’Union européenne en Algérie a quant à elle présenté les différentes actions de la commission dans la zone et souligné les synergies possible entre ces actions et le projet EBSOMED. 

La séance d’ouverture a mis en lumière les principaux problèmes rencontrés par les PME de la région euro-méditerranéenne et a été suivie par des ateliers parallèles avec des interventions d’experts dans les quatre secteurs concernés notamment le digital et la transformation numérique qui est en train de réinventer le modèle économique. Les intervenants ont également présenter leurs recommandations et leurs perspectives autour de l’avenir de la Méditerranée en présence des nouvelles technologies.

Environ 200 réunions B to B ont également été organisées afin de permettre aux participants de rencontrer des partenaires potentiels, des entreprises, des investisseurs, des associations professionnelles et divers acteurs économiques au niveau de la Méditerranée et ainsi identifier de nouvelles opportunités.

EBSOMED en bref 

EBSOMED est un projet de quatre ans cofinancé par l’Union Européenne, coordonné par l’Union Méditerranéenne des Confédérations d’Entreprises (BUSINESSMED), dans le cadre d’un consortium de 6 partenaires : EUROCHAMBRES (Association des Chambres Européennes de Commerce et d’Industrie); ASCAME (Association des Chambres de Commerce et d’Industrie de la Méditerranée); ANIMA Investment Network; CAWTAR (Centre de la Femme Arabe pour la Formation et la Recherche); GACIC (Chambre Germano-Arabe de Commerce et d’Industrie).

Source de l'article THD Tunisie

Dialogue 5+5: la sécurité en Méditerranée est “indivisible et interdépendante”


La sécurité en région méditerranéenne est “indivisible et interdépendante”, a souligné, vendredi à La Valette (Malte), le Ministre des Affaires Etrangères, Abdelkader Messahel.

Intervenant en sa qualité de coprésident de la 15ème Conférence des Ministres des Affaires Etrangères (MAE) du Dialogue 5+5, le chef de la diplomatie Algérienne a rappelé que “la sécurité en région méditerranéenne, en tant qu’espace commun entre les pays des deux rives, est indivisible et interdépendante”, et mis en exergue, par conséquent, “l’importance d’une coopération régionale sur ce qu’il y a lieu d’entreprendre en termes d’approches et d’actions pour mieux prendre en charge les préoccupations, notamment au plan sécuritaire de notre région”.

“L’aggravation de la crise migratoire en Méditerranée nous interpelle à plus d’un titre et exige une prise en charge solidaire et efficace de ce phénomène à travers une approche globale, que mon pays a toujours prônée, qui allie à la fois les impératifs de sécurité, de développement et de respect de la dignité humaine”, a poursuivi le MAE.

Messahel a ajouté que “l’Algérie, qui est devenue ces derniers temps un pays de destination, déploie d’importants efforts et sur ses fonds propres, pour sécuriser ses propres frontières et lutter contre la migration illégale”.

Il a également averti que “l’Algérie, qui a mobilisé d’importants moyens pour faire face aux flux de migrants irréguliers, ne saurait tolérer, et en aucune manière, qu’il soit porté atteinte à sa sécurité par des groupes de pseudo-migrants impliqués dans ce qui se passe dans certains pays de la région”.

Sur cette même question, le chef de la diplomatie Algérienne a estimé que “le Sommet de Malte sur la migration entre l’Afrique et l’Europe, même s’il a permis de prendre conscience de la gravité de ce phénomène et de l’urgence d’y faire face, n’a pas prévu d’engager une vraie dynamique qui serait à même d’apporter des réponses appropriées, efficaces et durables pour traiter la question de la migration irrégulière”.

Et de conclure en réitérant “la conviction de l’Algérie que les efforts concertés et solidaires devraient être orientés vers le traitement durable des causes profondes du phénomène migratoire, à travers la résolution des crises, le développement des partenariats et la promotion de la mobilité entre les deux rives voisines de la Méditerranée occidentale”.

Source de l'article Lakoom info

Un module de formation de l’EUNAVFOR MED pour la marine libyenne en Italie

Training module for the Libyan Navy carried out in Italy - Operation Sophia

À l’école navale italienne de La Maddalena (Italie), un module de formation a été clôturé le 30 novembre 2018, en présence de la ministre italienne de la Défense, Elisabetta Trenta, du chef de la marine italienne, le vice-amiral Valter Girardelli, et du chef des garde-côtes libyens et de la sécurité portuaire, le commodore Abdalh Toumia.

Le module, composé de deux cours différents intitulés « Officiers de pont » (Deck Officers) et « Agents d’entretien » (Maintainers) et dispensés sur une durée totale de huit semaines, visait à fournir à 64 militaires les connaissances et la formation nécessaires pour mener des activités de routine à bord d’un patrouilleur offshore, avec des leçons particulières axées sur les droits de l’homme, les premiers secours de base et la politique de genre. 

Dans le cadre plus large du module de formation 2, la première « formation active sur les questions de genre » (Active Training on Gender issues) a été organisée par l’EUNAVFOR MED opération SOPHIA au profit du personnel libyen appartenant à la garde côtière et à la marine. 

Avec la conclusion positive de ce module, un total de 320 garde-côtes et marins libyens ont pu être formés par l’EUNAVFOR Med. Enfin, l’état-major de l’opération Sophia coordonne un autre module de formation à Split (Croatie), axé sur les techniques de plongée à l’attention de cinq plongeurs militaires appartenant à la marine et aux garde-côtes libyens.

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L’organisation CIDPM, cofinancée par l’UE, publie un article sur la migration et la mobilité

11th GFMD Summit

Cette semaine, les experts du CIDPM sont à Marrakech pour participer au 11e Sommet du FMMD co-présidé par l’Allemagne et le Maroc.

Le CIDPM est une organisation internationale comptant 17 États membres, plus de 200 membres du personnel, une mission à Bruxelles, ainsi que des bureaux régionaux et des représentants dans toute l’Europe, l’Afrique du Nord, le Moyen-Orient et l’Amérique latine. 

Le Centre reçoit des fonds de ses États membres, de la Commission européenne, de l’ONU et d’autres institutions multilatérales, ainsi que de donateurs bilatéraux. Le CIDPM possède le statut d’observateur auprès des Nations Unies et coopère avec plus de 200 partenaires, y compris les institutions de l’UE et les agences des Nations Unies.

Lisez l’article « Plaider en faveur d’une coopération régionale en matière de migration et de mobilité », rédigé par les experts sur la base du document qui sera présenté lors d’une table ronde mercredi prochain. 

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La Banque européenne pour la reconstruction et le développement stimule le commerce en Égypte

Egypt

La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) renforce son soutien aux exportateurs et aux importateurs égyptiens en accordant une facilité commerciale de 50 millions de dollars à la Banque internationale pour l’Afrique arabe (Arab African International Bank – AAIB) en Égypte dans le cadre du programme de facilitation du commerce de la BERD (Trade Facilitation Programme – TFP).

Grâce à ce mécanisme, la BERD émettra des garanties en faveur des banques commerciales internationales couvrant le risque de paiement politique et commercial des opérations effectuées par l’AAIB et fournira le financement des opérations d’exportation et d’importation.

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Le monde autour de la Méditerranée - Revue «Gibraltar»


La revue «Gibraltar» vient de publier son 7e numéro, en ce début d'année 2019

Une édition toujours remarquable par ses photographies et ses articles qui nous parlent de ce monde méditerranéen tel qu'il fut ou tel qu'il est, authentique creuset de la «civilisation» universaliste et mondiale. 

Ce n°7, d'une richesse incroyable, nous offre un kaléidoscope d'une chaude actualité, celle de gens qui vivent ou survivent dans des conditions précaires : les Arabes du marais mésopotamien en Irak, les Maramures en Roumanie, l'art du massage japonais à Ramallah, en Cisjordanie… 
Ou bien des portraits de ceux qui portent, malgré des chapes de plomb, les voix de la liberté à travers leurs œuvres artistiques ou littéraires… 

Un retour sur l'histoire retrace l'ultime chemin à Port-Bou, en 1940, du grand philosophe Walter Benjamin. 
Sous forme de BD, le long combat à la recherche des restes d'un père fusillé en représailles par les franquistes, en 1939… 

Pour finir par un amusant pastiche sur la relégation (authentique) de ce satané Ovide en Roumanie qui a heurté la bonne morale de l'empereur Auguste avec son «art d'aimer». 

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Contact : www.Gibraltar-revue.com, 17,50 €.

Ambition eurafricaine pour la XIe Journée Création d’Entreprise de Maroc Entrepreneurs


L’association Maroc Entrepreneurs organise la XIe édition de la Journée de la Création d’Entreprise, le samedi 9 février 2019 de 9 h 30 à 18 h 30, à l’ESG Paris, sur le campus de Saint-Ambroise. 

Ce rendez-vous phare clôture annuellement le concours labellisé « Tremplin Maroc » et récompense les porteurs de projet sélectionnés, souhaitant créer ou développer leur entreprise au Maroc. Cette année, la focale est portée sur le partenariat économique ebtre l’Europe, la Méditerranée et l’Afrique.

L’association Maroc Entrepreneurs célèbre ainsi le XIe anniversaire de son concours phare dans l’Hexagone labellisé « Tremplin Maroc », le 9 février prochain à l’ESG Paris (25, rue Saint-Ambroise - 75011 Paris), avec une ambition eurafricaine.

Dans ce contexte, l’association qui suit pas à pas l’évolution socioéconomique du Royaume et accompagne les tendances entrepreneuriales depuis dix-neuf ans, mettra en exergue les opportunités d’investissement au Maroc et son rôle dans la réussite du partenariat économique dans la Grande Région « Europe – Méditerranée – Afrique ».

Le Maroc, « acteur incontournable » du projet « Europe-Méditerranée-Afrique »

L’association place ainsi l’événement sous le thème « Europe-Méditerranée-Afrique : quel partenariat d’avenir pour ce projet commun ? » et renforce sa ligne directrice et sa mission continuelle de promotion de la coopération Nord-Sud.

Sur ce sujet, la présidente de l’association, Bouchra BAYED, déclare : 
« L’ancrage africain du Maroc le place à tous les niveaux en tant qu’acteur méditerranéen incontournable, dans la logique de la coopération triangulaire. 
C’est d’ailleurs pour ce partenariat stratégique, bénéfique et profitable aux deux continents, que le Royaume a toujours plaidé ».

Les perspectives régionales et les coopérations Nord-Sud où la Méditerranée serait le pivot de l’Europe et de l’Afrique, font désormais office de règles incontournables pour le développement de ce partenariat d’exception.

À cette occasion, Son Excellence Chakib BENMOUSSA (Ambassadeur du Maroc en France) et Abdelkrim BENOUTIQ (Ministre des Marocains résidant à l’Etranger) donneront le coup d’envoi de cette nouvelle édition à l’ESG Paris, qui accueillera près de 600 personnes et de très nombreuses personnalités de premier rang (liste non exhaustive) :
  • Mme Valérie PÉCRESSE : Présidente de la Région Ile-de-France
  • Salaheddine MEZOUAR : Président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM)
  • Patrick BERNASCONI : Président du Conseil économique, social et environnemental France (CESE)
  • Jean-Louis GUIGOU : Président de l’Institut de prospective économique du monde méditerranéen
  • Fathallah SIJILMASSI : Ancien Secrétaire Général de l’Union pour la Méditerranée
  • Driss GUERRAOUI : Président du Conseil de la Concurrence au Maroc
  • Mme Ghita LAHLOU : Membre de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et Directrice générale de l’École Centrale de Casablanca
  • Hicham ZANATI SERGHINI : Directeur Général de la Caisse Centrale de Garantie (CCG)
  • Abdou Souleye DIOP : Directeur Associé du cabinet Mazars Maroc
  • Hicham BOUDRAA : Directeur Général de l’Agence Marocaine pour le Développement des Investissements et des Exportations (AMDIE)
  • Mme Hind KADIRI : Spécialiste du développement du secteur privé à la Banque Mondiale
  • etc…
Au programme de cette XIe édition :

des Masters Class pour sensibiliser le large public aux spécificités de l’entrepreneuriat, l’accès au financement et à la création d’entreprise ;

un déjeuner networking pour générer un réseau de contacts profitables ; 
une table ronde traitant du devenir entrepreneurial et des perspectives économiques de cette grande Région « Europe – Méditerranée – Afrique », plaçant le Royaume au centre des attentions et des actions ;

une remise de prix aux projets les plus aboutis. 


Tous les détails du programme et inscription :

Source de l'article Africapresse Paris

Les pays de la Méditerranée occidentale adoptent une feuille de route pour développer une économie bleue durable dans la région

Western Mediterranean countries adopt roadmap to develop sustainable blue economy in the region

Les ministres des pays de la Méditerranée occidentale, ainsi que la Commission européenne et l’Union pour la Méditerranée, ont adopté cette semaine une déclaration visant à renforcer la coopération régionale concernant l’initiative WestMED. 

Cette initiative promeut l’économie maritime en Méditerranée occidentale et associe 10 pays membres de l’UE ou pays tiers (Algérie, France, Italie, Libye, Malte, Maroc, Mauritanie, Portugal, Espagne et Tunisie).

Les signataires se sont mis d’accord sur une feuille de route commune pour le développement d’une économie bleue durable dans le sous-bassin afin de générer de la croissance, créer des emplois et offrir un meilleur cadre de vie aux populations méditerranéennes, tout en préservant les services rendus par l’écosystème méditerranéen.

La feuille de route WestMED identifie six priorités d’action communes aux pays participants, à savoir : le développement des clusters maritimes, la conservation et la restauration de la biodiversité et des habitats marins, la consommation et la production durables, le développement des communautés côtières et la pêche et l’aquaculture durables, le développement et la circulation des compétences, la sécurité maritime et la lutte contre la pollution marine.

Pour en savoir plus
Initiative WestMED– Site internet et infographie

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Réseau Méditerranée Nouvelle Chance (MedNC) : Favoriser l’insertion socio-professionnelle des jeunes NEETs en Méditerranée

UfM Mediterranean New Chance Network to provide concrete solutions to unemployment

Le taux de chômage des jeunes dans la région figure parmi les plus élevés au monde. Il est particulièrement urgent de mettre en place des solutions qui permettent aux jeunes sans emploi, éducation ou formation (NEETs) de trouver une place dans le marché de travail et dans la société.

C’est dans cette optique que l’Institut Européen de Coopération et de Développement (IECD), en partenariat avec le Secrétariat général de l’Union pour la Méditerranée, a organisé la Conférence annuelle du réseau Méditerranée Nouvelle Chance (MedNC) intitulée « Quelles solutions en faveur de l’insertion socio-professionnelle des jeunes NEETs en Méditerranée ? » du 26 au 28 novembre 2018 à Marseille.

La conférence, qui a réuni plus de 70 personnes, dont des représentants ministériels, des autorités locales, des experts ainsi que des fondations d’entreprises, telles que Fondation Nexans, Fondation Total et la Fondaher, a été clôturée par les partenaires institutionnels du réseau MedNC -l’Agence Française de Développement, la Fondation Drosos et l’Union pour la Méditerranée- qui ont tous ont réitéré leur soutien au réseau MedNC.

Le réseau Méditerranée Nouvelle Chance (MedNC), revêt aujourd’hui une importance stratégique pour l’intégration et la stabilité de la région. Soutenu par les 43 Etats Membres de l’Union pour la Méditerranée dans le cadre de l’Initiative Méditerranéenne pour l’Emploi (Med4Jobs), il a été créé afin de répondre aux défis du décrochage scolaire et du chômage des jeunes et, particulièrement, des jeunes sans emploi, éducation ou formation (NEETs). Le réseau MedNC rassemble dix membres provenant de huit pays euro-méditerranéens (l’Algérie, l’Egypte, l’Espagne, la France, le Liban, le Maroc, le Portugal et la Tunisie) tout en visant d’intégrer au moins deux pays supplémentaires en 2019.

L’objectif du réseau MedNC est de rassembler et d’accroître la coopération entre les acteurs de l’insertion socio-professionnelle des jeunes, de renforcer leur compétences grâce à des échanges de bonnes pratiques, et d’accélérer leur essaimage dans les pays euro-méditerranéens.

Pour en savoir plus
L’Union pour la Méditerranée (UpM) - Site internet

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La plateforme « i-Community » est lancée pour les professionnels des clusters euro-méditerranéens

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i-Community, la plateforme collaborative du Cluster Booster Track, est officiellement ouverte. 

Ce réseau social professionnel permettra de mettre en relation les clusters méditerranéens et leurs homologues européens, mais aussi de connecter toutes les organisations intéressées par l’activité des clusters. 

i-Community est une plateforme collaborative créée par France Clusters, partenaire THE NEXT SOCIETY, pour les professionnels des clusters euro-méditerranéens dans le cadre du Cluster Booster Track, le programme de soutien pour les managers de clusters du sud de la Méditerranée proposé par THE NEXT SOCIETY. 
i-Community agit comme un réseau social professionnel connectant les utilisateurs et fournissant à ses membres un espace personnel online qu’ils peuvent alimenter (images, missions en cours, type de structure, etc.). Les utilisateurs peuvent échanger sur leurs success stories, leurs bonnes pratiques ou leurs dernières publications afin de partager avec le reste de la communauté les atouts de leur organisation et des leurs actions en cours.
Le réseau social permet aux membres des clusters de trouver d’autres professionnels qui partagent les mêmes problématiques, objectifs ou intérêts, d’échanger avec eux et de tisser des liens afin de développer, par le biais du partage d’expériences ou du réseautage, des partenariats d’affaires. Chaque membre peut poser échanger avec ses pairs pour améliorer ses opportunités de coopération ou tout simplement publier des informations qui pourront être utiles au reste de la communauté de clusters. 
i-Community propose aussi une base documentaire destinée aux professionnels des clusters qui sera alimentée en continu pour permettre aux professionnels des clusters de gagner en connaissances et en compétences.

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Organisation d’un Conseil des ministres franco-tunisien le 14 février à Paris en présence de Y.Chahed

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SE Olivier Poivre d’Arvor, Ambassadeur de France en Tunisie, a prononcé, le 10 janvier 2019, à la Résidence de France à la Marsa, un discours à l’occasion de la nouvelle année. 

C’était aussi l’occasion de présenter ses vœux à l’ensemble des médias tunisiens et des correspondants de la presse française et francophone en Tunisie. Il a réaffirmé l’appui de la France au secteur des médias en Tunisie. « Comme la démocratie, la presse mérite des moyens parce que sans presse, il n’y a pas de démocratie », a souligné Olivier Poivre d’Arvor. 

Tunisie – France : de nouvelles aventures pour 2019 

L’année 2019 est une année électorale et charnière pour la Tunisie, la France, le Maghreb et l’Europe. Beaucoup de rendez-vous sont prévus pour la coopération tuniso-française. 
L’Ambassadeur de France en Tunisie a annoncé que le chef du gouvernement, Youssef Chahed, se déplacera à Paris le 14 février 2019 dans le cadre du Haut conseil de coopération, mis en place après la visite du Président Emmanuel Macron en Tunisie et la visite du Premier ministre français, Édouard Philippe, en Tunisie en septembre dernier. 

Youssef Chahed, qui aura des entretiens avec son homologue français Édouard Philippe, s’entretiendra également avec plusieurs ministres. Cette visite sera l’occasion d’organiser un conseil des ministres franco-tunisien. C’est une formule de rencontres que la France a adoptée seulement avec l’Allemagne. 

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Olivier Poivre d’Arvor a annoncé aussi l’organisation, le 24 juin 2019 à Marseille, du Sommet des deux rives de la Méditerranée, un projet né en Tunisie. Dix pays de la Méditerranée et des représentants de la société civile et d’ONG se rencontreront. L’idée est d’aller au-delà des rencontres et visites politiques. 

Lancement à Tunis de l’Appel des 100 

A cette occasion, un appel sera lancé à la mi-juin par 100 grandes personnalités (dix de chaque pays participant). L’appel des 100 sera lancé un jour avant le sommet avec une sorte d’avant-première d’ouverture du sommet qui se tiendra à Tunis autour du 14 ou 15 juin 2019. 

L’année sera aussi l’année de la présidence de la France du sommet du G7 (l’Allemagne, Canada, Etats-Unis, la France, l’Italie, le Japon et le Royaume-Uni) qui se tiendra au mois d’août 2019 et auquel est invitée l’Union européenne. Ce sommet sera centré sur la lutte contre les inégalités, pour permettre à chacun(e) d´avoir les mêmes chances dans la vie quelles que soient ses origines, son sexe ou le lieu où il/elle vit, mais aussi pour assurer la stabilité globale et la paix. 

L’ambassadeur français a réuni à Tunis les Ambassadeurs du groupe G7 en format élargi pour évoquer leur coordination dans l’appui apporté par ce groupe à la sécurité, à la stabilité et la prospérité de la Tunisie qui sont les bases indispensables d´une lutte efficace contre les inégalités. 

« La Tunisie a connu toute une série d’expériences d’un nouveau chemin politique portée par une forte société civile. Nous avons un capital confiance vis-à-vis de la Tunisie », a ajouté Olivier Poivre d’Arvor. 

L’Ambassadeur de France en Tunisie a rappelé les principales actions qui ont marqué la coopération économique et politique entre la Tunisie et la France en 2018, notamment la visite du Président Macron en Tunisie. 

Olivier Poivre d’Arvor a rappelé l’engagement de la France au titre d’aide économique et de soutien à l’aide au développement, à la jeunesse et à l’emploi et au secteur des énergies renouvelables en Tunisie. L’année 2018 a été marquée par le lancement de projets innovants dans le domaine culturel et d’éducation comme l’ouverture d’antennes de l’Alliance française dans plusieurs régions. 

« Une antenne sera bientôt ouverte à Gafsa. L’ouverture d’autres antennes est prévue pour les années à venir », a annoncé l’Ambassadeur de France en Tunisie

Par Mohsen Tiss - Source de l'article l’Économiste maghrébin