Les États membres de l’Union pour la Méditerranée approuvent un agenda régional pour l’eau afin de garantir l’accès de tous à l’eau potable

The Union for the Mediterranean Member States approve a region-wide water agenda to help secure access to safe drinking water for all

Les 43 pays de l’UpM ont récemment approuvé un Agenda pour l’eau et une stratégie financière visant à améliorer l’accès à l’eau potable dans la région euroméditerranéenne. 

Incarnant l’effort collectif et le bénéfice de la coopération régionale, l’UpM organisera une série d’ateliers dans toute la région pour présenter l’Agenda pour l’eau et favoriser l’échange des meilleures pratiques en matière de stratégies financières, notamment sur les moyens d’attirer les investissements dans le secteur de l’eau.

Les politiques et les investissements, qui peuvent aider les pays de l’UpM à réaliser des économies plus sûres en matière d’eau et plus résistantes au climat, comprennent une meilleure planification de l’allocation des ressources en eau, l’adoption d’incitations pour accroître l’utilisation efficace de l’eau, ainsi que des investissements dans les infrastructures pour garantir un approvisionnement et une disponibilité en eau plus sûrs.

L’Agenda pour l’eau énonce une série de recommandations techniques et financières visant à mobiliser les investissements et à améliorer l’accès à l’eau dans la région. Les recommandations s’articulent autour de quatre priorités d’action régionales : 1) eau, alimentation et écosystèmes, 2) eau, emploi et migration, 3) conditions sanitaires et d’hygiène, et 4) eau et action climatique.

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Un concert de musique classique pour célébrer l’engagement de l’UE en faveur du patrimoine culturel en Jordanie

Classical music concert to celebrate EU commitment in supporting cultural heritage in Jordan

Petra (Jordanie), un site classé patrimoine mondial, et Matera (Italie), la Capitale européenne de la Culture 2019, sont officiellement jumelées depuis 2011. 

L’Union européenne en Jordanie, l’Italie en Jordanie et « Petra National Trust » ont célébré hier ce jumelage spécial avec un concert de musique classique unique du groupe de renommée mondiale Italian Cello Trio. C’était également l’occasion de célébrer l’engagement fort de l’UE en faveur du soutien et la promotion du patrimoine culturel jordanien.

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Algérie : l’UE contribue à l’insertion professionnelle de personnes porteuses de handicap

Algeria : EU contributes to better professional integration of people with disabilities

Dans le cadre du Programme d'appui jeunesse et en emploi (PAJE) financé par l’UE, 120 malvoyants vont bénéficier de formation dans divers métiers, en vue d'une plus grande intégration professionnelle, dans la wilaya d'Oran.

Le programme PAJE est issu d’une convention de cofinancement signée entre l'Algérie et l’Union européenne en décembre 2012 pour un montant de 26 millions d’euros (dont 23,5 millions d’euros pour la partie européenne et 2,5 millions d’euros pour la partie algérienne). Son objectif principal est de soutenir l’action et les reformes du Gouvernement algérien dans ses politiques nationales en direction de la jeunesse.

Pour en savoir plus
Programme d’Appui Jeunesse Emploi – Site internet
Délégation de l’UE en Algérie - Site internet

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Intra-Africa Academic Mobility Scheme 2019 – Call for proposals is open // Deadline 12 June 2019


world-1303628_640The EACEA (Education, Audiovisual and Culture Executive Agency of the European Commission) has launched the Call for proposals of the Intra-African Mobility Scheme 2019. The full text has been published in the Official Journal (C2019/091/02) and it is accesible in 23 languages here.
This specific scheme promotes the intra-African collaboration, as called for by Agenda 2063, with the objective to foster and enhance the human capital development in Africa. This objective is divided into specific sub-objectives as:
_/ increasing the employability of students;
_/improving the quality of higher education in Africa and its relevance to Africa’s development vision;
_/strengthening the modernisation and internationalisation of African higher education institutions;
_/promote the development of an African higher education and research space.
Within the scheme different types of actions can be implemented, such as mobility of students and staff between Higher Education Institutions (HEIs),  to  help them acquire stronger knowledge and skills and contribute to improve the quality and relevance of teaching and learning, to strengthen the modernisation and internationalisation strategies of HEIs through the establishment of mechanisms to manage the mobility flows, to undertake joint collaboration and research, and other possible outcomes that could derivate.
It is possible to consult the details on eligible applicants and partnership composition, awrads criteria, eligible activities and duration on the website of EACEA.
The deadline is the 12th June 2019 at 12.00 (noon), Brussels time

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ALECA : Le 4e round des négociations entre la Tunisie et l’UE aura lieu du 29 avril au 3 mai 2019

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Le 4ème round des négociations entre la Tunisie et l’Union européenne sur l’Accord de libre-échange complet et approfondi (ALECA), aura lieu du 29 avril au 3 mai 2019 à Tunis, a annoncé, mercredi 3 avril, Hatem Gasmi, représentant du ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche.

Intervenant, lors d’une conférence nationale sur “les effets sociaux et économiques attendus, de l’ALECA, sur le secteur agricole”, organisée à Tunis, Gasmi a fait savoir que, jusqu’à ce jour, les résultats des études, engagées sur ce thème, sont contradictoires, dans la mesure où certaines prévoient des retombées positives sur l’activité agricole, alors que d’autres font état d’effets néfastes.

” C’est pour cela que le ministère de l’Agriculture a lancé une étude globale sur l’ALECA, laquelle est chapeautée par des experts tunisiens. Ses résultats serviront de base pour nos prochaines négociations”, a-t-il avancé, rappelant que “jusqu’à présent, les négociations entre les deux parties sont dans leurs premières phases et n’ont pas dépassé les principes généraux”.

Et d’ajouter que des réformes structurelles doivent être mises en place avant la conclusion de l’accord de l’ALECA, lesquelles nécessitent des investissements colossaux pouvant atteindre les 5 milliards de dinars.

“La Tunisie demandera à l’UE de lui accorder un appui financier pour la réalisation de ces réformes, ainsi que de lui faciliter l’exportation des produits agricoles, notamment l’huile d’olive et certains fruits”, a-t-il dit.

Le responsable a rappelé, en outre, que son département se penche, en parallèle, sur la préparation d’une liste négative de produits agricoles, lesquels devront faire l’objet de mesures de protection particulières, en l’occurrence les filières de blé, de lait, de viandes…, ainsi que la culture de l’olive.

De son côté, Abdelkhalek Ajlan, représentant de l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (UTAP), a rappelé que l’organisation agricole refuse de ” faire passer la version actuelle de l’ALECA” et appelle “à préserver la souveraineté du pays à travers l’unification des prises de position par l’ensemble des parties concernées”.

D’après Ajlan, il est impératif de mettre à niveau le secteur agricole par la mise en place d’un programme national, afin d’atteindre l’autosuffisance alimentaire, et ce, avant l’entrée en application de l’ALECA entre la Tunisie et l’UE.

Werner Raza et Bernhard Träster de la Fondation autrichienne pour la recherche en développement (OeFSE) ont présenté, à cette occasion, les résultats d’une étude réalisée sur l’effet de l’ALECA sur l’agriculture tunisienne.

Ils ont prévu la survenue d’effets négatifs, si des mesures d’appui et de protection de cette filière ne sont pas prises, d’autant plus que le déficit commercial de la Tunisie vis-à-vis à l’UE ne cesse de s’aggraver, durant ces dernières années, puisqu’il a augmenté de 16%, en 2017.

Source de l'article Webmanagercenter

L’UE soutient des projets culturels dans la région arabe

Action for Hope

Trois projets culturels de la région arabe bénéficient d’un soutien technique et en nature dans le cadre de Fa’ael, un programme de formation et de mentorat destiné aux gestionnaires culturels travaillant avec les communautés en crise. 

Il s’inscrit dans le cadre du programme « Action for Hope » cofinancé par l’UE.

Les projets culturels concernés sont les suivants : un programme de formation sur la fabrication d’instruments de musique à partir d’objets recyclés à Louxor, en Égypte, dirigé par Shadi Rabab ; Mashtal Zad, un projet de théâtre communautaire pour le changement, dirigé par Mohamed Ali Houzayn, au Caire, en Égypte ; et le centre culturel Douzan (en cours de création), dirigé par Rami Magharbi. Le projet entend lancer une petite organisation culturelle à Gaziantep, en Turquie, qui sera consacrée à l’éducation artistique des réfugiés syriens.

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Tunisie : la Banque européenne pour la reconstruction et le développement soutient les prêts aux petites entreprises locales

Tunisia: The European Bank for Reconstruction and Development support local small business lending

Les petites entreprises tunisiennes bénéficieront d’un financement plus facilement accessible grâce à un nouveau prêt de 13 millions d’euros en monnaie locale que la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) accorde à Arab Tunisian Lease (ATL Leasing) pour soutenir les petites et moyennes entreprises.

Le prêt contribuera à limiter les risques de change pour les petites entreprises dont les revenus sont libellés en monnaie locale. Le renforcement de l’accès des PME au financement en monnaie locale a été identifié comme l’une des priorités stratégiques par le gouvernement tunisien et la BERD.

Depuis le début de ses opérations en Tunisie en 2012, la BERD a investi plus de 831 millions d’euros dans 37 projets dans le pays. Les investissements de la Banque visent à soutenir la restructuration et le renforcement du secteur financier, et le financement des entreprises privées, à soutenir l’efficacité énergétique et à développer un secteur énergétique durable, ainsi qu’à faciliter le financement non souverain du développement des infrastructures.

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Lancement de l’appel à participants pour le Forum jeunesse

Call for participants launched to take part in Youth Forum

Cette année, l’édition du Forum jeunesse, qui se tiendra à Barcelone les 16 et 17 juin 2019, se concentrera sur l’activisme des jeunes en ligne et hors ligne dans la région euroméditerranéenne. 

Conçu et financé par l’IEMed, le Forum jeunesse, réunissant plus de 30 participants issus d’une dizaine de pays, offre une occasion unique de débattre et d’échanger avec des décideurs politiques et d’autres jeunes experts sur des questions clés dans la région euroméditerranéenne et de contribuer à l’élaboration des politiques dans la région.

À cette occasion, un appel à participants a été lancé pour sélectionner jusqu’à 15 jeunes chercheurs et étudiants de la région euroméditerranéenne afin qu’ils participent et interviennent activement au Forum jeunesse et prennent part à la conférence annuelle d’EuroMeSCo intitulée « Société civile et mouvements sociaux dans la région euroméditerranéenne » (Civil Society and Social Movements in the Euro-Mediterranean Region), qui se tiendra les 18 et 19 juin à Barcelone.

Les candidats doivent être des étudiants ou des chercheurs de moins de 35 ans titulaires d’au moins un diplôme de bachelier, ou être affiliés à un centre de recherche ou à une université basée dans l’un des 43 pays de l’UpM. Les candidats sont invités à remplir l’acte de candidature et à envoyer leur CV avant le 30 avril 2019.

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MOOC on Sustainable Food Systems: A Mediterranean Perspective


The course discusses the challenges and opportunities of the agricultural sector in the Mediterranean basin. It summarizes global-to-local challenges related to achievement of the Sustainable Development Goals (SDG); outlines the history and culture of agriculture and its main characteristics with a focus on the “Mediterranean diet”; explains agricultural data with a focus on rural development models and value creation; explores EU policy frameworks and international agreements related to food and agriculture in the Mediterranean; and highlights emerging opportunities linked to innovation and sustainability in the sector.
It is addressed to:
  • Students at the undergraduate or graduate level interested in the main challenges facing the Mediterranean region
  • Current and future practitioners in the agriculture, food, and beverage sectors who wish to gain useful insights about current and future trends and business opportunities
  • Policymakers and regional stakeholders who want to deepen their knowledge of agricultural policy, investment, and decisionmaking in the region and globally
More information are available here

UE-Maroc : bientôt une taxe sur l’électricité exportée vers l’Europe ?


Alors que l'Union européenne planche sur un projet de taxation de l'électricité produite en dehors de l'UE et hors du cadre de ses normes environnementales, l'Espagne vient de stopper ses importations d'électricité marocaine.

L’Espagne a coupé court à ses importations d’électricité marocaine le 3 avril, juste après la médiatisation par le magazine El Periódico de la Energía du nouveau sujet de réflexion de la commission européenne. Celle-ci planche sur une mesure antidumping, qui pourrait se concrétiser par une taxation de l’électricité importée de pays extérieurs à l’Union européenne (UE), notamment du Maroc, où les normes environnementales ne sont pas les mêmes qu’à l’intérieur de l’UE.

Jusqu’alors, l’Espagne importait quotidiennement de l’électricité marocaine, produite notamment par les centrales à charbon de Safi (mises en service en décembre 2018 et exploitées par le groupe français Engie) et de Jerada (construite et mise en service par le chinois Sepco). Une énergie au coût inférieur à celle produite en Espagne, puisque non soumise aux taxes d’émission de carbone en vigueur sur l’électricité européenne. Or, selon le site espagnol d’information, la production d’électricité est en moyenne 3,5 fois plus émettrice de CO2 au Maroc qu’en Espagne.
Inversement des échanges

D’après les données de l’organisation IESOE (Interconnexion de l’électricité du sud-ouest de l’Europe), jusqu’en juillet 2018, l’Espagne se servait des deux câbles d’interconnexion sous-marins entre l’Espagne et le Maroc pour exporter son électricité vers le royaume chérifien (5 690 GWh exportés en 2017, et 3 515 GWh exportés en 2018). Mais depuis novembre 2018, la péninsule ibérique a importé du Maroc 443 GWh d’électricité, contre 154 GWh pour l’année 2018 et seulement 3 GWh en 2017. Un changement qui concorde avec la mise en service des deux nouvelles centrales à charbon marocaines.

Il semble donc que l’Espagne profitait de la production plus polluante d’électricité marocaine pour alimenter ses réseaux, alors qu’elle est engagée dans un plan de « décarbonisation » sur son territoire et envisage de fermer la majorité de ses centrales à charbon d’ici 2025.

Par Théau Monnet - Source de l'article Jeune Afrique

Associations, NGO, high schools wanted – 20th Meetings November 2019

CDMM

The Association CDMM – Centre de Découverte du Monde Marin of Nice (France), which promotes the environmental education and awareness raising addressing for young people, organizes meetings among Mediterranean countries to exchange, to share about environmental themes and about young education to make people aware of the environment.

This year, the 20th Young and Mediterranean Meetings will take place from the 18th to the 20th November 2019 in Nice (France).

These meetings permit to high schools, NGOs, associations, tourism offices, leisure centres, environment offices of the municipalities, and other potentially interested actors to meet each other and to share knowledge during workshops.

To participate, you can pre-register to the event here

If you are curious to learn more about the format, it is possible to access the past edition report here: EN/ FR

Please also find the 2019 event presentation here: EN / FR

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Dialogues politiques de suivi des 8 campagnes CSO WINS sur les droits des femmes

EU-funded CSO-WINS project promotes women’s rights campaigns in the region

Les 8 associations ayant mené des campagnes de plaidoyer dans le cadre du projet CSO WINS vont réaliser des actions de dialogue politique au cours du premier semestre de 2019. 

Ces actions visent à diffuser les campagnes de défense des droits des femmes menées en 2017/2018 et à faire un suivi de l’évolution de la situation avec les pouvoirs publics.

Le projet CSO WINS fournit aux associations de femmes un appui technique, des outils et des espaces de concertation avec les décideurs et responsables politiques. Les actions auront lieu dans 7 pays : Maroc, Egypte, Tunisie, Algérie, Libye, Palestine, Liban.

Le projet CSO WINS cible les associations locales dans le but de : - renforcer leur capacité à mobiliser l’opinion publique dans le but de faire valoir les droits des femmes. – les encourager à effectuer le suivi des politiques liées aux femmes dans les secteurs politique, professionnel et social au niveau local, national et euro-méditerranéen.

Le projet est financé par la Facilité de Voisinage pour la Société Civile dans le cadre de l’Instrument Européen de Voisinage. Il est mis en œuvre par l’Institut européen de la Méditerranée par l’intermédiaire de la Fondation des Femmes de l’Euro-Méditerranée.

Pour en savoir plus
Fondation des Femmes de l’Euro-Méditerranée – Site internet

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Projet connexe
Le projet CSO WINS cible les associations locales dans le but de : - renforcer leur capacité à mobiliser l’opinion publique dans le but de faire valoir les droits des femmes. – les encourager à…

Initiatives de l’UE visant à autonomiser les femmes derrière les caméras

SouthMed WIA

Regardez l’entrevue réalisée à Alicante avec Atidel Mejbri, du Centre des femmes arabes de formation et de recherche-CAWTAR (Tunisie), et Dana Zaghayar, de Shashat.org (Palestine). 

Elles représentent le projet SouthMed WIA, subventionné par l’UE dans le cadre du deuxième appel à projets « Promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes derrière la caméra » (Fostering Gender Equality for Women and Men behind the Camera).

Un autre entretien avec Abdelsamee Abdallah Abdelhamid et Sabreen Abdul-Rahman Aljirinawi, d’Atabet Fann (Palestine), est disponible ci-dessous. 
Ils sont les représentants du projet SouthMed WIA, subventionné par l’UE dans le cadre du deuxième appel à projets « Les femmes narratrices numériques pour l’égalité des sexes » (Women Digital Storytellers for Gender Equality), réalisé en partenariat avec Abaad (Liban) et l’« Association for development & Alternative media ».

Pour en savoir plus
Atidel Mejbri - Lien Facebook et vidéo
Abdelsamee Abdallah Abdelhamid et Sabreen AbdulRahman Aljirinawi – Lien Facebook et vidéo

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La Banque européenne pour la reconstruction et le développement et BMCE Bank of Africa soutiennent les investissements dans les énergies vertes au Maroc

EU Morocco

La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) a fourni une enveloppe financière globale à BMCE Bank of Africa en vue de stimuler les investissements dans l’économie verte au Maroc. 

L’enveloppe consistera en un prêt en deux tranches d’un montant total pouvant aller jusqu’à 10 millions d’euros.

Le prêt s’inscrit dans le cadre du Mécanisme de financement de l’économie verte au Maroc qui soutient le financement de projets d’énergie durable par l’intermédiaire de banques partenaires locales. La BERD a lancé son premier cadre d’efficacité énergétique au Maroc en 2015 avec le soutien de l’UE et, grâce à une forte demande, elle a depuis lors renforcé son engagement.

Le Maroc est l’un des membres fondateurs de la BERD et est devenu l’un des pays d’opérations de la Banque en 2012. À ce jour, la Banque a investi plus d’1,7 milliard d’euros dans 50 projets dans tout le pays. La BERD a également soutenu plus de 550 PME marocaines en leur fournissant des services consultatifs. 

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Samedi 27 avril, journée de l’engagement citoyen des jeunes en Méditerranée

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Qu’ils soient de Marseille, Nice, Toulon, Alger, Alexandrie, ou Beyrouth… les jeunes du pourtour méditerranéen se mobilisent pour une journée de nettoyage des plages (Photo Philippe Maillé)

Qu’ils soient de Marseille, Nice, Toulon, Alger, Alexandrie, ou Beyrouth… les jeunes du pourtour méditerranéen se mobilisent pour une journée de nettoyage des plages, le samedi 27 avril. 

Un événement qui aura lieu en simultané dans plusieurs pays pour valoriser l’engagement des jeunes dans les domaines du développement durable et de la citoyenneté. Au programme, ramassage des déchets, stands de sensibilisation et d’information, ateliers créatifs ou encore parcours sportif, pour une journée d’action fédératrice et pédagogique.

Cette opération d’envergure intervient dans le cadre des ateliers proposés par l’AJCM avec ses partenaires, et qui se dérouleront jusqu’en juin, à Marseille, Nice et Toulon. Des ateliers d’échanges, de sensibilisation à l’environnement et de pratiques artistiques organisés autour de 3 notions fondamentales : enquêter, dialoguer et agir. 
L’Atelier des Jeunes Citoyens en Méditerranée est une initiative portée par l’association Les Têtes de l’Art en partenariat avec Les Citoyens de la Terre, le Cercle ACM de Marseille et 15-38 Méditerranée avec le soutien de la Région Sud qui met en œuvre son ambitieux Plan Climat. 5 axes majeurs, déclinés en une centaine d’actions concrètes pour faire de Provence-Alpes-Côte une région exemplaire en matière de climat et de préservation de l’environnement. Ensemble, ils souhaitent valoriser l’engagement des jeunes en méditerranée dans le domaine du développement durable et de la citoyenneté, autour d’un slogan : « Agir pour faire bouger les choses, représenter pour faire entendre sa voix ».


Source de l'article Destimed

Le sommet bilatéral italo-tunisien demain à Tunis

Le sommet bilatéral italo-tunisien demain à Tunis

Le Vice-Premier ministre et ministre du Développement économique, Luigi Di Maio, participera demain, le 30 avril, au sommet bilatéral italo-tunisien à Tunis

Selon un rapport du ministère du Développement économique, Di Maio rencontrera le ministre de l'Industrie et des Petites et Moyennes Entreprises, Slim Feriani, et le ministre du Développement, des Investissements et de la Coopération internationale, Zied Ladhari. 

Un certain nombre d'accords bilatéraux seront signés lors du forum économique. En 2018, le volume des échanges bilatéraux entre l'Italie et la Tunisie a atteint 5,9 milliards d'euros, soit une augmentation de 10,1% par rapport à l'année précédente. En ce qui concerne les exportations italiennes vers la Tunisie, la valeur en 2018 a atteint 3,46 milliards d'euros, en hausse de 8,7%, tandis que les importations en provenance de ce pays d'Afrique du Nord se sont établies à 2 au cours de la même période. 48 milliards d’euros, en hausse de 12,3%. Les principales exportations italiennes vers la Tunisie concernent les produits issus du raffinage du pétrole, dont la valeur en 2018 a atteint 983 millions d'euros, soit environ 28% du total des exportations. Les principaux produits d'importation italienne du pays côtier sont les suivants : vêtements (476 millions d'euros en 2018) ; chaussures (244 millions d'euros) ; pétrole brut (191 millions d'euros) ; huiles et graisses végétales et animales (181 millions d'euros).

Le programme de travail du Forum des entreprises consacré à la coopération entre l'Italie et la Tunisie débutera à Tunis tard cet après-midi avec un moment de bienvenue. La matinée du mardi 30 avril sera organisée des séminaires d'analyse sectorielle approfondie suivis du Forum des affaires Italie-Tunisie, consacré aux relations politico-économiques entre les deux pays et aux opportunités de collaboration et d'investissement. L'initiative, qui verra la participation des plus hautes positions institutionnelles italiennes et tunisiennes, représentera une occasion importante de renforcer et d'approfondir les opportunités de partenariat commercial et industriel que la Tunisie offre aux entreprises italiennes. De nombreux facteurs font de la Tunisie l'un des marchés les plus attractifs de la rive sud de la Méditerranée : la proximité géographique, le réseau d'accords commerciaux avec l'Union européenne, la nouvelle législation visant à attirer les investissements étrangers et les spécialisations de fabrication locales dans des secteurs à forte valeur ajoutée. 

L'initiative sera consacrée aux secteurs industriels de l'agriculture, de la mécanique agricole et des technologies de transformation des aliments ; infrastructure et construction ; énergie provenant de sources renouvelables. L'objectif de la mission sera d'approfondir les opportunités commerciales, en particulier dans les projets futurs développés par le gouvernement tunisien dans ces secteurs industriels clés.

L'Italie est le pays qui a le plus exporté vers la Tunisie au cours des deux premiers mois de 2019, devant la France et la Chine. Selon les résultats de l'Institut tunisien des statistiques relatives à la période de deux mois de janvier à février obtenus par «Agenzia Nova», l'Italie a exporté pour 1,743 milliard de dinars tunisiens (environ 520 millions d'euros) au cours des deux premiers mois de l'année en cours. Devant la deuxième place, la France avec 1,413 milliard de dinars (420 millions d’euros) et la Chine, troisième avec 956 millions de dinars tunisiens (282 millions d’euros). Les importations tunisiennes en Italie ont atteint 1,319 milliard de dinars tunisiens (environ 390 millions d'euros), avec une balance commerciale négative pour la Tunisie de 423 millions de dinars tunisiens (environ 125,13 millions d'euros). 

L’Italie est ainsi le deuxième partenaire commercial de la Tunisie, avec un échange de 3,062 milliards de dinars tunisiens (910 millions d’euros), derrière la France avec 3,770 milliards de dinars (1,12 milliard d’euros) et devant l’Allemagne avec 1,651 milliards de dinars (environ 490 millions d’euros). Il convient de noter que le solde commercial est négatif pour la France de 943 millions de dinars (278,96 millions d'euros) et pour l'Allemagne de 242 millions de dinars (environ 71,59 millions d'euros).

Les importations et les exportations de la Tunisie ont augmenté de 16,7% d'une année sur l'autre et de 15,3% respectivement au cours des deux premiers mois de 2019. En particulier, les exportations tunisiennes se sont élevées à 7,719 milliards de dinars (2, 28 milliards d’euros), tandis que des marchandises de 10,181 milliards de dinars (3,01 milliards d’euros) ont été importées de l’étranger. La balance commerciale est négative pour la Tunisie pour 2,462 milliards de dinars (environ 730 millions d'euros). Les exportations de produits agricoles et l'industrie agroalimentaire tunisienne ont chuté de 15,7% (933,3 millions de dinars, soit 276 millions d'euros), un segment de base des produits de base qui comprenait également la célèbre huile d'olive tunisienne. Au lieu de cela, l'exportation du septum est améliorée

L'Italie était le troisième investisseur en Tunisie en 2018, derrière la France et le Qatar. Selon des données de l'Agence tunisienne pour la promotion des investissements étrangers (FIPA) obtenues de "Agenzia Nova", l'Italie a réalisé 150 projets d'une valeur de 154,45 millions de dinars tunisiens (environ 45,69 millions d'euros). Et 1 663 emplois créés. 

Les investissements directs étrangers (IDE) italiens ont représenté 8,4% du total des IDE. La France occupe la première place avec 204 projets d’une valeur de 625,86 millions de dinars tunisiens (185,15 millions d’euros), 4 132 emplois et une part de 34,2% en Ide, suivis du Qatar avec six projets d'une valeur de 478,72 millions de dinars tunisiens (141,62 €), 232 emplois et un quota d'IDE de 62,2%. Après l'Italie viennent l'Allemagne (7,4% de l'IDE), les Émirats arabes unis (4,8%) et le Royaume-Uni (4,5%).

Par Aida Chamekh - Source de l'article Espace Manager

La Fondation européenne pour la formation renforce les capacités institutionnelles des universités méditerranéennes

ETF and UNIMED

La Fondation européenne pour la formation et l’Union des universités de la Méditerranée (UNIMED) ont signé une déclaration d’intention visant à renforcer les capacités institutionnelles en matière d’éducation et de formation de qualité dans la région méditerranéenne

Deux institutions stimuleront la coopération en renforçant les échanges d’informations et de connaissances sur des thèmes liés à : l’esprit d’entreprise et l’apprentissage entrepreneurial, l’employabilité, l’orientation professionnelle et la formation professionnelle.

L’Union européenne a conclu des accords d’association avec tous les pays du sud de la Méditerranée (à l’exception de la Libye et de la Syrie), qui ont ensuite été complétés par des plans d’action de la politique européenne de voisinage qui comprennent des actions visant à promouvoir l’employabilité, stimuler l’esprit d’entreprise et encourager l’accès à l’éducation et la formation.

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#EU4YOUth : les trois événements Campus Tour au Maroc ont rencontré un franc succès

#EU4YOUth: Campus Tour events in Morocco

Plus de 3 000 jeunes ont participé à l’événement #EU4YOUth Campus Tour qui a eu lieu au Maroc en mars. L’événement a été organisé par le projet EU Neighbours South de la DG NEAR, en coopération avec la délégation de l’UE au Maroc. 

Il visait à sensibiliser les jeunes et à renforcer leurs connaissances au sujet de l’UE, de ses programmes et de ses possibilités. Les événements ont été organisés dans les campus de trois universités à travers le pays : l’Université Mohammed Ier (Oujda), l’Université Sultan Moulay Slimane (Beni Mellal) et l’Université Ibn Zohr (Agadir).

Le programme des événements comprenait des sessions avec des présentations d’un certain nombre de projets régionaux et bilatéraux par des gestionnaires de projets et des bénéficiaires, ouvertes par un représentant de la délégation de l’UE et des universités ; des sessions d’information et de réseautage avec des stands sur les projets présentés ; des représentations artistiques/musicales par un jeune artiste local ; et un concours photo sur Instagram.
Le concours photo sur Instagram a recueilli plus de 100 publications mettant en vedette le hashtag #EU4YOUth et la page @euneighbourssouth, et 10 lauréats ont été désignés (la publication du premier gagnant a reçu plus de 600 mentions « J’aime »).

Les événements Campus Tour s’inscrivent dans le cadre de la campagne #EU4YOUth menée par EU Neighbours South. De précédents événements Campus Tour ont eu lieu en Algérie, en Tunisie et en Palestine.

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Liban: Atelier de formation sur la conception de mesures de gestion de l’eau

SWIM-H2020 SM

Un atelier de formation sur la conception de mesures de gestion de l’eau et d’objectifs politiques au niveau local/décentralisé ont été organisés par le projet SWIM et le Mécanisme de soutien Horizon 2020 financés par l’UE, à Beyrouth (Liban) les 14 et 15 mars 2019.

Le Projet Mécanisme de soutien SWIM-H2020 (Mécanisme de soutien 2016-2019 du Programme sur la gestion intégrée durable de l’eau (SWIM) et de l’Initiative Horizon 2020) financé par l’Union européenne a pour objet de contribuer à réduire la pollution marine et promouvoir l’utilisation durable des faibles ressources en eau des pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient (Algérie, Egypte, Israël, Jordanie, Liban, Lybie, Maroc, Palestine [Syrie] et Tunisie). 

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Tunisie : séminaire régional UE-OCDE sur l’investissement étranger direct en Méditerranée

Tunisia: EU-OECD regional seminar focuses on foreign direct investment in the Mediterranean

Le séminaire régional UE-OCDE « Tendances et qualités des investissements étrangers dans la région MED : politiques visant à maximiser l’impact » s’est tenu à Tunis les 5 et 6 mars 2019. 

Le séminaire était axé sur les statistiques relatives à l’investissement étranger direct (IED) et sur la capacité de suivre l’impact socioéconomique de l’IED en vue d’orienter les réformes politiques.

Le directeur du Réseau euroméditerranéen pour les études économiques – EMNES, le Professeur Rym Ayadi, a pris part au séminaire et a expliqué comment l’IED et le commerce devraient être liés aux objectifs de développement durable (ODD) dans la région méditerranéenne.

Le séminaire a été suivi de la troisième réunion du groupe consultatif du programme UE-OCDE sur la promotion de l’investissement en Méditerranée, ainsi que d’un atelier national sur les statistiques de l’IED en Tunisie. Le programme UE-OCDE, lancé en octobre 2016 à Tunis, vise à soutenir la mise en œuvre de politiques d’investissement solides et attrayantes, ainsi que la création d’institutions efficaces dans la région sud-méditerranéenne, en vue de stimuler l’investissement privé et les possibilités de création d’emplois. L’objectif de cette troisième réunion du groupe consultatif était de rendre compte des activités de la deuxième année, ainsi que de discuter de la feuille de route du programme et des priorités d’action avec les pays bénéficiaires et les partenaires.

Pour en savoir plus
Promotion de l’investissement en Méditerranée – page web

Également disponible en

Projet connexe
Ce programme est une initiative commune lancée par l’UE et l’OCDE dans le but de mobiliser des investissements domestiques et internationaux propices à un nouveau développement économique plus…

L’UpM pour le 8 mars - Renforcer l’égalité des genres

L’UpM célèbre le 8 mars: Renforcer  l’égalité des genres

L’Union pour la Méditerranée (UPM) s’associe à la célébration de la Journée internationale des droits des femmes avec la mise en avant de projets et d’initiatives initiés dans le cadre d’un programme commun euro-méditerranéen sur l’émancipation des femmes.

Dans ce sens, les experts des États membres de l’UpM ont récemment fait le point sur les progrès accomplis en matière de promotion de l’égalité des genres dans toutes les sphères de la société, un an après l’adoption d’une déclaration ministérielle ambitieuse (Le Caire, 2017).

Le Secrétariat de l’UpM collabore étroitement avec les représentants des pays, des experts d’organisations internationales, des ONG, la société civile et d’autres acteurs concernés pour mettre au point un mécanisme régional de suivi doté d’indicateurs permettant d’évaluer et de suivre avec précision les progrès réalisés dans le domaine des droits des femmes, d’évaluer les écarts entre les sexes et de formuler des recommandations à l’intention des décideurs afin d’accroître l’impact des politiques et des initiatives nationales.

Cette approche globale et régionale inclura également les facteurs considérés comme favorables à la lutte contre la radicalisation et à l’extrémisme violent, par opposition aux seules stratégies de sécurité. Effectivement, la contribution décisive et vitale des femmes à la paix et à la sécurité est désormais reconnue au niveau international.

C’est dans cette perspective que le Secrétariat de l’UpM a lancé une étude régionale sur «Le rôle des jeunes et des femmes dans la prévention de l’extrémisme violent ». L’étude sera publiée le mois prochain, complétant ainsi les travaux menés dans le cadre du projet «Renforcer l’engagement civique et social des femmes et des jeunes dans la prévention de la violence et de l’extrémisme », approuvé à l’unanimité par tous les pays de l’UpM et mis en œuvre par le British Council.

Le projet vise à soutenir, d’une part, la participation active des jeunes femmes et hommes au sein de leurs communautés locales, en particulier en renforçant leurs capacités de prévention de la violence et de l’extrémisme, et, d’autre part, à mettre en place des organisations locales, nationales et régionales de plates-formes de dialogue, d’échange de bonnes pratiques et l’organisation d’activités de mise en réseau pour les organisations de femmes et de jeunes.

Le projet, d’une durée de 4 ans, impliquera la Tunisie et le Maroc dans une première phase, avec une expansion potentielle vers d’autres pays. Plus de 20 000 membres de la communauté bénéficieront des activités du projet

Source de l'article PerspectivesMed

La Tunisie veut devenir le premier pays à émettre des obligations souveraines en Bitcoin selon The Asian Times

La Tunisie veut devenir le premier pays à émettre des obligations souveraines en Bitcoin selon The Asian

La Tunisie mise gros sur la crypto-monnaie souveraine afin de financer les développements d'infrastructures.

L’engouement autour de la monnaie virtuelle, où crypto-monnaie semble toucher la Tunisie. Elle aurait manifesté récemment son désir d’émettre des obligations Bitcoin, rapporte the Asian Times, citant des déclarations récentes des réunions de printemps de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI), tenues du 8 au 14 avril 2019 à Washington DC.

“Le gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie, Marouane El Abassi, a déclaré lors des réunions de printemps que son pays avait créé un groupe de travail qui étudiait sérieusement la possibilité d’émettre une obligation souveraine Bitcoin”, précise la source.

Abassi, ancien responsable de la Banque mondiale, a déclaré, par ailleurs, aux délégués présents aux assises que la Tunisie était “l’un des premiers pays au monde à émettre une monnaie électronique à savoir l’e-dinar, et qu’il hébergeait déjà des paiements en espèces numériques via un système Poste Tunisienne développé par DigitUS, basé à Tunis. Tech”.

Le gouverneur de la BCT a fait savoir que les technologies Bitcoin et Blockchain Hyperledger offrent aux banques centrales un outil efficace pour lutter contre le blanchiment d’argent, gérer les envois de fonds, lutter contre le terrorisme transfrontalier et limiter les économies grises.

Outre la Tunisie, l’Afghanistan et l’Ouzbékistan s’intéressent à leur tour au Bitcoin, révèle Asia Times.

“L’Afghanistan et la Tunisie sont dans la course pour être le premier pays à émettre des obligations souveraines en Bitcoin, selon des entretiens avec les gouverneurs des banques centrales des deux pays”, souligne la source.

Le gouverneur de la Banque centrale afghane lui a confié que le pays envisageait sérieusement d’émettre une cryptomonnaie souveraine qui utilise la technologie du blockchain comme un instrument “permettant de collecter près 5,8 milliards de dollars d’investissements privés”.

Ce dernier a ajouté que Bitcoin pourrait être associé à une forme future de métaux, tel que le lithium. 

Quant à l’Ouzbékistan, le pays a envoyé une délégation de haut niveau aux réunions du FMI et de la Banque mondiale pour lui permettre d’étudier de près ces nouveaux instruments financiers, précise The Asian Times. 

En 2016, la Banque centrale de Tunisie était réticente à ces nouveaux instruments financiers. Chedly Ayari, l’ancien gouverneur de la Banque centrale de Tunisie, s’est déclaré opposé à l’entrée de la monnaie électronique décentralisée Bitcoin sur le marché tunisien.

“Cette monnaie est plus complexe que celle traditionnelle car elle peut être utilisée pour financer le terrorisme”, a-t-il notamment déclaré, pointant du doigt le caractère intraçable de la monnaie et ses usages anonymes.

Mais qu’est-ce que le bitcoin? Comme le montre la vidéo ci-dessous, il s’agit d’une monnaie décentralisée, gérée par la communauté de ses utilisateurs.

Source de l'article Huffpostmaghreb