Un programme de la BEI à l’appui des accélérateurs de jeunes pousses aide des entrepreneurs tunisiens à créer des emplois et des jeunes entreprises à aller de l’avant.
Malgré leur appellation, les accélérateurs de jeunes pousses n’ont rien à voir avec l’agriculture. En revanche, ils ont tout à voir avec l’aide à la croissance des nouvelles entreprises.
Mondher Khanfir, ingénieur et capital-risqueur français, est à la tête d’un accélérateur de jeunes pousses dans son pays d’origine, la Tunisie. Les structures de ce type fournissent aux entrepreneurs des investissements – généralement des financements de pré-amorçage et d’amorçage intervenant à un stade précoce de leur développement – ainsi que des formations et, dans certains cas, des espaces de bureau partagés, afin de les aider à créer des entreprises, à innover et à croître.
Elles jouent un rôle important, car le processus de démarrage est compliqué et intimidant pour les jeunes entreprises du bassin méditerranéen et d’Afrique du Nord. « Il y a un manque d’information d’une ampleur incroyable sur les activités économiques en Tunisie, mais aussi dans l’ensemble de la région MOAN et de l’Afrique », affirme Mondher Khanfir. « Les créateurs d’entreprises doivent se montrer intelligents, adaptables, passionnés et résistants à la douleur. »
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