La France et l’Italie ont lancé un fonds qui investira dans les infrastructures des pays du pourtour méditerranéen à partir de 2009, selon un communiqué publié jeudi.
Ce fonds, appelé InfraMed, a été lancé par la Caisse des dépôts et consignations française (CDC), le "bras financier de l’Etat" qui gère plusieurs dizaines de milliards d’euros et investit notamment dans les plus grands groupes français, et son homologue italienne, la Cassa depositi e prestiti.
Les deux institutions présentent cette initiative comme une "contribution à l’Union pour la Méditerranée" (UPM), que le président français Nicolas Sarkozy s’apprête à lancer dimanche à Paris, en présence des dirigeants d’une quarantaine de pays.
L’objectif de ce fonds est de récolter un montant global de 600 millions d’euros qui sera abondé "jusqu’à moitié" par les deux établissements, a précisé à l’AFP Arié Flack, directeur général de la Compagnie financière du Lion (CFL), qui conseille la CDC dans le cadre de la mise en oeuvre du "Club des investisseurs de long terme".
InfraMed devrait être opérationnel "au cours du premier semestre 2009", précise le communiqué.
"L’un des objectifs est d’ouvrir InfraMed à d’autres investisseurs de long terme et à certains fonds souverains qui partagent la philosophie d’investissement" des caisses française et italienne, a poursuivi M. Flack, ajoutant qu’un "grand fonds souverain du Golfe avait déjà exprimé son intérêt".
Le fonds investira indirectement dans des fonds locaux dédiés au financement des infrastructures ou directement dans des projets ou des actifs d’infrastructures déjà existants.
Il privilégiera les infrastructures de transport, énergétiques et environnementales (eaux, déchets, propreté). "L’initiative de la CDC s’inscrit dans une démarche globale de développement de ses activités dans le segment des infrastructures", a rappelé M. Flack.
Ce fonds, appelé InfraMed, a été lancé par la Caisse des dépôts et consignations française (CDC), le "bras financier de l’Etat" qui gère plusieurs dizaines de milliards d’euros et investit notamment dans les plus grands groupes français, et son homologue italienne, la Cassa depositi e prestiti.
Les deux institutions présentent cette initiative comme une "contribution à l’Union pour la Méditerranée" (UPM), que le président français Nicolas Sarkozy s’apprête à lancer dimanche à Paris, en présence des dirigeants d’une quarantaine de pays.
L’objectif de ce fonds est de récolter un montant global de 600 millions d’euros qui sera abondé "jusqu’à moitié" par les deux établissements, a précisé à l’AFP Arié Flack, directeur général de la Compagnie financière du Lion (CFL), qui conseille la CDC dans le cadre de la mise en oeuvre du "Club des investisseurs de long terme".
InfraMed devrait être opérationnel "au cours du premier semestre 2009", précise le communiqué.
"L’un des objectifs est d’ouvrir InfraMed à d’autres investisseurs de long terme et à certains fonds souverains qui partagent la philosophie d’investissement" des caisses française et italienne, a poursuivi M. Flack, ajoutant qu’un "grand fonds souverain du Golfe avait déjà exprimé son intérêt".
Le fonds investira indirectement dans des fonds locaux dédiés au financement des infrastructures ou directement dans des projets ou des actifs d’infrastructures déjà existants.
Il privilégiera les infrastructures de transport, énergétiques et environnementales (eaux, déchets, propreté). "L’initiative de la CDC s’inscrit dans une démarche globale de développement de ses activités dans le segment des infrastructures", a rappelé M. Flack.
Narosnews - Août 2008
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