Dernier appel à candidature pour le Prix Istanbul de la ville respectueuse de l’environnement : report de la date limite de candidature au 18 septembre 2019

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Le PNUE/PAM a le plaisir de vous informer que la date limite de soumission des candidatures pour le Prix Istanbul de la ville respectueuse de l’environnement a été reportée au 18 septembre 2019. Nous encourageons la plus large participation possible des villes méditerranéennes.

Financé par le Gouvernement de Turquie, le Prix Istanbul de la ville respectueuse de l’environnement a été créé dans le cadre de la Stratégie méditerranéenne pour le développement durable (SMDD) afin de reconnaître les efforts déployés par les autorités locales pour promouvoir le développement durable dans les villes côtières de la Méditerranée.

Éligibilité

Les villes côtières situées sur le pourtour du bassin méditerranéen sont invitées à soumettre leurs candidatures en justifiant d’actions concrètes et de progrès réalisés pour protéger l'environnement, améliorer la qualité de la vie et promouvoir le développement durable, conformément aux priorités du Plan d'action pour la Méditerranée et aux principes inscrits dans la Convention de Barcelone.

Les candidatures devraient aussi souligner les partenariats avec la société civile, la communauté scientifique et le secteur privé. Seront également pris en considération les réalisations accomplies ainsi que les plans visant à renforcer la durabilité urbaine.

Étapes à suivre pour le dépôt des candidatures 
  • Inclure la signature du maire (ou de son représentant légal) ou fournir une lettre officielle de l'autorité locale appuyant la demande.
  • Soumettre le dossier de candidature en format électronique (PDF et MS Word) à Julien.Letellier@un.org– en copiant Irene.Cavoura@un.org avant le 18 septembre 2019.
Calendrier
  • Date limite de candidature : 18 septembre 2019
  • Notification de sélection de la ville lauréate : novembre 2019
  • Cérémonie de remise du prix : la cérémonie aura lieu lors de la Session ministérielle de la 21e Réunion ordinaire des Parties contractantes à la Convention de Barcelone (COP 21) qui se tiendra à Naples (Italie) du 2 au 5 décembre 2019.
Documents de références

Pour plus d'informations, veuillez consulter les documents de référence suivants (anglais) :
Source de l'article Le Plan Bleu

L’Association des régulateurs énergétiques méditerranéens a organisé son assemblée générale et un atelier







 MEDREG

Les 18 et 19 juin, MEDREG s'est tenu la 27ème Assemblée générale à Tirana (Albanie) pour discuter, entre autres, de l’avancement des activités menées dans le cadre du plan d’action 2019, de la coopération avec les partenaires extérieurs et de la stratégie de l’organisation pour 2020-2022. 

L’Assemblée générale a été précédée d’un atelier, organisé conjointement par MEDREG et le Conseil des régulateurs de la communauté de l’énergie (ECRB), sur l’avenir du mécanisme d’enchères pour la facturation nette et le soutien aux énergies renouvelables dans les régions d’opération de MEDREG et de l’ECRB.

MEDREG est l’Association des régulateurs énergétiques méditerranéens, qui regroupe 27 régulateurs de 23 pays, couvrant l’Union européenne (UE), les Balkans et l’Afrique du Nord. 
Les régulateurs méditerranéens coopèrent pour promouvoir une harmonisation accrue des marchés énergétiques régionaux et des législations, en vue d’une intégration progressive du marché dans le bassin euroméditerranéen. 

MEDREG promeut un cadre réglementaire transparent, stable et harmonisé dans la région méditerranéenne, favorisant les investissements en infrastructures, la protection des consommateurs et une coopération énergétique renforcée. Fondée sur une approche ascendante, MEDREG agit en tant que plateforme de collaboration pour les régulateurs des deux rives de la Méditerranée dans le but d’échanger les connaissances techniques et les bonnes pratiques, tout en s’aidant mutuellement à renforcer leur capacité réglementaire.
L’Association est cofinancée par l’Union européenne et bénéficie de la contribution financière de ses membres.

Pour en savoir plus
Site internet de MEDREG

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Prix Samir Kassir pour la liberté de la presse 2019 : l'Union européenne récompense trois journalistes syriens et marocain

SAMIR KASSIR AWARD FOR FREEDOM OF THE PRESS

Le 30 mai, la délégation de l'Union européenne au Liban a tenu pour la 14e fois la cérémonie de remise du Prix Samir Kassir pour la liberté de la presse à Beyrouth, récompensant deux journalistes syriens et un journaliste marocain dans les trois catégories. 

Ce prix est l'événement phare annuel de la liberté de la presse au Liban et l'un des prix de journalisme les plus prestigieux dans les régions MENA et du Golfe. 

La cérémonie a été organisée en association avec la Fondation Samir Kassir au Liban, reconnaissant le travail de journalistes de la région MENA et des pays du Golfe dans les catégories suivantes: articles d’opinion (76 entrées), articles d’investigation (113 entrées) et reportages audiovisuels (44 entrées). Le prix attribué au gagnant dans chacune des trois catégories est de 10 000 €. Les finalistes reçoivent chacun 1 000 €.

Organisé chaque année depuis 2006, le Prix Samir Kassir pour la liberté de la presse honore la mémoire du journaliste libanais Samir Kassir, assassiné le 2 juin 2005 à Beyrouth. Ce prix, financé par l'Union européenne, récompense les journalistes qui se sont distingués par la qualité de leur travail et par leur engagement en faveur des droits de l'homme et de la démocratie. Cette année, 233 journalistes ont participé au concours.

Les gagnants du prix 2019 sont:

- Catégorie de pièce d’opinion: Roger Asfar (Syrie). Son article intitulé «Le capitaine Majed ou le père commandant» souligne la nécessité de rompre avec le concept de héros afin de construire une société démocratique en Syrie.

- Catégorie d'articles d'investigation: Ali Al-Ibrahim (Syrie). Son rapport intitulé «Forger la mort: le régime syrien dissimule ses crimes de guerre» met en lumière la divergence entre les causes officielles de la mort des prisonniers dans les prisons syriennes et les causes plus probables présumées par les familles et les étrangers. 

- Catégorie de reportage audiovisuel: Youssef Ziraoui (Maroc). Son reportage intitulé «Bouchra: une femme» décrit une conductrice de bus courageuse et les défis auxquels elle est confrontée quotidiennement. 

L'Union européenne se bat pour la liberté d'expression et appelle à mettre fin à l'impunité pour les crimes commis contre les journalistes. 

Pour en savoir plus
Samir Kassir award - website

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L’UE en Jordanie croit aux efforts nationaux de promotion des organisations de la société civile et des droits de l’homme

EU in Jordan believes in the national efforts promoting civil society organizations and human rights

543 membres de 46 organisations communautaires d’Irbid, de Balqa et d’Aqaba en Jordanie ont été diplômés - au cours d’une cérémonie organisée sous le patronage de Sa Majesté la Reine Noor Al Hussein - du projet financé par l’UE et intitulé « EU Support to CSOs - Strengthening Community Based Organizations’ Roles as Co-Actors in Local Development » (Soutien de l’UE aux OSC - Renforcer les rôles des organisations communautaires en tant que co-acteurs du développement local).
Le projet, qui est mis en œuvre par le Programme de développement communautaire de la Fondation Noor Al Hussein, vise à permettre aux organisations communautaires de renforcer leurs systèmes institutionnels afin d’améliorer la qualité des services proposés.

Pour en savoir plus
Délégation de l’UE en Jordanie – Site internet et page Facebook

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Facilitation of the recognition of qualifications among Mediterranean countries: insights of the final conference of the MERIC Net project - Nice, 13-14 June 2019


“Globalization has made necessary the recognition of internationally acceptable skills and abilities” said Dr Rony Darazi, from the Université Antonine, on the occasion of the final conference of the MERIC-Net project, Mediterranean Network of National Information Centres on the Recognition of Qualifications, on the 13th and 14th of June 2019. 

The conference took place at the University of Nice – Sophia Antipolis (France) and featured the presence of the different partner universities, ministries, public authority, agency and associations of the project, of which UNIMED is part. 

Different aspects have been addressed during this conference such as the recognition of credits and qualifications in Southern Mediterranean countries, the impact of International Mobility programs between EU and South Med on recognition, as well as the strategic management of the project and its activities, deliverables and impacts. It was also the occasion to share good practices and focus on the project’s sustainability, as the project comes to an end. Launched in 2016 under the Erasmus + Programme Capacity Building for Higher Education, MERIC-Net gathers 19 partners from Algeria, France, Italy, Lebanon, Morocco, Norway and Tunisia and is coordinated by the University of Nice – Sophia Antipolis (France). 

The aim of the project is to revitalize the MERIC network (Mediterranean Recognition Information Centres) so to facilitate the recognition of qualifications among the Mediterranean countries and to increase the vertical and horizontal mobility in higher education systems. As Mrs Imen Bouallegui, from the Tunisian Ministry of Higher Education and Scientific Research, explained during this conference, MERIC-Net has three types of objectives:
  • Direct objectives of expertise and experience on the recognition of diploma and on the training on the educational systems
  • An operational objective of implementing good practices at national levels, and,
  • A strategic objective of creating a center of diploma recognition and a regional network of recognition for the southern Mediterranean region.
Throughout this project, the partners have been implementing a set of activities, such as the organization of online and face-to-face trainings for the representatives of the Higher Education Ministries of Algeria, Lebanon, Morocco and Tunisia and for the universities’ staff, the production of National Reports presenting the state of the art of the education system in these countries, the elaboration of guidelines to evaluate non-traditional, cross-border or trans-national education and distance learning institutions and the development of efficient procedures to facilitate the recognition of refugees’ qualification. Upon those words, UNIMED raised the idea of developing a collaboration between the MERIC-Network and the RESCUEproject, aimed at supporting the refugee students in resuming their academic training path.

On the subject of recognition of credits and qualifications in Southern Mediterranean countries, some best practices implemented in European universities were presented on the occasion of this final conference of the MERIC-Net project. This was the case, for example of Prof. Martin from the University of Nice Sophia Antipolis, who shared the calculation of the overall averages for University students in mobility, taking into account the credits allocated to the different subjects, whereby the coefficient of one subject is equal to the number of credits it has been allocated.

Some recommendations for a better impact of international mobility programs between EU and South Med on recognition have also been shared. For example, Dr Rony Darazi contributed with some proposals such as developing, for South Med universities, a greater institutional support, move away from program strategy and strengthen an organizational strategy, recognized to have a better impact. He also highlighted both the usefulness of the diploma supplement, which makes understandable and readable what the students did during their mobilities, and the necessity of harmonization in the recognition. Indeed, and as highlighted by Mr Patrick Werquin, the external evaluator of the MERIC-Net project, “there is a need to go from equivalence to recognition” in relation to qualifications, mobilities and credits.

Concerning the good practices and lessons learned during the MERIC-Net project, Mrs Imen Bouallegui shared some examples, such as the collection of information and data on various educational systems, the exchanges of ideas and experiences, the collaboration with partners from the northern and southern shores of the Mediterranean, the work on the digitalisation of the equivalence process.

The conference also featured the contribution of Mrs Emmanuelle Gardan, from the Union for the Mediterranean (UfM), institutional partner of UNIMED, who shared the wish of the UfM to “support the sustainability of the MERIC network & to present it to the 43 UfM member states as a structuring project in the Euro-Mediterranean zone in the field of higher education”.

This final conference logically provided for the opportunity to discuss the sustainability of the project, as it is coming to an end. The sustainability strategy discussed on this occasion revolves around the idea of further strengthening the network beyond the project, with a president, vice president, secretariat as well as a steering committee.

You can learn more on the MERIC-Net project here.

Source of article Unimed

Conférence annuelle HOMERe

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Promouvant l’Emploi et l’Employabilité: Lancement de la 2ème phase du projet HOMERe 2019 dans le cadre du Sommet des deux rives.
  • Alors que la région connaît des taux croissants d’inscription dans l’enseignement supérieur– ilsdevraient atteindre 40% d’ici à 2030 sur la rive Sud de la Méditerranée, près d’un tiers des employeurs considèrent que la pénurie de compétences constitue une contrainte à l’embauche.
  • La Conférence annuelle du projet labélisé HOMERe, a été placée sous le thème « Emploi et Employabilité : Adéquation au marché du travail méditerranéen » dans le cadre du Sommet des deux rives.
  • La Conférence est l’occasion pour le lancement de la deuxième phase du projet HOMERe: 250 jeunes seront placés en stage international de fin d’études en Méditerranée d’ici à fin 2020. 
La Conférence annuelle du projet HOMERe, programme de stages labellisé par les 43 États Membres de l’Union pour la Méditerranée en décembre 2014, a réuni à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Marseille Provence une centaine de représentants académiques, économiques et institutionnels des deux rives de la Méditerranée qui ont échangé des pratiques innovantes et formulé des recommandations concrètes sur les thèmes « Emploi et Employabilité : Adéquation au marché du travail méditerranéen ».

Les conclusions de cette conférence, co-organisée par le consortium HOMERe, l’Union Méditerranéenne des Confédérations d’Entreprises BUSINESSMED, le Réseau euro-méditerranéen pour les études économiques EMNES et l’Université Bretagne Occidentale, seront transmises à la présidence française du Sommet des Deux Rives[1]

Le consortium HOMERe avait participé en mai 2019 aux travaux des forums préparatoires de La Vallette sur l’éducation, la jeunesse et la mobilité et de Palerme sur l’environnement et le développement durable.

Le Secrétaire Général Adjoint de l’UpM, Miguel Garcia-Herraiz, dans son intervention d’ouverture a insisté sur la complexité des défis qui se posent aujourd’hui à la Méditerranée et rappelé l’importance de l’approche multi-partenariale.

Les tables rondes ont notamment permis l’expression des attentes spécifiques du monde socio-économique et en particulier des PME vis-à-vis de l’employabilité des jeunes et leurs points de vue sur des solutions concrètes d’amélioration, comme par exemple le développement des formations en alternance/apprentissage, la création d’incubateurs de start-ups au sein des universités ou le mentorat.

Alors que la région connaît un taux d’inscription dans l’enseignement supérieur de plus en plus important – il devrait atteindre les 40% d’ici à 2030 sur la rive Sud de la Méditerranée, près d’un tiers des employeurs considèrent que la pénurie de compétences est une contrainte à l’embauche. « Le recrutement et l’acquisition de talents est un enjeu stratégique pour l’entreprise » a martelé Eric Lechelard, le directeur des ressources humaines France d’Alcatel-Lucent Entreprise. « L’enjeu aujourd’hui est d’attirer des talents sur des métiers en tension où les compétences et les offres deviennent rares ».

Lancement de la deuxième phase du projet HOMERe

L’après-midi a été l’occasion d’annoncer le démarrage de la deuxième phase du projet HOMERe, qui correspond aussi au lancement du projet pilote de migration légale récemment approuvé par la Direction Générale de la Migration et des Affaires Intérieures de la Commission Européenne et le Centre International des Politiques Migratoires, et qui concernera 250 jeunes d’ici à la fin de l’année 2020.

Depuis le lancement de la première phase du projet, à Marseille en mars 2015, le projet a déjà permis à plus de 500 étudiants et jeunes diplômés – à quasi-parité entre femmes et hommes – d’effectuer un stage professionnalisant au sein de l’espace euro-méditerranéen pour mieux se préparer à un marché du travail de plus en plus interconnecté.

HOMERe – Haute opportunité en Méditerranée pour le recrutement de cadres d’excellence, est un projet soutenu par l’Union pour la Méditerranée (UpM) dans le cadre de l’initiative Med4Jobs. Il encourage les stages de fin d’études afin d’aider les jeunes à réussir leur transition vers le marché du travail et créer davantage d’opportunités de mobilité pour les jeunes à l’échelle de la Méditerranée.

Le programme complet de la journée en PDF


[1] Le Sommet des Deux Rives se tiendra à Marseille le 24 juin 2019, à l’invitation du Président de la République Française. Cette initiative vise à favoriser un échange sociopolitique régional pragmatique afin de présenter et de lancer des projets spécifiques dans la région. L’UpM sera un partenaire clé du Sommet en tant que plate-forme de coopération régionale réunissant tous les pays de l’Union Européenne et de la Méditerranée.

Source de l'article UFMSecretariat

Liban: L’UE promeut l’entrepreneuriat social dans la région méditerranéenne avec le projet MedUP !

The EU MedUP project

Le projet de l’UE MedUP ! pour la promotion de l’entrepreneuriat social dans la région méditerranéenne fait le bilan de ses réalisations à Beyrouth et ouvre la voie à des discussions sur les étapes à venir et la vision de l’UE concernant l’entrepreneuriat social dans la région MENA.

L’objectif général du projet MedUP ! est de promouvoir un environnement favorable dans les pays partenaires de Méditerranée du Sud pour le développement du secteur de l’entrepreneuriat social comme moteur de la croissance inclusive et de la création d’emplois.

Son objectif spécifique est d’améliorer l’inclusion économique et l’emploi au Maroc, en Tunisie, en Egypte, au Liban, en Jordanie et en Palestine où des politiques adéquates d’entrepreneuriat social sont en place, un dialogue public-privé et des échanges de pratique sont encouragés et où des services de grande qualité pour les entreprises sociales sont fournis.

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Projet connexe
Le projet vise à améliorer l’inclusion économique et l’emploi dans les pays ciblés en: - promouvant la politique du pays et entre les pays, ainsi que les initiatives de sensibilisation et le…

L’UE soutient les industries créatives et culturelles en Tunisie

EU supports creative and cultural industries in Tunisia

« Grâce à l’UE et au programme "Réseaux de la jeunesse méditerranéenne", nous avons reçu un soutien pour le programme de formation INTERFERENCE organisé dans le cadre du "festival des arts de la lumière dans la médina de Tunis" », a expliqué Aymen Gharbi, jeune architecte à l’Institut national du patrimoine.

Regardez la vidéo pour découvrir comment l’UE aide les jeunes actifs dans les industries créatives et culturelles en Tunisie à obtenir le soutien nécessaire et à améliorer leurs compétences artistiques.

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L’UE a organisé un atelier de présentation d’outils à source ouverte pour les enquêtes sur la cybercriminalité et la criminalistique numérique

EU organises workshop to showcase open source tools for cybercrime investigation and digital forensics

Le Bureau de programme du Conseil de l’Europe sur la cybercriminalité (C-PROC), en collaboration avec l’University College Dublin – Center for Cybersecurity and Cybercrime Investigation, a organisé l’atelier de démonstration FREETOOL du 15 au 17 mai 2019 à Bucarest, en Roumanie.

L’événement a réuni des enquêteurs sur la cybercriminalité et des experts en criminalistique numérique qui participent à des enquêtes sur la cybercriminalité dans 26 pays, dont l’Algérie, la Jordanie, le Liban, le Maroc et la Tunisie.

Les démonstrations ont porté sur les outils destinés aux premiers intervenants, la criminalistique des données en direct, l’analyse de la mémoire, la détection du chiffrement, la comparaison des médias et la collecte de renseignements à source ouverte (OSINT). L’atelier a été l’occasion pour les enquêteurs sur la cybercriminalité et les experts en criminalistique numérique d’assister à des démonstrations en direct des outils et d’interagir directement avec leurs développeurs. Les participants ont testé les outils, fourni des commentaires aux développeurs et, en fin de compte, déploieront les outils dans les enquêtes sur la cybercriminalité.

Le projet FREETOOL est financé par la DG HOME de la Commission européenne, qui visait à développer des outils d’enquête et de police scientifique à l’usage des services répressifs. Tous les outils ont été développés par des agents des services répressifs de l’Union européenne, en utilisant uniquement des logiciels à source ouverte.

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Conférence annuelle FEMISE : le think tank méditerranéen explore le développement durable



Ecomnews Med était en direct de Bruxelles (Belgique) pour la conférence annuelle du réseau FEMISE qui s’est tenue les 13 et 14 juin 2019. Retour sur cet événement phare du réseau de chercheurs Méditerranéens.

C’est le thème du développement durable qu’avait choisi cette année le réseau FEMISE pour sa grande conférence annuelle. Pendant deux jours à Bruxelles (Belgique), chercheurs du think tank, représentants d’institutions ou d’ONG partenaires se sont penchés sur les quatre thématiques chères au FEMISE, avec comme objectif de développer une feuille de route pour les pays de la Méditerranée.

Dès l'ouverture, les participants ont rappelé le concept d'Objectifs de développement durable de l'ONU, "un appel à l’action de tous les pays – pauvres, riches et à revenu intermédiaire – afin de promouvoir la prospérité tout en protégeant la planète".


Les objectifs de développement durables "ne seront sûrement pas atteints"

"Cette conférence est une manière de répondre à ces objectifs", a noté Ibrahim Elbadawi, président du FEMISE, rappelant que le think tank rassemble justement pays développés et pays en développement autour de thématiques communes aux pays de la Méditerranée.

Pour la région MENA, les défis sont encore nombreux, en termes environnementaux mais aussi économiques. "La croissance dans la région ne sera que de 1,3% en 2019", a rappelé Mahmoud Mohieldin, vice-président de la Banque mondiale, s'attristant du fait que "les objectifs de développement durable ne seront sûrement pas atteints en 2030".

Pour tenter d'apporter des réponses à ces nombreux défis rencontrés par les pays de la Méditerranée, les chercheurs associés au FEMISE et les intervenants invités ont pu faire état de leurs recherches lors de quatre séances plenières. Celles-ci ont porté sur l'intégration commerciale, sur le secteur privé et l'innovation, sur l'environnement et enfin sur l’inclusivité. Il a notamment été question d'emplois des jeunes, de révolution numérique, d'impact du réchauffement climatique ou d'échanges commerciaux.


De l'emploi des jeunes à la mixité, des échanges variés

Networking, discussions entre chercheurs, représentants institutionnels et membres du public, les échanges ont été riches et variés. Des performances économiques du Maroc au financement des start-up dans la région en passant par la question des réfugiés au Liban et en Jordanie, les thématiques abordées ont été nombreuses. « Il y a urgence à créer des emplois pour les jeunes en MENA », a notamment souligné Patricia Augier, présidente du comité scientifique de FEMISE.

La dernière séance plenière a notamment été l’occasion d’évoquer la place des femmes dans les économies de la région, l’inclusion des réfugiés dans le monde du travail ou encore l’entrepreneuriat social, un « moyen de lutter contre le fléau du chômage, et ce pour l’ensemble de la population, y compris les réfugiés », comme l’a souligné Natalia El Menhall, de Beyond Reform & Development.

« La mixité est un enjeu de performance économique » a pour sa part rappelé Samah Ben Dhia, présidente de Alta Femina, évoquant l’importance d’inclure les femmes dans le marché de l’emploi en région MENA. 

Présentation du nouveau rapport FEMISE sur le secteur privé

La conférence annuelle du réseau a aussi été l’occasion de présenter à tous le nouveau rapport du think tank, portant sur le secteur privé, qui évoque entre autre l'importance du développement du secteur privé pour les pays Méditerranéens.

A la fin cette conférence, l'idée qui ressort avant tout est l'urgence d'agir, à tous les niveaux, et ce afin de mener les pays de la région à un développement durable qui profite à tous. Une chose est sûre, les chercheurs du FEMISE ont encore bien de la matière pour leurs futures recherches. Car, ainsi que l’a souligné Henry Marty Gauquié, de la Banque Européenne d’Investissement et du Conseil Consultatif FEMISE, en conclusion de la conférence : « On n’a jamais fini d’explorer ces problématiques ». 

Par Camille Dubruelh - Source de l'article Ecomnewsmed

L'innovation postale au service des clients méditerranéens


Les 24 et 25 juin, au lendemain du Sommet des 2 Rives, s’est tenu à Marseille la conférence de l’EUROMED Postal .

Cette conférence a été précédée du 32 ème Conseil d’administration et de la 9 ème Assemblée Générale de l’institution qui compte 21 membres depuis l’entrée de l’Algérie.

La conférence a été organisée par LibanPost dont le président Khalil Daoud est aussi président d’EUROMED Postal et par le Groupe La Poste représenté par Jean-Paul Forceville et ses collaborateurs .

LibanPost et Le Groupe La Poste sont membres fondateurs d’IPEMED et ont invité Jean-Marie Paintendre à intervenir lors de la séance inaugurale pour présenter les travaux et projets de l’Institut.

La conférence , riche en interventions , a mis en évidence la pluralité des innovations mises en œuvre par les postes euro-méditerranéennes pour anticiper les besoins des clients en intégrant les nouvelles technologies.

Source de l’article IPEMED

L’Union pour la Méditerranée s’associe aux efforts régionaux de promotion de l’entrepreneuriat des jeunes

The UfM joins the regional efforts to promote youth entrepreneurship

Le secrétaire général de l’UpM, Nasser Kamel, a participé à l’événement « Legacy » : « EU Med means business – Construire l’avenir de l’entrepreneuriat dans le voisinage Sud » qui a eu lieu les 21 et 22 mai à Bruxelles, réunissant une centaine de participants, dont de jeunes entrepreneurs, des journalistes, des institutions financières internationales, des banques commerciales locales, des investisseurs providentiels/de capital-risque, des banques commerciales, des investisseurs, des organisations de soutien aux entreprises, entre autres parties prenantes.

Pendant une journée et demie, l’événement visait à montrer l’impact du partenariat entre l’UE et les pays voisins du Sud sur la création d’emplois pour les jeunes en encourageant l’investissement, l’esprit d’entreprise, l’innovation et la croissance inclusive à un public plus large composé de jeunes entrepreneurs, d’IFI, d’investisseurs, de représentants du secteur privé et de responsables politiques dans la région et dans l’UE.

Au cours de son intervention, le secrétaire général Kamel a rappelé l’importance que le secrétariat de l’UpM accorde à l’entrepreneuriat comme l’un de ses domaines d’action prioritaires dans le cadre du développement des entreprises et de l’emploi. Il a souligné que « l’esprit d’entreprise est particulièrement important pour libérer le potentiel créatif des jeunes et promouvoir des solutions intelligentes et créatives et des modèles d’entreprise fonctionnels, durables et résistants ».

Pour en savoir plus
L’Union pour la Méditerranée (UpM) - Site internet

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Les jeunes et la société civile s’engagent à renforcer la coopération et le développement en Méditerranée

Youth and civil society commit to strengthening practical cooperation and development in the Mediterranean

Les 22 et 23 mai 2019 à Barcelone, l’Union pour la Méditerranée (UpM) a accueilli le dialogue régional « Regards croisés sur les enjeux prioritaires en Méditerranée ». 

La conférence a rassemblé plus de 100 représentants de la société civile et d’organisations de jeunesse afin d’échanger sur la question des défis environnementaux, éducatifs, sociaux et économiques dans la région euro-méditerranéenne. Ce forum s’est conclu sur une série de recommandations afin de favoriser la coopération entre les pays de la région sur ces questions.

Les discussions tenues lors de ce dialogue régional ainsi que les recommandations et propositions de projets tirées de ces échanges alimenteront la stratégie de l’UpM pour la jeunesse et seront également présentées sous forme de suggestions et de propositions de projets pour contribuer au Sommet des Deux Rives à Marseille (24 juin 2019) en présentant les points de vue des jeunes et de la société civile de tous les pays de l’UpM sur les priorités clés de la région.

Pour en savoir plus
L’Union pour la Méditerranée (UpM) - Site internet

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Les « Young Mediterranean Voices » présentent des initiatives méditerranéennes au Parlement européen pendant la Semaine de la jeunesse

Young Mediterranean Voices bring Mediterranean initiatives to the European Parliament during the Youth Week


Les « Young Mediterranean Voices » (Jeunes voix méditerranéennes) de Libye et de Malte ont présenté des méthodologies en faveur du dialogue et de l’intelligence culturelle lors de la Semaine européenne de la jeunesse à Bruxelles. 

Au cours de la session qui s’est tenue le 29 avril au Parlement européen, les deux représentants ont souligné l’importance de la participation des jeunes et des actions novatrices pour renforcer et créer un avenir plus ouvert et durable pour tous.
La Semaine européenne de la jeunesse a rassemblé des jeunes d’Afrique, du Proche-Orient et de l’Union européenne, engagés dans des partenariats Afrique-UE et dans la coopération euro-méditerranéenne. Les participants ont discuté et partagé leurs expériences sur les différentes manières dont les jeunes peuvent devenir plus éclairés et influents sur le plan démocratique, non seulement en tant qu’électeurs et citoyens, mais aussi comme candidats politiques, décideurs et responsables de la définition des priorités.

« Young Mediterranean Voices » est le programme phare en matière de débat et de dialogue qui relie la société civile, le secteur de l’éducation et les décideurs politiques du sud de la Méditerranée et de l’Europe. Le programme offre une plateforme pionnière pour ouvrir des portes aux jeunes influenceurs afin qu’ils puissent façonner les politiques et les récits des médias. Il s’appuie sur l’expérience positive de « Young Arab Voices » lancée en 2011 par la Fondation Anna Lindh et le British Council, et bénéficie du soutien de l’Union européenne.

Pour en savoir plus
Young Mediterranean Voices – Site Internet et page Facebook
Fondation Anna Lindh – site internet

Également disponible en

Rapport FEMISE EuroMed 2019 : Le secteur privé dans les pays méditerranéens : Principaux dysfonctionnements et Opportunités de l’entreprenariat social


Le Rapport EuroMed FEMISE 2019 est maintenant disponible
Le secteur privé dans les pays méditerranéens : Principaux dysfonctionnements et Opportunités de l’entreprenariat social [1]


Le FEMISE lance son rapport Euro-Méditerranéen 2019 qui porte sur le secteur privé dans les pays méditerranéens. Il a été présenté ce 13 juin dernier aux participants à la conférence annuelle du think tank. 

Comment ont évolué les pays méditerranéens depuis le lancement du Processus de Barcelone ? Pourquoi la croissance a-t-elle été en deça des attentes ? Quelle rôle peuvent jouer les Banques Centrales pour rendre le secteur privé plus dynamique et attirer davantage d’investissements étrangers ? Comment les pouvoirs publics peuvent-ils contribuer au développement de l’entreprenariat social dans la but de réduire les phénomènes d’exclusivité ? Ce rapport tente de répondre à ces questions à travers 4 chapitres : le premier présente la dynamique observée des pays méditerranéens au cours de ces 20 dernières années ; le second tente d’analyser les principales raisons du manque de croissance ; le troisième porte sur le rôle des Banques Centrales dans l’amélioration de l’environnement des affaires et sur l’attractivité des investissements étrangers. Le quatrième et dernier chapitre est focalisé sur entrepreneuriat social.

Trois raisons majeures ont poussé les experts du réseau FEMISE a consacrer ce rapport au secteur privé en Méditerranée. La première est qu’il y a urgence à créer des emplois et, compte tenu de la situation des comptes publics, ces futures créations d’emplois ne pourront provenir que du secteur privé. La deuxième raison est que ces pays doivent faire évoluer leur régime de croissance pour devenir plus compétitifs et réaliser des montées en gamme. La troisième raison est qu’il était utile, comme le fait ce rapport, d’avoir une synthèse des apports de la littérature académique, des données disponibles, des rapports d’organisations internationales tout en ayant également un tour d’horizon sur les points de vue et recommandations d’experts, membres de la société civile et partenaires opérationnels sur le sujet. Dans le dernier chapitre, ces acteurs du changement exposent et proposent des actions concrètes pour un secteur privé à la hauteur des enjeux en Méditerranée, notamment via entrepreneuriat social.

« Un paradoxe des pays méditerranéens est d’avoir, à la fois, un faible niveau de pauvreté comparativement aux pays en développement et émergents et, dans le même temps certaines parties de la population isolées et/ou exclues de la sphère économique. Il s’agit des jeunes, des femmes et du monde rural éloigné des grandes agglomérations. On pourrait également y ajouter les personnes dont les activités économiques sont dans l’informel. C’est donc un système économique qui repose sur l’exclusion d’au moins les deux tiers de sa population et dont les fondements d’un développement durable ne sont pas assurés » expliquent les auteurs.

Le rapport, produit sous la direction de l‘Institut de la Méditerranée (IM) et coordonnée par Patricia Augier (Présidente du Comité Scientifique du FEMISE), a été rédigé par des économistes du réseau de chercheurs FEMISE. Les auteurs sont :.

Pr. Patricia Augier (Professeur Aix-Marseille School of Economics, Présidente du Comité Scientifique du FEMISE et de l’IM) ;
Dr. Constantin Tsakas (Secrétaire Général du FEMISE et Délégué Général de l’IM) ;
Pr. Sami Mouley (Professeur de Finance Internationale à l’Université de Tunis) ;
Karine Moukaddem (stagiaire analyste politique à l’Union pour la Méditerranée, experte FEMISE) et
Jocelyn Ventura (économiste à l’IM et au FEMISE).

Les 4 chapitres sont également téléchargeables séparément en cliquant ci-dessous :

Le rapport Euromed est une publication annuelle du FEMISE qui traite des thèmes d’importance et d’intérêt pour la région Euro-Med. Le rapport apporte une véritable valeur ajoutée en termes de connaissances sur le thème couvert. Il fournit une analyse approfondie proposée par des économistes spécialisés et avec une approche pluridisciplinaire du Nord et du Sud de la Méditerranée. Cela apporte une vision commune des deux rives de la Méditerranée et des recommandations politiques qui peuvent contribuer au processus de transition des pays du Sud Med.

[1] Ce rapport a reçu un soutien financier de l’Union européenne à travers le projet FEMISE “Support to Economic Research, studies and dialogues of the Euro-Mediterranean Partnership”. Toute opinion exprimée dans ce rapport est de la seule responsabilité des auteurs.

Source de l'article Le FEMISE

L'éducation au Sud de la Méditerranée comme responsable des frictions sur le marché du travail

Léo Vincent veut "connecter les diplômés avec les entreprises" (photo : F.Dubessy)
Léo Vincent veut "connecter les diplômés avec les entreprises" (photo : F.Dubessy)

Une formation inadaptée au marché actuel de l'emploi se traduit par un fort taux de chômage, notamment chez les jeunes diplômés. Elle pousse les diplômés à choisir la fonction publique ou à émigrer. 

Chômage élevé chronique, spécifiquement chez les jeunes adultes, faibles taux d'emploi, changements dans les systèmes éducatifs, frictions sur le marché du travail et échecs des gouvernements à les aplanir, immigration fonctionnant comme une soupape de sécurité, les pistes ne manquent pas pour expliquer l'inadéquation entre formation et offres d'emplois constatée dans les pays du Sud de la Méditerranée. 
Elles ont été explorées lors de la conférence annuelle du réseau Emnes (Euro-Mediterranean network for economic studies) qui se tenait à Bruxelles le 27 juin 2019, avec comme question phare posée par le modérateur, Nooh Alshyab, de l'université de Yarmouk, "est-ce un problème de demande ou d'offre ?" 

"Ce n'est pas l'un ou l'autre, mais entre les deux", répond Nathalie Creste, conseillère à la direction mobilité des travailleurs à la Direction générale Emploi, affaires sociales et inclusion à la Commission européenne. Les frictions sur le marché du travail sont bien la conséquence de l'inadéquation des compétences, confortée par le constat que les études supérieures sont orientées vers la fonction publique et que, malgré une augmentation de la scolarisation, la mauvaise qualité de l'enseignement persiste. 

"Le principal problème reste le taux de chômage chez les très éduqués. Il atteint les 40% en Tunisie, et même 50% pour les femmes dans ce même pays", constate Cinzia Alcidi, chercheuse principale et cheffe de la politique économique du CEPS (Centre d'étude des politiques européennes). 
La formation ne correspond donc pas aux emplois disponibles. "L'éducation devrait générer de nouveaux emplois. Il est fondamental de penser un système d'éducation qui forme de bons salariés pour les entreprises privées et de nouveaux employeurs", lance Cinzia Alcidi.

Coopération nécessaire entre les deux rives

L'importance du secteur public et son attractivité (salaires plus élevés, meilleure protection sociale, garantie de l'emploi et statut), affecte les choix d'éducation. Et absorbe les plus talentueux.Quand ils ne sont pas tentés par l'immigration. Selon Eurostat (chiffres 2017), sur le million de jeunes de dix-huit à trente-quatre ans (Algériens, Egyptiens, Marocains et Tunisiens) présents sur le sol européen, 40% ont un emploi, 42% restent inactifs et 18% se trouvent au chômage. Preuve encore que leur formation ne correspond pas aux besoins des entreprises à l'étranger. 

"Sans coopération entre les deux rives, nous n'y arriverons pas", certifie Nooh Alshyab. D’où l'intérêt d'un programme comme HOMERe (Haute opportunité en Méditerranée pour le recrutement de cadres d'excellence). 
Son président, Léo Vincent, veut "connecter les diplômés avec les entreprises" en leur proposant des stages de six mois. 
L'appel à projets de la DG Migration et Affaires intérieures qu'il vient de décrocher va lui permettre de renforcer l'employabilité des jeunes méditerranéens du Maroc, de Tunisie et d'Égypte. 
"Le flot des migrations va se poursuivre, il est crucial d'assurer sa gestion", lance Cinzia Alcidi.


Par Frédéric Dubessy - Source de l'article Econostruminfo