Les pays méditerranéens ont adopté de nouvelles mesures concrètes et un calendrier obligatoire contraignant pour limiter l’impact des produits chimiques et des pesticides provenant d’activités industrielles ou agricoles sur l’environnement marin de la mer méditerranée.
aldrine, chlordane, dieldrine, endrine, heptachlore, mirex et toxaphène
Conformément à la Convention de Barcelone et au Plan d’action méditerranéen (PAM), ces mesures obligatoires sont entrées en vigueur mercredi. Elles visent à l’élimination graduelle d’une série de polluants organiques présents dans les eaux usées, tels que l’aldrine, le chlordane, la dieldrine, l’endrine, l’heptachlore, le mirex et le toxaphène.
« Ceci marque le début d’une nouvelle phase dans la mise en oeuvre de la Convention de Barcelone, nos engagements verbaux sont désormais encadrés par des délais d’action concrets », a déclaré Maria Luisa Silva, responsable du PAM au sein du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).
« Il s’agit là d’une toute nouvelle approche dans la lutte contre les polluants chimiques, puisque les délais et les mesures concrètes prescrites permettrons d’accélérer le rythme de réduction de la pollution en Méditerranée », a-t-elle ajouté.
La mise en oeuvre du plan d’élimination graduelle de ces substances dans les 21 pays riverains du bassin méditerranéen et dans les États membres de l’Union européenne devrait prendre place entre 2015 et 2019.
aldrine, chlordane, dieldrine, endrine, heptachlore, mirex et toxaphène
Conformément à la Convention de Barcelone et au Plan d’action méditerranéen (PAM), ces mesures obligatoires sont entrées en vigueur mercredi. Elles visent à l’élimination graduelle d’une série de polluants organiques présents dans les eaux usées, tels que l’aldrine, le chlordane, la dieldrine, l’endrine, l’heptachlore, le mirex et le toxaphène.
« Ceci marque le début d’une nouvelle phase dans la mise en oeuvre de la Convention de Barcelone, nos engagements verbaux sont désormais encadrés par des délais d’action concrets », a déclaré Maria Luisa Silva, responsable du PAM au sein du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).
« Il s’agit là d’une toute nouvelle approche dans la lutte contre les polluants chimiques, puisque les délais et les mesures concrètes prescrites permettrons d’accélérer le rythme de réduction de la pollution en Méditerranée », a-t-elle ajouté.
La mise en oeuvre du plan d’élimination graduelle de ces substances dans les 21 pays riverains du bassin méditerranéen et dans les États membres de l’Union européenne devrait prendre place entre 2015 et 2019.
Il s’agira notamment de mesures obligatoires de traitement des eaux usées dans les villes côtières et les centres urbains avant leur rejet dans la mer. Les eaux urbaines résiduaires sont la source la plus grave de pollution en Méditerranée.
Le Plan d’action pour la Méditerranée (PAM) est l’institution régionale qui soutient et coordonne la mise en oeuvre de la Convention de Barcelone et des protocoles qui ont été adoptés en 1976 par les 21 pays riverains du bassin méditerranéen et l’Union européenne, pour protéger les milieux marins et côtiers de la région.
Ecrit par Christophe Cavaillès - Toulouse7.com - le 20 juin 2010
Le Plan d’action pour la Méditerranée (PAM) est l’institution régionale qui soutient et coordonne la mise en oeuvre de la Convention de Barcelone et des protocoles qui ont été adoptés en 1976 par les 21 pays riverains du bassin méditerranéen et l’Union européenne, pour protéger les milieux marins et côtiers de la région.
Ecrit par Christophe Cavaillès - Toulouse7.com - le 20 juin 2010
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