Dans un contexte mondial marqué par la montée des questions de développement durable, quelles soient urbaines, environnementales, sociales ou culturelles, la Tunisie est soucieuse de renforcer la sauvegarde et l’attractivité de ses sites archéologiques qui constituent l‘un des principaux leviers d’intégration dans l’espace économique euro-méditerranéen et international.
En effet l’apport de la culture est bénéfique en terme d’image et de cohésion territoriale, elle crée une notoriété et est susceptible d’attirer des investisseurs et des touristes.
Avec presque 6 millions de visiteurs par an, la Tunisie est l’un des premiers espaces touristiques de la région méditerranéenne et possède un potentiel culturel exceptionnel avec plus de 26.000 sites archéologiques et historiques, des monuments prestigieux, des musées au rayonnement national et international.
Aujourd’hui, s’impose l’idée de la sauvegarde et de la mise en valeur des monuments anciens.
Cette richesse et la politique volontariste de valorisation du patrimoine ont un impact sur l’attractivité de la Tunisie, un impact au niveau des activités économiques connexes et des emplois induits et un impact au niveau des infrastructures générales.
En Tunisie le patrimoine n’est plus considéré, aujourd’hui, uniquement comme valeur culturelle mais également comme moyen de progrès et de développement.
Sauver les noyaux historiques imprégnés de culture, chargés d’histoire, mémoire collective de tout un peuple, les intégrer dans un monde contemporain, en pleine mutation technologique, n’est pas une tache aisée. Elle nécessite des hommes, des savoir-faire, des compétences, une adaptation continue. La culture est génératrice d’emplois, vivier économique elle est un atout dans la reconquête d’un tourisme haut de gamme, de valeurs.
La participation de tous les acteurs conditionne le succès de toute intervention. L’information au même titre que la formation sont considérées comme composantes fondamentales dans toute stratégie de sauvegarde adéquate.
La nécessité de mettre en place une véritable gestion des ressources humaines et l’élaboration d’un plan de formation devient cruciale. Il faut donc développer au mieux les ressources humaines et, à leur source, la formation aux métiers du patrimoine sans quoi cette stratégie ne pourrait aboutir, tant l'importance du processus d'éducation et de formation est capitale pour conserver, gérer et préserver les trésors du patrimoine tunisien.
Par l’enrichissement continue des compétences, la formation permet au personnel de s’adapter aux changements de techniques et d’organisation du travail, elle favorise leur évolution professionnelle.
Elle constitue le bras de levier du management dans l’accompagnement de ses objectifs, et ceux-ci ne manquent point tels que : l’ouverture de nouveaux musées, le montage d’expositions, l’émission de publications, la création de parcs archéologiques (Carthage, Dougga, Sbeïtla), les activités de sensibilisation auprès des élèves grâce à des visites de sites ou encore les actions de préservation et de promotion des médinas.
L’urgence en est dictée par la volonté de développer une politique de tourisme culturel, stratégique pour la croissance économique du secteur, mais aussi et surtout pour préserver, restaurer, sauvegarder, valoriser le riche patrimoine tunisien.
Il est donc nécessaire, pour la valorisation du patrimoine et le développement du secteur culturel dans tous ses aspects, d’adopter un management moderne de ses activités, d’adapter les structures de fonctionnement à son évolution et de le doter de personnel qualifié.
Une action durable en matière de patrimoine culturel passe par la valorisation des ressources humaines, donc des métiers des acteurs du patrimoine.
La formation en devient essentielle car tout le système de mise en valeur va reposer sur la qualité de ceux qui le mettront en œuvre.
En effet l’apport de la culture est bénéfique en terme d’image et de cohésion territoriale, elle crée une notoriété et est susceptible d’attirer des investisseurs et des touristes.
Avec presque 6 millions de visiteurs par an, la Tunisie est l’un des premiers espaces touristiques de la région méditerranéenne et possède un potentiel culturel exceptionnel avec plus de 26.000 sites archéologiques et historiques, des monuments prestigieux, des musées au rayonnement national et international.
Aujourd’hui, s’impose l’idée de la sauvegarde et de la mise en valeur des monuments anciens.
Cette richesse et la politique volontariste de valorisation du patrimoine ont un impact sur l’attractivité de la Tunisie, un impact au niveau des activités économiques connexes et des emplois induits et un impact au niveau des infrastructures générales.
En Tunisie le patrimoine n’est plus considéré, aujourd’hui, uniquement comme valeur culturelle mais également comme moyen de progrès et de développement.
Sauver les noyaux historiques imprégnés de culture, chargés d’histoire, mémoire collective de tout un peuple, les intégrer dans un monde contemporain, en pleine mutation technologique, n’est pas une tache aisée. Elle nécessite des hommes, des savoir-faire, des compétences, une adaptation continue. La culture est génératrice d’emplois, vivier économique elle est un atout dans la reconquête d’un tourisme haut de gamme, de valeurs.
La participation de tous les acteurs conditionne le succès de toute intervention. L’information au même titre que la formation sont considérées comme composantes fondamentales dans toute stratégie de sauvegarde adéquate.
La nécessité de mettre en place une véritable gestion des ressources humaines et l’élaboration d’un plan de formation devient cruciale. Il faut donc développer au mieux les ressources humaines et, à leur source, la formation aux métiers du patrimoine sans quoi cette stratégie ne pourrait aboutir, tant l'importance du processus d'éducation et de formation est capitale pour conserver, gérer et préserver les trésors du patrimoine tunisien.
Par l’enrichissement continue des compétences, la formation permet au personnel de s’adapter aux changements de techniques et d’organisation du travail, elle favorise leur évolution professionnelle.
Elle constitue le bras de levier du management dans l’accompagnement de ses objectifs, et ceux-ci ne manquent point tels que : l’ouverture de nouveaux musées, le montage d’expositions, l’émission de publications, la création de parcs archéologiques (Carthage, Dougga, Sbeïtla), les activités de sensibilisation auprès des élèves grâce à des visites de sites ou encore les actions de préservation et de promotion des médinas.
L’urgence en est dictée par la volonté de développer une politique de tourisme culturel, stratégique pour la croissance économique du secteur, mais aussi et surtout pour préserver, restaurer, sauvegarder, valoriser le riche patrimoine tunisien.
Il est donc nécessaire, pour la valorisation du patrimoine et le développement du secteur culturel dans tous ses aspects, d’adopter un management moderne de ses activités, d’adapter les structures de fonctionnement à son évolution et de le doter de personnel qualifié.
Une action durable en matière de patrimoine culturel passe par la valorisation des ressources humaines, donc des métiers des acteurs du patrimoine.
La formation en devient essentielle car tout le système de mise en valeur va reposer sur la qualité de ceux qui le mettront en œuvre.
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