Même les pays du sud de la Méditerranée devraient améliorer leurs capacités de travailler ensemble pendant les urgences”, déclare Marleine BRAX, ingénieur auprès du Centre de Recherche Géophysique libanais lors de sa participation à l’ “Exercice de Secours Tremblement de terre - TEREX”, organisé du 26 au 28 novembre 2010 par la Protection Civile italienne.
Marleine BRAX est un des 30 experts en protection civile provenant des 14 Pays Méditerranéens et Balkaniques - impliqués dans la mise en œuvre du Programme PPRD South financé per l’UE – qui ont été invité en tant qu’observateurs à TEREX dont l’objectif était de tester le modèle italien pour le déploiement et l’opérabilité des équipes nationales et étrangères pendant une crise.
“La participation d’équipes de gestion de crise provenant de différents pays à une simulation de crise – a ajouté Marleine BRAX – peut contribuer à comparer les approches, échanger les expériences et à mieux se préparer pour faire face aux catastrophes. Les capacités de gestion de crise des pays Méditerranéens du Sud devraient être améliorées surtout par rapport aux liens opérationnels entre la protection civile et la communauté scientifique et à la coordination du support international”.
Nourdine FEDDI de la Protection Civile algérienne a affirmé que “la principale leçon apprise grâce à notre participation à TEREX est que pour améliorer la collaboration entre la Protection Civile et la communauté scientifique dans la gestion des crises, il est indispensable de définir des rôles clairs et des procédures partagées.
Marleine BRAX est un des 30 experts en protection civile provenant des 14 Pays Méditerranéens et Balkaniques - impliqués dans la mise en œuvre du Programme PPRD South financé per l’UE – qui ont été invité en tant qu’observateurs à TEREX dont l’objectif était de tester le modèle italien pour le déploiement et l’opérabilité des équipes nationales et étrangères pendant une crise.
“La participation d’équipes de gestion de crise provenant de différents pays à une simulation de crise – a ajouté Marleine BRAX – peut contribuer à comparer les approches, échanger les expériences et à mieux se préparer pour faire face aux catastrophes. Les capacités de gestion de crise des pays Méditerranéens du Sud devraient être améliorées surtout par rapport aux liens opérationnels entre la protection civile et la communauté scientifique et à la coordination du support international”.
Nourdine FEDDI de la Protection Civile algérienne a affirmé que “la principale leçon apprise grâce à notre participation à TEREX est que pour améliorer la collaboration entre la Protection Civile et la communauté scientifique dans la gestion des crises, il est indispensable de définir des rôles clairs et des procédures partagées.
Tous les acteurs nationaux et internationaux qui se trouvent dans une situation de crise devrait avoir partagé à l’avance un langage commun et avoir préparé des procédures opérationnelles communes”.
Le Cpt. Nourddine EL BANSIR, provenant du Maroc, ajoute : “Nous avons beaucoup apprécié le niveau de coordination parmi les différents services nationaux et les équipes internationales de recherche et sauvetage qui a été atteint à travers une gestion efficace des informations et des communications et grâce à une structure de commandement et de contrôle claire ”.
“Un aspect très intéressant de l’exercice et de l’organisation de la Protection Civile italienne est la participation des volontaires dans les opérations, avantage dont le Monténégro ne peut pas profiter ; - dit M. Ljuban TMUSIC de la Protection Civile Nationale – la Protection Civile de mon pays pourrait apprendre beaucoup de l’expérience italienne dans ce domaine”.
TEREX, financé par l’Union européenne, a vu la participation d’équipes de protection civile françaises, slovènes, autrichiennes et russes. Le scénario de référence de TEREX a simulé un tremblement de terre qui aurait touché la zone septentrionale des Apennins de Toscane dans la matinée du 25 novembre 2010.
Le Cpt. Nourddine EL BANSIR, provenant du Maroc, ajoute : “Nous avons beaucoup apprécié le niveau de coordination parmi les différents services nationaux et les équipes internationales de recherche et sauvetage qui a été atteint à travers une gestion efficace des informations et des communications et grâce à une structure de commandement et de contrôle claire ”.
“Un aspect très intéressant de l’exercice et de l’organisation de la Protection Civile italienne est la participation des volontaires dans les opérations, avantage dont le Monténégro ne peut pas profiter ; - dit M. Ljuban TMUSIC de la Protection Civile Nationale – la Protection Civile de mon pays pourrait apprendre beaucoup de l’expérience italienne dans ce domaine”.
TEREX, financé par l’Union européenne, a vu la participation d’équipes de protection civile françaises, slovènes, autrichiennes et russes. Le scénario de référence de TEREX a simulé un tremblement de terre qui aurait touché la zone septentrionale des Apennins de Toscane dans la matinée du 25 novembre 2010.
Différents scénarios opérationnels ont été organisés sur le territoire avec la participation de ressources nationales, internationales et locales y compris la population. Suite à la première réaction opérationnelle des unités locales de protection civile, la Protection Civile Nationale a envoyé le ressources requises arrivées de toute la nation, a crée une salle nationale de commandement et de contrôle et a demandé le support des Etats Membres de l’Union, en termes de équipes de recherche et sauvetage et d’experts en évaluation des dégâts, à travers le Centre de Suivi et d’Information - MIC - du Mécanisme de Protection Civile de l’Union Européenne.
Nourdine FEDDI de la Protection Civile algérienne a affirmé que “la principale leçon apprise grâce à notre participation à TEREX est que pour améliorer la collaboration entre la Protection Civile et la communauté scientifique dans la gestion des crises, il est indispensable de définir des rôles clairs et des procédures partagées. Tous les acteurs nationaux et internationaux qui se trouvent dans une situation de crise devrait avoir partagé à l’avance un langage commun et avoir préparé des procédures opérationnelles communes”.
Le Cpt. Nourddine EL BANSIR, provenant du Maroc, ajoute : “Nous avons beaucoup apprécié le niveau de coordination parmi les différents services nationaux et les équipes internationales de recherche et sauvetage qui a été atteint à travers une gestion efficace des informations et des communications et grâce à une structure de commandement et de contrôle claire ”.
“Un aspect très intéressant de l’exercice et de l’organisation de la Protection Civile italienne est la participation des volontaires dans les opérations, avantage dont le Monténégro ne peut pas profiter ; - dit M. Ljuban TMUSIC de la Protection Civile Nationale – la Protection Civile de mon pays pourrait apprendre beaucoup de l’expérience italienne dans ce domaine”.
Pendant l’exercice, les 30 représentants des Protections Civiles méditerranéennes et balkaniques ont été introduits dans une série d’événements planifiés notamment la visite au centre local de commandement et de contrôle, des opérations de recherche et sauvetage suivies à l’écroulement virtuel d’un bâtiment avec des personnes coincées dans les débris, le sauvetage de personnes bloquées dans des véhicules touchés par un glissement de terrain, l’évacuation et la consolidation d’un édifice historique, la visite à la salle de commandement et de contrôle avec une réunion qui prévoyait un compte rendu final.
A la fin de l’expérience, Marleine Brax confirme “il est temps d’organiser un exercice conjoint de réponse aux catastrophe même entre les pays Méditerranéens”.
Par Alessandro Candeloro - Euromedcp.eu - décembre 2010
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Nourdine FEDDI de la Protection Civile algérienne a affirmé que “la principale leçon apprise grâce à notre participation à TEREX est que pour améliorer la collaboration entre la Protection Civile et la communauté scientifique dans la gestion des crises, il est indispensable de définir des rôles clairs et des procédures partagées. Tous les acteurs nationaux et internationaux qui se trouvent dans une situation de crise devrait avoir partagé à l’avance un langage commun et avoir préparé des procédures opérationnelles communes”.
Le Cpt. Nourddine EL BANSIR, provenant du Maroc, ajoute : “Nous avons beaucoup apprécié le niveau de coordination parmi les différents services nationaux et les équipes internationales de recherche et sauvetage qui a été atteint à travers une gestion efficace des informations et des communications et grâce à une structure de commandement et de contrôle claire ”.
“Un aspect très intéressant de l’exercice et de l’organisation de la Protection Civile italienne est la participation des volontaires dans les opérations, avantage dont le Monténégro ne peut pas profiter ; - dit M. Ljuban TMUSIC de la Protection Civile Nationale – la Protection Civile de mon pays pourrait apprendre beaucoup de l’expérience italienne dans ce domaine”.
Pendant l’exercice, les 30 représentants des Protections Civiles méditerranéennes et balkaniques ont été introduits dans une série d’événements planifiés notamment la visite au centre local de commandement et de contrôle, des opérations de recherche et sauvetage suivies à l’écroulement virtuel d’un bâtiment avec des personnes coincées dans les débris, le sauvetage de personnes bloquées dans des véhicules touchés par un glissement de terrain, l’évacuation et la consolidation d’un édifice historique, la visite à la salle de commandement et de contrôle avec une réunion qui prévoyait un compte rendu final.
A la fin de l’expérience, Marleine Brax confirme “il est temps d’organiser un exercice conjoint de réponse aux catastrophe même entre les pays Méditerranéens”.
Par Alessandro Candeloro - Euromedcp.eu - décembre 2010
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