Déserts brûlés par le soleil et terres battues par les vents sont appelés à devenir demain de nouveaux Eldorado convoités par les Européens pour produire à bas prix l'énergie solaire et éolienne dont ils ont besoin pour réduire leur dépendance du pétrole.
Les pays du pourtour de la Méditerranée ont beaucoup à gagner de l'ambiteux objectif que s'est fixé l'Union européenne dans le domaine des énergies renouvelables, a affirmé vendredi à leurs représentants le commissaire à l'Energie Andris Piebalgs lors d'une conférence à Bruxelles.
Les Européens se sont imposé 20% de renouvelables dans leur consommation finale d'énergie en 2020 pour réduire leur dépendance au pétrole, très polluant, et réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Chaque pays de l'UE a un objectif national mais pour le réaliser, "il peut investir dans des pays tiers, à condition que cette production soit physiquement utilisée dans l'UE, ce qui suppose au préalable la construction de connexions", a rappelé M. Piebalgs.
Nombre d'Etats européens n'ont pas la possibilité de miser sur la carte du solaire ou de l'éolien sur leur territoire, faute de soleil, de vent, ou à cause de l'hostilité de leur population aux installations.
M. Piebalgs s'est déclaré "personnellement favorable" à ce que les Européens jouent la carte du développement de sources d'énergies renouvelables hors de l'UE.
"Tous les pays du pourtour de la Méditerranée voisins de pays de l'UE ont un intérêt évident à développer les énergies renouvelables", a-t-il insisté.
"La Commission étudie différentes possibilités d'interconnexions et fera des propositions d'ici l'année prochaine", a-t-il annoncé.
Mais les autres pays liés à l'Union européenne comme les Etats pétroliers du Golfe ont également intérêt à se lancer dans ces investissements pour "diversifier leur production d'énergie" et "se préparer à l'avenir" avec une demande moindre pour le pétrole et le gaz, a ajouté le commissaire.
L'objectif européen dans les énergies renouvelables "permettra de réduire les émissions de CO2 de l'UE de 600 à 900 millions de tonnes par an et de réduire la demande de l'UE en énergies fossiles de 250 millions de tonnes d'équivalent pétrole, a-t-il souligné.
Les pays du pourtour de la Méditerranée ont beaucoup à gagner de l'ambiteux objectif que s'est fixé l'Union européenne dans le domaine des énergies renouvelables, a affirmé vendredi à leurs représentants le commissaire à l'Energie Andris Piebalgs lors d'une conférence à Bruxelles.
Les Européens se sont imposé 20% de renouvelables dans leur consommation finale d'énergie en 2020 pour réduire leur dépendance au pétrole, très polluant, et réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Chaque pays de l'UE a un objectif national mais pour le réaliser, "il peut investir dans des pays tiers, à condition que cette production soit physiquement utilisée dans l'UE, ce qui suppose au préalable la construction de connexions", a rappelé M. Piebalgs.
Nombre d'Etats européens n'ont pas la possibilité de miser sur la carte du solaire ou de l'éolien sur leur territoire, faute de soleil, de vent, ou à cause de l'hostilité de leur population aux installations.
M. Piebalgs s'est déclaré "personnellement favorable" à ce que les Européens jouent la carte du développement de sources d'énergies renouvelables hors de l'UE.
"Tous les pays du pourtour de la Méditerranée voisins de pays de l'UE ont un intérêt évident à développer les énergies renouvelables", a-t-il insisté.
"La Commission étudie différentes possibilités d'interconnexions et fera des propositions d'ici l'année prochaine", a-t-il annoncé.
Mais les autres pays liés à l'Union européenne comme les Etats pétroliers du Golfe ont également intérêt à se lancer dans ces investissements pour "diversifier leur production d'énergie" et "se préparer à l'avenir" avec une demande moindre pour le pétrole et le gaz, a ajouté le commissaire.
L'objectif européen dans les énergies renouvelables "permettra de réduire les émissions de CO2 de l'UE de 600 à 900 millions de tonnes par an et de réduire la demande de l'UE en énergies fossiles de 250 millions de tonnes d'équivalent pétrole, a-t-il souligné.
Par AFP - le 9 octobre 2009
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