L'Union pour la Méditerranée « insuffle un nouvel élan aux relations de l'Europe avec ses voisins du Sud », a déclaré Benita Ferrero-Waldner, commissaire européenne en charge des relations extérieures et de la politique européenne de voisinage (PEV), en réunion plénière de la Chambre de commerce américaine à Bruxelles.
Dans un discours intitulé « Une Europe plus vaste – les cinq dernières années », la commissaire a décrit le développement de la PEV comme « la reconnaissance fort tardive du fait que les intérêts de l'UE sont étroitement liés à l'évolution de la situation à ses frontières orientales et méridionales et que nous avons besoin de mener des relations stables et prévisibles avec nos voisins.En résumé, si nous n'« exportons » pas de la stabilité, nous risquons d'« importer » de l'instabilité. »
Mme Ferrero-Waldner a souligné que des projets concrets formaient le noyau de l'Union pour la Méditerranée, « des projets qui cherchent à produire des effets tangibles sur la vie quotidienne en stimulant la croissance, l'emploi, la cohésion sociale et l'intégration socio-économique ».
La Facilité euro-méditerranéenne d'investissement et de partenariat apporte au secteur privé des capitaux à des conditions qui ne sont pas accessibles au niveau local, a-t-elle ajouté. « Nous travaillons sur des initiatives de promotion des énergies propres, comme le plan solaire méditerranéen. De plus, nous soutenons le développement d'un réseau de transport euro-méditerranéen efficient et intégré. »
Pour la commissaire, l'établissement d'une zone euro-méditerranéenne de libre-échange reste un objectif important. Elle a évoqué le premier accord relatif à une évaluation de conformité, signé en juillet avec Israël, et déclaré avoir hâte de voir l'heureuse conclusion des négociations sur la libéralisation du commerce des services et le droit d'établissement, à mener l'an prochain avec l'Égypte, le Maroc, la Tunisie et Israël.
Mme Ferrero-Waldner est toutefois consciente du poids des obstacles politiques : « L'Union pour la Méditerranée a naturellement été affectée par les mêmes difficultés politiques que le processus de Barcelone. Nous espérons voir bientôt la reprise des négociations entre l'Autorité palestinienne et Israël. »
Discours de Benita Ferrero Waldner
Dans un discours intitulé « Une Europe plus vaste – les cinq dernières années », la commissaire a décrit le développement de la PEV comme « la reconnaissance fort tardive du fait que les intérêts de l'UE sont étroitement liés à l'évolution de la situation à ses frontières orientales et méridionales et que nous avons besoin de mener des relations stables et prévisibles avec nos voisins.En résumé, si nous n'« exportons » pas de la stabilité, nous risquons d'« importer » de l'instabilité. »
Mme Ferrero-Waldner a souligné que des projets concrets formaient le noyau de l'Union pour la Méditerranée, « des projets qui cherchent à produire des effets tangibles sur la vie quotidienne en stimulant la croissance, l'emploi, la cohésion sociale et l'intégration socio-économique ».
La Facilité euro-méditerranéenne d'investissement et de partenariat apporte au secteur privé des capitaux à des conditions qui ne sont pas accessibles au niveau local, a-t-elle ajouté. « Nous travaillons sur des initiatives de promotion des énergies propres, comme le plan solaire méditerranéen. De plus, nous soutenons le développement d'un réseau de transport euro-méditerranéen efficient et intégré. »
Pour la commissaire, l'établissement d'une zone euro-méditerranéenne de libre-échange reste un objectif important. Elle a évoqué le premier accord relatif à une évaluation de conformité, signé en juillet avec Israël, et déclaré avoir hâte de voir l'heureuse conclusion des négociations sur la libéralisation du commerce des services et le droit d'établissement, à mener l'an prochain avec l'Égypte, le Maroc, la Tunisie et Israël.
Mme Ferrero-Waldner est toutefois consciente du poids des obstacles politiques : « L'Union pour la Méditerranée a naturellement été affectée par les mêmes difficultés politiques que le processus de Barcelone. Nous espérons voir bientôt la reprise des négociations entre l'Autorité palestinienne et Israël. »
Discours de Benita Ferrero Waldner
Par InfoCentre - le 13 octobre 2009
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