La ministre de l'Environnement, de l'Energie et du Changement climatique, Tina Birbili, a annoncé des initiatives avant la conférence sur le climat prévue à Mexico, lors de la présentation mardi d'un rapport de l'ONU sur "La situation de l'environnement et le développement en Méditerranée".
Dans ce rapport, a expliqué Mme Birbili, est mis en évidence "l'usage irrationnel des ressources en eau, leur pollution et l'absence de gestion des déchets ménagers, choses essentielles préoccupant la Grèce", se référant par la suite à la proposition déposée par Athènes à Bruxelles sur la gestion des eaux en Méditerranée. Cette proposition, a précisé le ministre, consiste à mettre en place un réseau de coopération, de coordination et de dialogue entre les pays de la Méditerranée en vue d'un développement durable dans la région, avec l'accent mis sur les possibilités d'adaptation aux répercussions du changement climatique.
Est intervenu aussi le secrétaire spécial du Service central des Eaux, Andreas Andreadakis, pour informer que des financements du Cadre national stratégique de Référence (ESPA) garantissent un montant de 1,5 milliard d'euros pour des actions pour l'eau, y compris des programmes d'épuration biologique.
Les amendes annuelles pour l'épuration des eaux en Attique orientale, a indiqué M. Andreadakis, devraient se chiffrer presque à 30 millions d'euros - un paiement quasiment inévitable et pouvant être imposé d'un moment à l'autre. Il est urgent, a-t-il dit, de convaincre les instances européennes qu'Athènes a planifié des actions, annonçant que la ministre et lui-même en informeront à Bruxelles le nouveau commissaire européen, le Slovène Janez Potocnik.
Enfin, la coordinatrice adjointe du Programme Environnement des Nations unies/Plan d'action méditerranéen (UNEP/MPA), Mme Mejia, a confirmé à propos du changement climatique dans la région méditerranéenne que les scientifiques s'attendent dans les années à venir à une pluviométrie plus faible, un réchauffement des températures, avec pour résultat une désertification et moins de récoltes.
Dans ce rapport, a expliqué Mme Birbili, est mis en évidence "l'usage irrationnel des ressources en eau, leur pollution et l'absence de gestion des déchets ménagers, choses essentielles préoccupant la Grèce", se référant par la suite à la proposition déposée par Athènes à Bruxelles sur la gestion des eaux en Méditerranée. Cette proposition, a précisé le ministre, consiste à mettre en place un réseau de coopération, de coordination et de dialogue entre les pays de la Méditerranée en vue d'un développement durable dans la région, avec l'accent mis sur les possibilités d'adaptation aux répercussions du changement climatique.
Est intervenu aussi le secrétaire spécial du Service central des Eaux, Andreas Andreadakis, pour informer que des financements du Cadre national stratégique de Référence (ESPA) garantissent un montant de 1,5 milliard d'euros pour des actions pour l'eau, y compris des programmes d'épuration biologique.
Les amendes annuelles pour l'épuration des eaux en Attique orientale, a indiqué M. Andreadakis, devraient se chiffrer presque à 30 millions d'euros - un paiement quasiment inévitable et pouvant être imposé d'un moment à l'autre. Il est urgent, a-t-il dit, de convaincre les instances européennes qu'Athènes a planifié des actions, annonçant que la ministre et lui-même en informeront à Bruxelles le nouveau commissaire européen, le Slovène Janez Potocnik.
Enfin, la coordinatrice adjointe du Programme Environnement des Nations unies/Plan d'action méditerranéen (UNEP/MPA), Mme Mejia, a confirmé à propos du changement climatique dans la région méditerranéenne que les scientifiques s'attendent dans les années à venir à une pluviométrie plus faible, un réchauffement des températures, avec pour résultat une désertification et moins de récoltes.
Par Athens News Agency - 7 mars 2010
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