Pour préserver les réserves énergétiques actuelles de l’Algérie (pétrole et gaz), les pouvoirs publics ont opté pour le développement et l’exploitation des énergies alternatives, notamment solaire, éolienne et nucléaire.
L’exploitation de l’énergie solaire a été entamée par la réalisation d’une centrale à Hassi R’mel d’une capacité de 15 mégawats. D’autres projets sont envisagés, assure Chakib Khelil.
« A très long terme, à l’horizon 2025, je dirai que 15% de l’électricité sera produite à partir du solaire. Le développement de ces énergies nous permettra d’épargner le gaz pour l’exporter ou l’utiliser dans la pétrochimie. A très long terme, on pourra même exporter l’énergie solaire et éolienne si elle est compétitive vers d’autres pays », a déclaré , ce matin, Chakib Khelil , ministre de l’Energie et des Mines, sur les ondes de la Chaîne III. La promotion et le développement des énergies alternatives constituent donc une nécessité incontournable. Pour M. Khelil, le développement des énergies alternatives aura également un effet positif sur la préservation de l’environnement et la lutte contre le chômage. « Les énergies solaire et éolienne sont moins polluantes.
L’investissement dans ce secteur permettra de créer des emplois et d’épargner l’utilisation des énergies fossiles comme le gaz, l’essence, le GPL, etc. qui peuvent être exportées ou utilisées pour générer des activités industrielles », a-t-il expliqué.
« A très long terme, à l’horizon 2025, je dirai que 15% de l’électricité sera produite à partir du solaire. Le développement de ces énergies nous permettra d’épargner le gaz pour l’exporter ou l’utiliser dans la pétrochimie. A très long terme, on pourra même exporter l’énergie solaire et éolienne si elle est compétitive vers d’autres pays », a déclaré , ce matin, Chakib Khelil , ministre de l’Energie et des Mines, sur les ondes de la Chaîne III. La promotion et le développement des énergies alternatives constituent donc une nécessité incontournable. Pour M. Khelil, le développement des énergies alternatives aura également un effet positif sur la préservation de l’environnement et la lutte contre le chômage. « Les énergies solaire et éolienne sont moins polluantes.
L’investissement dans ce secteur permettra de créer des emplois et d’épargner l’utilisation des énergies fossiles comme le gaz, l’essence, le GPL, etc. qui peuvent être exportées ou utilisées pour générer des activités industrielles », a-t-il expliqué.
Le potentiel solaire de l’Algérie est considéré comme l’un des plus importants dans la Méditérranée et l’exploitation de cette source pourra contribuer à économiser le pétrole et le gaz. M. Khelil estime que les énergies solaire et éolienne sont techniquement faisables. « Dans le domaine de la production industrielle d’énergie solaire, nous avons déjà commencé. Nous avons maintenant une centrale en construction d’énergie hybride solaire-gaz à Hassi R’mel d’une capacité de 150 mégawatts », a-t-il affirmé, précisant que 35% de la capacité de cette centrale sont à base solaire. Le défi majeur est relatif à l’acquisition des technologies de stockage de cette énergie à générer durant la journée et l’utiliser le soir.
Dans ce sens, le ministre estime que la question n’est pas urgente. « Nous avons du temps. Nous avons des réserves très importantes en gaz et pétrole qui nous permettent de nous donner le temps nécessaire pour passer aux autres alternatives », a-t-il dit. Le nucléaire constitue l’autre option. Notre pays a déjà signé de nombreux accords avec différents pays (l’Argentine, la Chine, la France, les USA) et actuellement les négociations avec la Russie et l’Afrique du Sud sont en cours, selon M. Khelil.
Une loi organisant le nucléaire est actuellement au niveau de la chefferie du gouvernement. « Vers 2020, nous aurons probablement notre première centrale électro-nucléaire et nous aurions une nouvelle centrale chaque cinq ans après cela », a estimé l’invité de la radio nationale. Toutefois, l’énergie nucléaire pose problème pour l’uranium, a-t-il expliqué. Il nous faudra l’enrichir dans d’autres pays, le réimporter et il faut aussi le retraiter après utilisation à l’étranger aussi, a conclu M. Khelil.
Dans ce sens, le ministre estime que la question n’est pas urgente. « Nous avons du temps. Nous avons des réserves très importantes en gaz et pétrole qui nous permettent de nous donner le temps nécessaire pour passer aux autres alternatives », a-t-il dit. Le nucléaire constitue l’autre option. Notre pays a déjà signé de nombreux accords avec différents pays (l’Argentine, la Chine, la France, les USA) et actuellement les négociations avec la Russie et l’Afrique du Sud sont en cours, selon M. Khelil.
Une loi organisant le nucléaire est actuellement au niveau de la chefferie du gouvernement. « Vers 2020, nous aurons probablement notre première centrale électro-nucléaire et nous aurions une nouvelle centrale chaque cinq ans après cela », a estimé l’invité de la radio nationale. Toutefois, l’énergie nucléaire pose problème pour l’uranium, a-t-il expliqué. Il nous faudra l’enrichir dans d’autres pays, le réimporter et il faut aussi le retraiter après utilisation à l’étranger aussi, a conclu M. Khelil.
Par Actualite.el-annabi.com - mars 2009
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