La coprésidence franco-égyptienne de l'Union pour la Méditerranée (UPM) veut entériner le "Plan solaire" nécessitant 80 milliards d'euros.
Pas moins de 80 milliards d'euros : c'est le coût colossal du « Plan solaire » que la coprésidence franco-égyptienne de l'Union pour la Méditerranée (UPM) veut mettre en oeuvre, à la fin de novembre, lors d'une réunion entre les 43 pays membres de l'UPM, des investisseurs privés et des institutions financières. Objectif : construire des « capacités additionnelles de production d'électricité bas carbone (sic), notamment solaire, dans les pays du pourtour méditerranéen, d'une puissance totale de 20 gigawatts à l'horizon 2020 ».
Pas moins de 80 milliards d'euros : c'est le coût colossal du « Plan solaire » que la coprésidence franco-égyptienne de l'Union pour la Méditerranée (UPM) veut mettre en oeuvre, à la fin de novembre, lors d'une réunion entre les 43 pays membres de l'UPM, des investisseurs privés et des institutions financières. Objectif : construire des « capacités additionnelles de production d'électricité bas carbone (sic), notamment solaire, dans les pays du pourtour méditerranéen, d'une puissance totale de 20 gigawatts à l'horizon 2020 ».
L'Express.fr - le 24 octobre 2008
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