A l’occasion de la conférence sur le Plan Solaire Méditerranéen (PSM) organisé par la Présidence espagnole de l’UE à Valencia, le WWF et la Fondation Heinrich Böll lancent un guide sur les étapes devant conduire au développement des énergies propres dans le pays virtuel méditerranéen « Heliosthana ». Les 6 étapes décrites sont immédiatement applicables aux nombreux pays méditerranéens, traçant le chemin vers un mix énergétique basé sur les énergies renouvelables.
Les ressources en énergies fossiles s’épuisent, aggravant l’insécurité énergétique et l’instabilité des prix de l’énergie. Le changement climatique frappe à notre porte, avec son lot de catastrophes naturelles. Il est urgent de trouver des solutions. C’est ce que propose le guide Heliosthana, décrivant les dix années devant nous mener vers une transition énergétique durable et respectueuse de la planète et de ses habitants.
En 2020, Heliosthana combine une faible intensité énergétique (20% de moins qu’en 2010) et une part importante d’énergies renouvelables (20% de l’offre d’énergie primaire). Une partie de l’énergie renouvelable est exportée vers les pays voisins. L’éducation, la recherche-développement et la santé ont bénéficié des économies réalisées sur les investissements et importations en énergies fossiles.
Identifié comme un projet stratégique de l’Union pour la Méditerranée, lancée le 13 juillet 2008 à Paris, le PSM a défini un objectif de 20 Gigawatts de capacité en énergies renouvelables d’ici 2020 ; le potentiel d’investissements en Afrique du Nord est estimé à 400 milliards d’euros à plus long terme (selon l’initiative Desertec).
Le WWF soutient les projets de développement des énergies renouvelables et souhaite que le PSM mette en place les conditions du développement exemplaire de l’énergie solaire en méditerranée non seulement pour l’exportation mais également pour la consommation domestique.
Heliosthana souligne la nécessité que les projets du Plan Solaire Méditerranéen s’intègrent dans des stratégies nationales des pays participant au Plan. Le PSM doit aussi coordonner les plans nationaux entre eux, favoriser la coopération avec les universités locales et régionales et réduire les coûts de recherche-développement à travers la coopération régionale. Enfin, les petits projets doivent être regroupés et soutenus afin qu’ils puissent être aussi attractifs pour les investisseurs.
Pour Jean-Philippe Denruyter, Responsable du Programme des Energies Renouvelables au WWF International, « le WWF est convaincu qu’Heliosthana peut devenir un modèle pour les pays du Nord et du Sud de la Méditerranée, et un allié idéal pour que le Plan Solaire Méditerranéen atteigne ses objectifs. Chaque pays dans la région devrait construire un plan national pour un développement optimal de l’énergie solaire et assurer sa propre sécurité énergétique. ».
Source : WWF - environnement-france.fr - le 12 mai 2010
En 2020, Heliosthana combine une faible intensité énergétique (20% de moins qu’en 2010) et une part importante d’énergies renouvelables (20% de l’offre d’énergie primaire). Une partie de l’énergie renouvelable est exportée vers les pays voisins. L’éducation, la recherche-développement et la santé ont bénéficié des économies réalisées sur les investissements et importations en énergies fossiles.
Identifié comme un projet stratégique de l’Union pour la Méditerranée, lancée le 13 juillet 2008 à Paris, le PSM a défini un objectif de 20 Gigawatts de capacité en énergies renouvelables d’ici 2020 ; le potentiel d’investissements en Afrique du Nord est estimé à 400 milliards d’euros à plus long terme (selon l’initiative Desertec).
Le WWF soutient les projets de développement des énergies renouvelables et souhaite que le PSM mette en place les conditions du développement exemplaire de l’énergie solaire en méditerranée non seulement pour l’exportation mais également pour la consommation domestique.
Heliosthana souligne la nécessité que les projets du Plan Solaire Méditerranéen s’intègrent dans des stratégies nationales des pays participant au Plan. Le PSM doit aussi coordonner les plans nationaux entre eux, favoriser la coopération avec les universités locales et régionales et réduire les coûts de recherche-développement à travers la coopération régionale. Enfin, les petits projets doivent être regroupés et soutenus afin qu’ils puissent être aussi attractifs pour les investisseurs.
Pour Jean-Philippe Denruyter, Responsable du Programme des Energies Renouvelables au WWF International, « le WWF est convaincu qu’Heliosthana peut devenir un modèle pour les pays du Nord et du Sud de la Méditerranée, et un allié idéal pour que le Plan Solaire Méditerranéen atteigne ses objectifs. Chaque pays dans la région devrait construire un plan national pour un développement optimal de l’énergie solaire et assurer sa propre sécurité énergétique. ».
Source : WWF - environnement-france.fr - le 12 mai 2010
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