La France et l'Egypte, qui co-président l'Union pour la Méditerranée (UMP), ont tenu jeudi à affirmer leur confiance dans cette initiative lors d'une conférence d'investisseurs à Marseille, malgré le report à novembre du sommet de Barcelone initialement prévu en juin.
L'UPM est "une initiative extrêmement positive même si ici ou là il y a quelques ralentissements, aujourd'hui les financements sont là", a assuré la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, au lendemain du lancement d'InfraMed, premier instrument de financement de l'UPM et principal fonds de financement d'infrastructures en Méditerranée.
"Nous sommes dans un forum qui démontre que l'UPM n'est pas morte", a renchéri la secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac.
"Nous avons un réel partenariat comparé à ce que nous avions auparavant, nous ne devons pas laisser le développement de la Méditerranée être pris en otage par la politique", a estimé le ministre égyptien du Commerce et de l'Industrie, Rachid Mohamed Rachid.
M. Rachid a salué le lancement d'InfraMed, doté de 385 millions d'euros avec l'objectif d'un milliard d'ici fin 2011, évoquant des contacts en Arabie saoudite, aux Emirats arabes unis et au Qatar pour y participer.
Lancé par la Caisse des dépôts française et son homologue italienne, la Cassa depositi e prestiti, avec l'apport de 150 MEUR chacune, InfraMed a déjà attiré la Banque européenne d'investissement (BEI), la Caisse de dépôt et de gestion du Maroc et la banque égyptienne EFG Hermès.
"Depuis deux ans, le travail sur les projets n'a pas cessé malgré les difficultés politiques, même pendant la crise de Gaza", a insisté Henri Guaino, conseiller spécial du président Nicolas Sarkozy et chef de la mission interministérielle UPM.
"L'UPM est toujours bien vivante (...), au bout de deux ans elle s'installe dans la durée, avec le soutien non seulement des Etats mais des sociétés civiles", a-t-il estimé.
Source Lesechos.fr - le 27 mai 2010
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L'UPM est "une initiative extrêmement positive même si ici ou là il y a quelques ralentissements, aujourd'hui les financements sont là", a assuré la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, au lendemain du lancement d'InfraMed, premier instrument de financement de l'UPM et principal fonds de financement d'infrastructures en Méditerranée.
"Nous sommes dans un forum qui démontre que l'UPM n'est pas morte", a renchéri la secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac.
"Nous avons un réel partenariat comparé à ce que nous avions auparavant, nous ne devons pas laisser le développement de la Méditerranée être pris en otage par la politique", a estimé le ministre égyptien du Commerce et de l'Industrie, Rachid Mohamed Rachid.
M. Rachid a salué le lancement d'InfraMed, doté de 385 millions d'euros avec l'objectif d'un milliard d'ici fin 2011, évoquant des contacts en Arabie saoudite, aux Emirats arabes unis et au Qatar pour y participer.
Lancé par la Caisse des dépôts française et son homologue italienne, la Cassa depositi e prestiti, avec l'apport de 150 MEUR chacune, InfraMed a déjà attiré la Banque européenne d'investissement (BEI), la Caisse de dépôt et de gestion du Maroc et la banque égyptienne EFG Hermès.
"Depuis deux ans, le travail sur les projets n'a pas cessé malgré les difficultés politiques, même pendant la crise de Gaza", a insisté Henri Guaino, conseiller spécial du président Nicolas Sarkozy et chef de la mission interministérielle UPM.
"L'UPM est toujours bien vivante (...), au bout de deux ans elle s'installe dans la durée, avec le soutien non seulement des Etats mais des sociétés civiles", a-t-il estimé.
Source Lesechos.fr - le 27 mai 2010
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