La 2e Conférence des ministres de l’Emploi et du Travail de l’Union pour la Méditerranée s’est tenue à Bruxelles, ces 21 et 22 novembre 2010, à l’invitation de la Belgique, en charge de la Présidence du Conseil de l’Union européenne, des Co-Présidences égyptienne et française et de la Commission européenne.
Les ministres se sont réjouis de la convocation de la réunion malgré les difficultés qui affectent le processus de paix au Moyen-Orient. La Belgique, compte tenu de son intérêt pour la région, a souhaité par cette initiative soutenir la paix par un climat de coopération politique sur les politiques sociales et d’emploi et renforcer le projet relatif à l’Union pour la Méditerranée qui ne peut être freiné en raison de la problématique israélo-palestinienne.
Les ministres ont tenu à conforter la dimension ‘emploi’ de la coopération euro-méditerranéenne dans les domaines de l’emploi, du travail et du dialogue social, contribuant de ce fait à la dimension sociale de la mondialisation. Les succès politiques d’une telle coopération pourraient aussi inspirer le G20 et être très significatifs dans le cadre de l’Organisation Internationale du Travail où tous les pays ont soutenu l’agenda du Travail décent.
Lors de cette réunion, les partenaires sociaux et les ministres de l’Emploi et du Travail ont considéré que le cadre d’action, concentré sur l’emploi, l’employabilité et le travail décent, tel que convenu à Marrakech lors de la première Conférence en 2008, a gardé sa pertinence pendant la récente crise économique ainsi qu’en période de reprise. Les ministres se sont entendus sur des nouvelles priorités politiques pour renforcer le dialogue politique régional et le Cadre d’action.
Les ministres ont entendu les représentants des organisations internationales des partenaires sociaux qu’ils ont consultées ce dimanche, à la veille de leur réunion, et celles-ci ont fait état de leurs projets et conceptions de la coopération entre elles, de même qu’avec les gouvernements. Ils se sont référés, de même que le représentant de l’OIT, à la récente Assemblée des Conseils économiques et sociaux de l’Union pour la Méditerranée à Rome et ont pris note de leur volonté d’institutionnaliser celle-ci.
Cette Conférence a également permis à la Belgique de consolider ses relations de coopération avec plusieurs pays de cette région, notamment le Maroc. Un nouvel accord de coopération bilatérale, s’inscrivant dans ce Cadre d’action de Marrakech et de Bruxelles, a ainsi d’ailleurs été signé entre le ministre de l’Emploi du Maroc, Jamal Rhmani, et la ministre de l’Emploi de Belgique, Joëlle Milquet.
Les ministres se sont réjouis de la convocation de la réunion malgré les difficultés qui affectent le processus de paix au Moyen-Orient. La Belgique, compte tenu de son intérêt pour la région, a souhaité par cette initiative soutenir la paix par un climat de coopération politique sur les politiques sociales et d’emploi et renforcer le projet relatif à l’Union pour la Méditerranée qui ne peut être freiné en raison de la problématique israélo-palestinienne.
Les ministres ont tenu à conforter la dimension ‘emploi’ de la coopération euro-méditerranéenne dans les domaines de l’emploi, du travail et du dialogue social, contribuant de ce fait à la dimension sociale de la mondialisation. Les succès politiques d’une telle coopération pourraient aussi inspirer le G20 et être très significatifs dans le cadre de l’Organisation Internationale du Travail où tous les pays ont soutenu l’agenda du Travail décent.
Lors de cette réunion, les partenaires sociaux et les ministres de l’Emploi et du Travail ont considéré que le cadre d’action, concentré sur l’emploi, l’employabilité et le travail décent, tel que convenu à Marrakech lors de la première Conférence en 2008, a gardé sa pertinence pendant la récente crise économique ainsi qu’en période de reprise. Les ministres se sont entendus sur des nouvelles priorités politiques pour renforcer le dialogue politique régional et le Cadre d’action.
Les ministres ont entendu les représentants des organisations internationales des partenaires sociaux qu’ils ont consultées ce dimanche, à la veille de leur réunion, et celles-ci ont fait état de leurs projets et conceptions de la coopération entre elles, de même qu’avec les gouvernements. Ils se sont référés, de même que le représentant de l’OIT, à la récente Assemblée des Conseils économiques et sociaux de l’Union pour la Méditerranée à Rome et ont pris note de leur volonté d’institutionnaliser celle-ci.
Cette Conférence a également permis à la Belgique de consolider ses relations de coopération avec plusieurs pays de cette région, notamment le Maroc. Un nouvel accord de coopération bilatérale, s’inscrivant dans ce Cadre d’action de Marrakech et de Bruxelles, a ainsi d’ailleurs été signé entre le ministre de l’Emploi du Maroc, Jamal Rhmani, et la ministre de l’Emploi de Belgique, Joëlle Milquet.
Ce Cadre d’action sera développé grâce à :
• Un dialogue politique régional plus soutenu ;
• La création de réseaux d’experts et de fonctionnaires spécialisés sur divers enjeux des politiques d’emploi ;
• Des initiatives thématiques (comme des conférences) menées en partenariat par des pays leaders en la matière, des deux rives de la Méditerranée ;
• Des coopérations bilatérales renforcées, comme celle que la Belgique et le Maroc ont décidée ce jour-même ;
• Aux actions qui seront décidées par les partenaires sociaux eux-mêmes dans le cadre du Forum euro-méditerranéen du dialogue social, lancé à Barcelone en mars 2010 et qui se réunira à nouveau courant 2011 ;
• La promotion de projets par les acteurs publics et privés du développement, auxquels l’accès au financement international et notamment celui de l’Union européenne sera facilité ;
• La stabilité de la coopération envisagée.
L’Union européenne, à travers ce Partenariat, met à disposition une série d’instruments financiers et soutient également la coopération politique et technique des Etats membres de l’Union pour la Méditerranée. La Présidence belge, pour sa part, consolidant de ce fait ses relations de coopération avec plusieurs pays de la région, a tenu à livrer avec ses partenaires, grâce à cette initiative, une contribution à la dimension sociale de l’Union pour la Méditerranée qui couvre 43 pays partenaires.
Source Eutrio.be - le 22 novembre 2010
Communiqué de presse: http://www.eutrio.be/files/bveu/101122-CP-Union_pour_la_Mediterranee.pdf
• Un dialogue politique régional plus soutenu ;
• La création de réseaux d’experts et de fonctionnaires spécialisés sur divers enjeux des politiques d’emploi ;
• Des initiatives thématiques (comme des conférences) menées en partenariat par des pays leaders en la matière, des deux rives de la Méditerranée ;
• Des coopérations bilatérales renforcées, comme celle que la Belgique et le Maroc ont décidée ce jour-même ;
• Aux actions qui seront décidées par les partenaires sociaux eux-mêmes dans le cadre du Forum euro-méditerranéen du dialogue social, lancé à Barcelone en mars 2010 et qui se réunira à nouveau courant 2011 ;
• La promotion de projets par les acteurs publics et privés du développement, auxquels l’accès au financement international et notamment celui de l’Union européenne sera facilité ;
• La stabilité de la coopération envisagée.
L’Union européenne, à travers ce Partenariat, met à disposition une série d’instruments financiers et soutient également la coopération politique et technique des Etats membres de l’Union pour la Méditerranée. La Présidence belge, pour sa part, consolidant de ce fait ses relations de coopération avec plusieurs pays de la région, a tenu à livrer avec ses partenaires, grâce à cette initiative, une contribution à la dimension sociale de l’Union pour la Méditerranée qui couvre 43 pays partenaires.
Source Eutrio.be - le 22 novembre 2010
Communiqué de presse: http://www.eutrio.be/files/bveu/101122-CP-Union_pour_la_Mediterranee.pdf
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