L’enlisement de l’Union pour la Méditerranée (UPM) préoccupe certains. Quinze personnalités éminentes, anciens ministres ou anciens chefs de gouvernement, tous membres du comité de parrainage politique de l'Institut de Porspective Economique du monde méditerranéen, l'IPEMED, créé par Jean-Louis Guigou, viennent de signer un manifeste dans le quotidien français Le Monde.
Ils s’y inquiètent de la panne du processus de l’UPM causée par la guerre à Gaza et lancent un double appel aux responsables des deux rives de la Méditerranée.
« Notre appel est double. Aux chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union européenne, nous disons qu'ils ont une opportunité historique : avec le renouvellement de leur Parlement, de leur Commission, de leur budget et de leur gouvernance, ils doivent avoir pour objectif de mettre en place une ambitieuse politique méditerranéenne commune. Aux chefs d'Etat des rives sud et est, nous disons qu'ils doivent être les acteurs de cette Union pour la Méditerranée ».
Les signataires de l’appel s’adressent également aux chefs d'entreprise des deux rives de la Méditerranée « pour qu'ils intègrent leurs projets de développement dans ce nouvel espace. La croissance de cette région, son avenir et sa place internationale en dépendent. Le monde en a besoin ».
Parmi les signataires, on peut noter Emma Bonino, vice-présidente du Sénat italien, Georges Corm, ancien ministre des Finances libanais, Kemal Dervis, ancien ministre des Affaires Economiques et des Finances turc, Felipe Gonzalez, ancien président du gouvernement espagnol, Mouloud Hamrouche, ancien chef du gouvernement algérien, Alain Juppé, ancien Premier ministre français, Romano Prodi, ancien Président du Conseil italien et ancien Président de la Commission européenne, ou encore l’Egyptien Ismaël Serageldin, ancien vice-président de la Banque mondiale.
Par Econostrum - le 30 avril 2009
Ils s’y inquiètent de la panne du processus de l’UPM causée par la guerre à Gaza et lancent un double appel aux responsables des deux rives de la Méditerranée.
« Notre appel est double. Aux chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union européenne, nous disons qu'ils ont une opportunité historique : avec le renouvellement de leur Parlement, de leur Commission, de leur budget et de leur gouvernance, ils doivent avoir pour objectif de mettre en place une ambitieuse politique méditerranéenne commune. Aux chefs d'Etat des rives sud et est, nous disons qu'ils doivent être les acteurs de cette Union pour la Méditerranée ».
Les signataires de l’appel s’adressent également aux chefs d'entreprise des deux rives de la Méditerranée « pour qu'ils intègrent leurs projets de développement dans ce nouvel espace. La croissance de cette région, son avenir et sa place internationale en dépendent. Le monde en a besoin ».
Parmi les signataires, on peut noter Emma Bonino, vice-présidente du Sénat italien, Georges Corm, ancien ministre des Finances libanais, Kemal Dervis, ancien ministre des Affaires Economiques et des Finances turc, Felipe Gonzalez, ancien président du gouvernement espagnol, Mouloud Hamrouche, ancien chef du gouvernement algérien, Alain Juppé, ancien Premier ministre français, Romano Prodi, ancien Président du Conseil italien et ancien Président de la Commission européenne, ou encore l’Egyptien Ismaël Serageldin, ancien vice-président de la Banque mondiale.
Par Econostrum - le 30 avril 2009
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