Les efforts diplomatiques pour relancer l'Union pour la Méditerranée chère à la France, en panne depuis le conflit à Gaza, ont repris jeudi lors d'une réunion à Bruxelles de représentants des 43 pays participants.
"Cette réunion aujourd'hui, c'est un très bon signal", a déclaré la commissaire européenne aux Relations extérieures Benita Ferrero-Waldner lors d'une conférence de presse consacrée au bilan de la politique de voisinage de l'Union européenne.
Elle a qualifié de "nécessaire" la rencontre, au niveau des ambassadeurs, "car les uns et les autres doivent se parler franchement sur ce qui est arrivé et sur ce qu'on peut faire pour aller de l'avant" avec l'Union pour la Méditerranée (UPM).
"J'ai toujours dit qu'on ne pourra pas éviter" que "de temps à autre les problèmes politiques" se répercutent sur l'UPM, a-t-elle ajouté, "mais on a créé cette Union parce qu'on voulait justement surmonter les difficultés qui sont là, par des projets concrets qui bénéficient à tous les pays".
A Bruxelles, les pays membres de l'Union pour la Méditerranée se sont retrouvés pour la première fois depuis l'offensive israélienne à Gaza le 27 décembre, pour tenter de relancer le processus.
Le diplomate en chef de l'UE, Javier Solana, a participé à l'ouverture de la réunion "pour envoyer un message disant que nous sommes préoccupés par cette situation", a indiqué à l'AFP sa porte-parole, Cristina Gallach.
Le partenariat euro-méditerranéen "est une politique essentielle pour le Proche-Orient et pour la politique extérieure de l'Union européenne", a-t-elle indiqué.
La France, qui copréside l'Union pour la Méditerranée avec l'Egypte, s'était félicitée mardi des perspectives de relance de cette Union.
"Nous nous réjouissons, bien sûr, de la tenue de cette réunion, qui sera consacrée au dialogue politique dans le cadre de l'UPM", avait déclaré le porte-parole adjoint du ministère des Affaires étrangères, Frédéric Desagneaux.
"Nous espérons qu'elle ouvrira la voie à la relance du travail politique, de mise en place et de consolidation de l'UPM, avec des perspectives notamment de réunion au niveau ministériel dans les mois qui viennent", avait-il ajouté.
L'Union pour la Méditerranée a été lancée en juillet lors d'un sommet à Paris par le président français Nicolas Sarkozy dans le but de relancer, par la réalisation de projets de coopération concrets, le processus de dialogue euro-méditerranéen dit "de Barcelone", né en 1995 et resté largement lettre morte.
"Cette réunion aujourd'hui, c'est un très bon signal", a déclaré la commissaire européenne aux Relations extérieures Benita Ferrero-Waldner lors d'une conférence de presse consacrée au bilan de la politique de voisinage de l'Union européenne.
Elle a qualifié de "nécessaire" la rencontre, au niveau des ambassadeurs, "car les uns et les autres doivent se parler franchement sur ce qui est arrivé et sur ce qu'on peut faire pour aller de l'avant" avec l'Union pour la Méditerranée (UPM).
"J'ai toujours dit qu'on ne pourra pas éviter" que "de temps à autre les problèmes politiques" se répercutent sur l'UPM, a-t-elle ajouté, "mais on a créé cette Union parce qu'on voulait justement surmonter les difficultés qui sont là, par des projets concrets qui bénéficient à tous les pays".
A Bruxelles, les pays membres de l'Union pour la Méditerranée se sont retrouvés pour la première fois depuis l'offensive israélienne à Gaza le 27 décembre, pour tenter de relancer le processus.
Le diplomate en chef de l'UE, Javier Solana, a participé à l'ouverture de la réunion "pour envoyer un message disant que nous sommes préoccupés par cette situation", a indiqué à l'AFP sa porte-parole, Cristina Gallach.
Le partenariat euro-méditerranéen "est une politique essentielle pour le Proche-Orient et pour la politique extérieure de l'Union européenne", a-t-elle indiqué.
La France, qui copréside l'Union pour la Méditerranée avec l'Egypte, s'était félicitée mardi des perspectives de relance de cette Union.
"Nous nous réjouissons, bien sûr, de la tenue de cette réunion, qui sera consacrée au dialogue politique dans le cadre de l'UPM", avait déclaré le porte-parole adjoint du ministère des Affaires étrangères, Frédéric Desagneaux.
"Nous espérons qu'elle ouvrira la voie à la relance du travail politique, de mise en place et de consolidation de l'UPM, avec des perspectives notamment de réunion au niveau ministériel dans les mois qui viennent", avait-il ajouté.
L'Union pour la Méditerranée a été lancée en juillet lors d'un sommet à Paris par le président français Nicolas Sarkozy dans le but de relancer, par la réalisation de projets de coopération concrets, le processus de dialogue euro-méditerranéen dit "de Barcelone", né en 1995 et resté largement lettre morte.
BRUXELLES (AFP) - le 26 avril 2009
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