Le ministre des Ressources en eau a affirmé, hier, lors de sa visite d’inspection dans la wilaya de Boumerdès que «l’Algérie a fait le meilleur choix lorsqu’elle a opté pour les usines de dessalement pour résoudre le problème du manque d’eau potable au niveau de nos villes côtières».
«L’Algérie a fait le meilleur choix dans la Méditerranée. On n’a pas d’autres solutions et c’était une nécessité fondamentale, puisqu’il y a dix ans, on allait importer de l’eau par bateau», a-t-il indiqué.
Le ministre soutient qu’«avec le changement climatique, la meilleure manière d’alimenter les populations des villes côtières du pays en eau potable ce sont les stations de dessalement. D’ailleurs, même sur le plan financier, ça ne nous revient pas plus cher». M. Sellal a précisé que parmi les 13 usines de dessalement programmées durant ces dernières années, 5 sont déjà opérationnelles et 5 autres vont être réceptionnées avant la fin de l’année en cours, dont celle de cap Djinet avec une capacité de production de 100 000 m3/j.
L’hôte de Boumerdès notera que deux autres stations seront réalisées incessamment dans les wilayas d’El Tarf et Béjaïa. Ces usines (15 au total) permettront, selon lui, d’alimenter toutes les localités côtières du pays en eau potable.
«L’Algérie a fait le meilleur choix dans la Méditerranée. On n’a pas d’autres solutions et c’était une nécessité fondamentale, puisqu’il y a dix ans, on allait importer de l’eau par bateau», a-t-il indiqué.
Le ministre soutient qu’«avec le changement climatique, la meilleure manière d’alimenter les populations des villes côtières du pays en eau potable ce sont les stations de dessalement. D’ailleurs, même sur le plan financier, ça ne nous revient pas plus cher». M. Sellal a précisé que parmi les 13 usines de dessalement programmées durant ces dernières années, 5 sont déjà opérationnelles et 5 autres vont être réceptionnées avant la fin de l’année en cours, dont celle de cap Djinet avec une capacité de production de 100 000 m3/j.
L’hôte de Boumerdès notera que deux autres stations seront réalisées incessamment dans les wilayas d’El Tarf et Béjaïa. Ces usines (15 au total) permettront, selon lui, d’alimenter toutes les localités côtières du pays en eau potable.
Interrogé sur l’impact des rejets de ces stations sur la Méditerranée, le ministre a affirmé que tous les spécialistes consultés à cet effet nous ont expliqué qu’il n’y a aucune suite pour laquelle on devrait s’inquiéter. «Ce sont quelques hommes qui philosophent. Que peuvent représenter les quelques milliers de mètres cubes qui sortent de saumure (eau salée à 7g) dégagée par ces stations. Mais peut-être à l’avenir, quand il y aura d’autres pays qui vont investir dans ce domaine, il se peut qu’il y aura un impact.
Mais d’ici là, la science aura fait son travail», a-t-il encore expliqué. Evoquant les problèmes de coupures d’eau qui risquent de survenir au cours du mois de Ramadhan et l’été prochain, M. Sellal a tenu à assurer qu’il n’y a absolument rien à craindre dans ce domaine. «Nous n’aurons aucun problème. Cette année c’est la meilleure en termes de taux de remplissage des barrages depuis 10 ans. Hier, nous étions à 75,24% du taux de remplissage. Donc, en termes de ressources, nous n’avons pas de difficultés», s’est-il félicité.
Mais d’ici là, la science aura fait son travail», a-t-il encore expliqué. Evoquant les problèmes de coupures d’eau qui risquent de survenir au cours du mois de Ramadhan et l’été prochain, M. Sellal a tenu à assurer qu’il n’y a absolument rien à craindre dans ce domaine. «Nous n’aurons aucun problème. Cette année c’est la meilleure en termes de taux de remplissage des barrages depuis 10 ans. Hier, nous étions à 75,24% du taux de remplissage. Donc, en termes de ressources, nous n’avons pas de difficultés», s’est-il félicité.
Pour ce qui est de la distribution, le représentant du gouvernement a souligné que l’objectif de son département consiste à améliorer le réseau pour le rendre plus performant, notamment au niveau des agglomérations secondaires, puisque celui des grandes villes comme Oran et Constantine a été déjà modernisé. «Aujourd’hui, nous avions un taux de raccordement qui dépasse les 92%. Nous avons lancé aussi d’importants projets dans ce domaine pour minimiser le nombre de fuites. Au début des années 2000, nous étions a un taux de fuite qui varie entre 40 et 45%, mais aujourd’hui, en on est qu’à 20 ou 25%», a-t-il détaillé.
Par Ramdane Koubabi - ElWatan.com
Source http://www.elwatan.com/actualite/l-algerie-a-fait-le-meilleur-choix-au-niveau-de-la-mediterranee-01-06-2011-126868_109.php
Par Ramdane Koubabi - ElWatan.com
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