Le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres a procédé, vendredi à Rabat, à la signature de plusieurs conventions pour le financement de 23 projets de recherche dans le domaine agricole, validés par des commissions spécialisées du Réseau méditerranéen de recherche agricole (ARIMN) relevant de l'Union européenne.
Signés par le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres, Lahcen Daoudi, et les présidents de plusieurs universités marocaines et instituts d'enseignement supérieur, ces conventions prévoient, pour un budget de 71,06 millions DH, dont 10 millions DH apportés par le Maroc, la conduite de recherches dans des domaines aussi variés que la culture des pommes de terre et des agrumes, la lutte contre les parasites des oliviers, la production d'huile d'olive et l'élevage bovin.
Il s'agit également de mener des travaux de recherche sur la rationalisation de l'eau d'irrigation pour faire face à la pénurie d'eau, ainsi que sur la biodiversité dans le pourtour méditerranéen et la sécurité alimentaire.
Cinq universités marocaines et deux instituts spécialisés accueilleront ces projets de recherche, à savoir les Universités Moulay Ismail de Meknès, Hassan II de Mohammadia, Ibn Zohr d'Agadir, Abdelmalek Essaâdi de Tétouan et Qadi Ayyad de Marrakech, en plus de l'Institut agronomique et vétérinaire Hassan II et l'Institut national de la recherche agronomique (INRA).
Lors de la cérémonie de signature, Daoudi a souligné qu'au-delà de sa vocation d'éducation et de formation, l'université marocaine est appelée à s'engager activement dans la recherche scientifique, tous domaines confondus, et à s'ouvrir sur le marché de l'emploi et les investissements.
Regroupant 12 pays de l'UE et de la Méditerranée, ARIMN et se donne pour mission de financer les projets communs de recherche portés par les chercheurs des pays partenaires, l'objectif étant de renforcer la coordination scientifique des programmes de recherche agricole afin de relever les défis dans le domaine de l'agriculture, notamment en ce qui concerne la sécurité alimentaire, la gestion des ressources naturelles et l'atténuation des menaces résultant des changements climatiques.
Signés par le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres, Lahcen Daoudi, et les présidents de plusieurs universités marocaines et instituts d'enseignement supérieur, ces conventions prévoient, pour un budget de 71,06 millions DH, dont 10 millions DH apportés par le Maroc, la conduite de recherches dans des domaines aussi variés que la culture des pommes de terre et des agrumes, la lutte contre les parasites des oliviers, la production d'huile d'olive et l'élevage bovin.
Il s'agit également de mener des travaux de recherche sur la rationalisation de l'eau d'irrigation pour faire face à la pénurie d'eau, ainsi que sur la biodiversité dans le pourtour méditerranéen et la sécurité alimentaire.
Cinq universités marocaines et deux instituts spécialisés accueilleront ces projets de recherche, à savoir les Universités Moulay Ismail de Meknès, Hassan II de Mohammadia, Ibn Zohr d'Agadir, Abdelmalek Essaâdi de Tétouan et Qadi Ayyad de Marrakech, en plus de l'Institut agronomique et vétérinaire Hassan II et l'Institut national de la recherche agronomique (INRA).
Lors de la cérémonie de signature, Daoudi a souligné qu'au-delà de sa vocation d'éducation et de formation, l'université marocaine est appelée à s'engager activement dans la recherche scientifique, tous domaines confondus, et à s'ouvrir sur le marché de l'emploi et les investissements.
Regroupant 12 pays de l'UE et de la Méditerranée, ARIMN et se donne pour mission de financer les projets communs de recherche portés par les chercheurs des pays partenaires, l'objectif étant de renforcer la coordination scientifique des programmes de recherche agricole afin de relever les défis dans le domaine de l'agriculture, notamment en ce qui concerne la sécurité alimentaire, la gestion des ressources naturelles et l'atténuation des menaces résultant des changements climatiques.
Source de l'article Maghrebemergent
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire