En présence d’une forte délégation algérienne constituée de représentants des ministères des Affaires étrangères et de l’Energie et des mines, la Conférence méditerranéenne de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) s’est ouverte mardi, à Rome.
Cette conférence de deux jours se tient à huis clos sous le thème de la "Coopération économique avec les partenaires méditerranéens dans le cadre des processus de transition démocratique et des réformes politiques".
Outre l’Algérie, les pays du sud de la Méditerranée membres représentés à ce rendez-vous sont l’Egypte, la Jordanie, le Maroc, la Tunisie, la Lbye et l’Autorité palestinienne.
Pour cette édition, des pays asiatiques partenaires de l’OSCE, ont émis le vœu d’y participer à savoir l’Afghanistan, l’Australie, le Japon, Corée du Sud, la Mongolie et la Thaïlande, a annoncé le porte-parole officiel de l’OSCE, Maroevic Frane.
"L’objectif de cette manifestation consiste avant tout dans un échange d’opinions entre les partenaires méditerranéens de l’OSCE" sur différents sujets d’importance et d’intérêt.
Au cours de la première journée de la rencontre, les participants discuteront des défis économiques et sociaux dans les pays partenaires méditerranéens et du renforcement des économies de ces pays partenaires à l’aide des meilleures pratiques pertinentes de l’OSCE.
Ils examineront également la promotion du dialogue et le développement de la coopération en matière d’énergie durable, y compris les sources d’énergie renouvelables.
Mercredi, les représentants des pays partenaires débattront de l’expérience de l’OSCE pour ce qui est de faire face aux menaces transnationales pour la sécurité et du renforcement de la participation des femmes à la vie politique et publique.
Evoquant les relations entre les pays méditerranéens et l’OSCE, le porte-parole de l’organisation a rappelé qu’elles remontaient aux années 1970 du siècle dernier, lorsque l’OSCE était encore appelée "la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe".
Il a ajouté que depuis 1975, l’Algérie, l’Egypte, le Maroc et la Tunisie font fait partie de ce processus, alors que la Jordanie s’y est jointe plus tard en 1998, soulignant que "nos relations sont bien établies avec ces pays déjà, depuis plusieurs décennies".
Source de l'article Portail Algérien des énergies renouvelables
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