En Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca) comme en Languedoc-Roussillon, le Pôle d’expertise sur l’Union pour la Méditerranée (UPM) des Conseillers du commerce extérieur de la France (CCEF) et ses membres associés envisagent, avec le secrétaire général de l’UPM, l’ancien ambassadeur en France du Maroc Fathallah Sijilmassi, diverses actions dans les secteurs de l’eau, des énergies renouvelables et des échanges universitaires, révèle Philippe Macé, en charge de la cellule UPM/PME au sein du Club des exportateurs du Languedoc-Roussillon, dans sa Chronique Méditerranée de juin, intitulée « UPM : les PME face à l’imbroglio euro-méditerranéen ».
Cet ancien chef de Mission économique à l’étranger encourage d’autant plus les entreprises françaises à« tirer le meilleur parti des outils qui ont été déjà mis en place et des mécanismes actuellement en gestation » qu’il avoue son scepticisme quant aux « chances d’une prochaine relance politique de l’UPM ». Par ailleurs, il s’inquiète de l’échec de la candidature française à la présidence de la Berd (Banque européenne pour la reconstruction et le développement). Celle-ci a été remportée par Suma Chakrabarti, haut-fonctionnaire britannique. Selon Philippe Macé, « la situation devient plus compliquée pour les PME » qui tiraient jusqu’à présent bénéfice des facilités offertes « au cas par cas » par la Mission interministérielle de la présidence française, les services de la BEI (Banque européenne d’investissement) et les organismes français comme Ubifrance.
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2 Le fichier joint« Chronique Méditerranée – juin 2012 ».
Contact :
Club des exportateurs du Languedoc Roussillon
Cellule UPM/PME
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