La richesse nationale sylvicole occupe la deuxième place au niveau de la Méditerranée dans la conservation de la biodiversité, outre ses fonctions écologiques et socioéconomiques, selon une note du Haut commissariat aux Eaux et Forêts et à la lutte contre la Désertification (HCEFLD).
La note, diffusée mercredi lors d'une rencontre organisée par le Parti authenticité et modernité à la Chambre des représentants sur le thème «Le domaine forestier et les droits des populations riveraines», a particulièrement relevé l'apport de la richesse nationale sylvicole à la conservation de la biodiversité.
Cette richesse contribue à la lutte contre l'érosion des sols dans les bassins hydrauliques et contre l'envasement, ainsi qu'à la conservation des terres pastorales et agricoles, tout en assurant l'alimentation de la nappe phréatique, des sources et des rivières, note le document.
Les forêts remplissent aussi des fonctions sociales, dont l'usufruit pour plus de 7 millions d'habitants, la création de 10 millions de journées de travail par an, la structuration du domaine naturel et l'amélioration du cadre de vie de la population.
Pour ce qui est des fonctions économiques des forêts, elles permettent la création de près de 7 milliards de dirhams par an de ressources directes et indirectes, en ce qu'elles alimentent 60 unités industrielles, assurent la matière première à plus de 6000 artisans et participent à hauteur d'environ 18% à la production énergétique nationale, soit l'équivalent de 3 millions de tonnes de pétrole.
Le HCEFLD relève que la cadence de la délimitation du domaine forestier est passé à 176.000 hectares par an de 2007 à 2011, contre 72.000 ha en 2004.
En ce qui concerne la superficie conservée, elle a atteint 1.244.801 ha, soit 14% des forêts, s'étalant sur 9 millions d’ha, alors que celle en phase finale de délimitation s'élève à 1.167.000 ha (11%).
Par ailleurs, la stratégie du HCEFLD vise l'accomplissement de la délimitation du domaine forestier et de sa conservation à l'horizon 2014.
Source MAP & MaghrebEmergent
Cette richesse contribue à la lutte contre l'érosion des sols dans les bassins hydrauliques et contre l'envasement, ainsi qu'à la conservation des terres pastorales et agricoles, tout en assurant l'alimentation de la nappe phréatique, des sources et des rivières, note le document.
Les forêts remplissent aussi des fonctions sociales, dont l'usufruit pour plus de 7 millions d'habitants, la création de 10 millions de journées de travail par an, la structuration du domaine naturel et l'amélioration du cadre de vie de la population.
Pour ce qui est des fonctions économiques des forêts, elles permettent la création de près de 7 milliards de dirhams par an de ressources directes et indirectes, en ce qu'elles alimentent 60 unités industrielles, assurent la matière première à plus de 6000 artisans et participent à hauteur d'environ 18% à la production énergétique nationale, soit l'équivalent de 3 millions de tonnes de pétrole.
Le HCEFLD relève que la cadence de la délimitation du domaine forestier est passé à 176.000 hectares par an de 2007 à 2011, contre 72.000 ha en 2004.
En ce qui concerne la superficie conservée, elle a atteint 1.244.801 ha, soit 14% des forêts, s'étalant sur 9 millions d’ha, alors que celle en phase finale de délimitation s'élève à 1.167.000 ha (11%).
Par ailleurs, la stratégie du HCEFLD vise l'accomplissement de la délimitation du domaine forestier et de sa conservation à l'horizon 2014.
Source MAP & MaghrebEmergent
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