La conférence des Nations Unies sur le développement durable, connue sous le nom de Rio+20, a permis de faire un pas vers une stratégie commune entre les pays de l'Union pour la Méditerranée (UpM), qui est dans une impasse depuis avril 2010. Dans les allées du pouvoir, une réunion ministérielle sur l'eau de l'UpM se dessine pour 2012 ou 2013 avec le lancement d'un plan d'actions et d'investissements qui coinciderait avec l'évènement.
Malgré l'instabilité politique dans la région, la collaboration avec la société civile, les autorités locales et les industriels "se poursuit même dans les pays concernés par le "printemps arabe" a fait remarquer Michael Scoullos, président du réseau à but non lucratif du "Global Water Partnership" en Méditerranée.
Il y a un certain nombre de domaines d'action pour le futur, notamment les investissements pour la purification de l'eau, les usines de dessalement, la lutte contre la pollution, la gestion des déchets, les zones de déversement de déchets provenant des navires, la surveillance partagée, l'information et la sensibilisation, M. Scoullos insiste sur le fait que "Toutes ces questions peuvent être mises en avant encore et encore mais nous devons aller au delà des suggestions et rhétoriques et les mettre en application".
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