En 2030, les villes côtières d’Afrique du Nord compteront 100 millions
d’habitants et seront exposées à un risque de catastrophes naturelles –
inondations, érosion, glissements de terrain, stress hydrique, etc. – accru
parle réchauffement climatique.
La ville d’Alger compte pour sa part 3 millions
d’habitants et concentre l’essentiel des activités politiques et économiques du
pays. En 2001 et 2003, les inondations de Bab el Oued et le séisme de Boumerdès
ont révélé les vulnérabilités de la capitale algérienne face aux risques
naturels, incitant les autorités à prendre des mesures préventives pour atténuer
l’impact de tels phénomènes dans le futur.
Faisant suite à une première étude conduite par la Banque mondiale dans 4 villes côtières d’Afrique du Nord – Alexandrie, Tunis, Casablanca et la Vallée du Bouregreg – le gouvernement algérien a manifesté son intérêt pour une évaluation des risques sur Alger.
Faisant suite à une première étude conduite par la Banque mondiale dans 4 villes côtières d’Afrique du Nord – Alexandrie, Tunis, Casablanca et la Vallée du Bouregreg – le gouvernement algérien a manifesté son intérêt pour une évaluation des risques sur Alger.
La
Caisse des Dépôts s’est engagée à financer cette étude dans le cadre du
programme Villes & Changement Climatique du CMI. L’étude, menée par le
bureau Egis EAU, démarrera mi-avril, pour une durée de 14 mois. Par l’évaluation
des vulnérabilités et l’élaboration d’un plan d’adaptation, elle aura pour but
de renforcer les capacités des autorités algériennes face au changement
climatique et aux risques naturels.
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Source de l'article : http://www.cmimarseille.org
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