On parle beaucoup de «’Ward Ariana’, la ville des roses, mais aussi d’une culture séculaire à Kairouan.
Avec son climat doux, l’horticulture et principalement, la culture des rosiers occupe des terres plus étendues, connues caractérisées par l’abondance des eaux et la fertilité du sol, comme celles de la région de Mornag.
Jusqu’ici méconnue, l’horticulture est, essentiellement, cultivée à Ben Arous, Nabeul, La Manouba, Bizerte, Monastir et Sousse, dont 63 % de la superficie est réservée au rosier. Et on parle aujourd’hui, de la Tunisie en tant que grand producteur et exportateur de roses
Ainsi, la Tunisie produit chaque année 1.000 tonnes de roses, dont 60 % sont exportés vers les marchés européens. La Suisse, la France et l’Italie sont les premiers acheteurs de cette fleur. Avec un chiffre d’affaires annuel de 700 MD, la culture des roses en Tunisie est en passe de devenir un secteur clé pour l’exportation, d’où la nécessité d’explorer de nouveaux marchés.
Source de l'article Tuniscope
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