La croissance économique du Maroc a ralenti au deuxième trimestre à 2,3% en glissement annuel, contre 4,5% pour la même période de 2011, a annoncé dimanche le Haut commissariat au plan (HCP) alors que le secteur agricole a été particulièrement touché.
Dans un communiqué, le HCP écrit que "l'arrêté des comptes nationaux du deuxième semestre 2012 montre que l'économie nationale continue d'évoluer à un rythme de croissance à la baisse".
Au titre des faiblesses actuelles de cette économie, il note que le "secteur agricole a reculé de 9,6% au lieu d'une hausse de 6,1%" l'an passé. Après plusieurs années fastes, le production céréalière a été affectée en 2012 par l'absence de pluies entre janvier et mars.
Au deuxième semestre 2012, le Maroc a également enregistré de mauvais chiffres pour ses échanges (exportations des biens et services notamment) ainsi qu'en terme de transferts des Marocains résidant à l'étranger (MRE) -essentiellement en Europe-, qui ont reculé de 4,3% contre une hausse de 4,5% à la même période de 2011.
En revanche, le royaume a pu compter sur la relative bonne santé de sa consommation domestique: les dépenses de consommation finale des ménages se sont accrues de 4,4%, et ce malgré la hausse des prix.
Après avoir connu pendant plusieurs années des taux de croissance de 4 à 5%, le Maroc devrait enregistrer en 2012 une hausse de son PIB inférieure à 3%, comme l'a confirmé ces derniers jours Bank Al-Maghrib, la banque centrale du pays.
Dans un communiqué, le HCP écrit que "l'arrêté des comptes nationaux du deuxième semestre 2012 montre que l'économie nationale continue d'évoluer à un rythme de croissance à la baisse".
Au titre des faiblesses actuelles de cette économie, il note que le "secteur agricole a reculé de 9,6% au lieu d'une hausse de 6,1%" l'an passé. Après plusieurs années fastes, le production céréalière a été affectée en 2012 par l'absence de pluies entre janvier et mars.
Au deuxième semestre 2012, le Maroc a également enregistré de mauvais chiffres pour ses échanges (exportations des biens et services notamment) ainsi qu'en terme de transferts des Marocains résidant à l'étranger (MRE) -essentiellement en Europe-, qui ont reculé de 4,3% contre une hausse de 4,5% à la même période de 2011.
En revanche, le royaume a pu compter sur la relative bonne santé de sa consommation domestique: les dépenses de consommation finale des ménages se sont accrues de 4,4%, et ce malgré la hausse des prix.
Après avoir connu pendant plusieurs années des taux de croissance de 4 à 5%, le Maroc devrait enregistrer en 2012 une hausse de son PIB inférieure à 3%, comme l'a confirmé ces derniers jours Bank Al-Maghrib, la banque centrale du pays.
L'AFP & les Echos
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