La Fondation Femmes de l’Euro-Méditerranée... à plein rendement

Un site web totalement opérationnel et comptant 150 membres appartenant à 30 pays ; deux lignes de travail bénéficiant d’un financement extérieur et plus de 20 activités menées au cours des trois derniers mois dans sept pays méditerranéens... la Fondation Femmes de l’Euro-Méditerranée a commencé l’année 2016 à plein rendement.


Les différentes manifestations tenues depuis novembre 2015 (ateliers, conférences, débats, tables rondes et colloques) visent à doter les associations de femmes de divers pays (Algérie, Égypte, Jordanie, Liban, Maroc, Palestine et Tunisie) d’outils destinés à combattre la violence de genre et à encourager la participation de la femme à la vie publique et politique de la région. 

La grande majorité de ces actions s’inscrivent dans le cadre du projet «Renforcer les capacités des acteurs de l’égalité» du projet «Femmes d’avenir en Méditerranée» financé par le ministère français des Affaires étrangères sous la coordination de l’IEMed et de la FFEM. La Fondation a aussi mis en œuvre le projet Renforcer les capacités dans le sud de la Méditerranée pour ouvrir le dialogue et le suivi des politiques pour les femmes dans la société, qui est financé par l’Instrument européen de Voisinage et Partenariat. (Pour plus d’informations sur les deux projets)

Un réseau de réseaux

Par ailleurs, la Fondation avance vers son objectif de devenir un réseau de réseaux en développant sa présence sur Internet via un site web pleinement opérationnel (en anglais, français et arabe) qui entend devenir un lieu de rencontre pour les organismes et les autres réseaux. Pour ce faire, outre son agenda d’activités et d’informations, elle met à la disposition des membres inscrits à l’Intranet un espace privé leur permettant de se faire connaître, de publier leurs contenus, d’interagir et donc d’engendrer des synergies avec les autres membres du réseau. La majorité des membres actuellement inscrits sont des associations, mais on y compte aussi des départements ministériels, des centres de recherche, des organismes régionaux et des entreprises.

Source de l'article IEMed

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