Alors qu’obsédé par l’État islamique, l’Occident porte un regard de plus en plus noir sur le monde arabe, 99 % de la population des pays arabes, notamment les jeunes, est bien plus préoccupée par le thème de la formation, de l’emploi et des perspectives d’avenir.

Pour Mme Momani, de nos jours, le monde arabe est constitué d’une «génération jeune, qualifiée et informée, qui se sent frustrée en raison de la corruption gouvernementale et du manque d’opportunités». Cela dit, la chercheuse est convaincue que cette nouvelle génération ne se résignera pas et que, d’ici deux décennies, au fur et à mesure qu’elle occupera l’espace public, elle sera capable de changer le statut quo. Les jeunes «veulent faire évoluer la société, développer leurs propres affaires, réduire le secteur public et construire un secteur privé puissant»
Source de l'article IEMed
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire