Dans le rapport de sa conférence annuelle, le réseau de laboratoires d’idées EuroMeSCo (Commission d’étude euro-méditerranéenne) a insisté sur le fait que la situation sécuritaire dans la région du MENA a un coût direct pour l’UE et qu’il convient dès lors d’accepter que l’avenir de l’UE sera en partie déterminé par sa frontière sud, « d’où la nécessité d’instaurer une politique renforcée et réorganisée ».
Le rapport présente la contribution de chercheurs et d’experts issus de centres de recherche et de laboratoires d’idées de 30 pays européens ainsi que du sud et de l’est de la Méditerranée, qui se sont réunis les 14 et 15 avril à Bruxelles pour discuter des défis que doit relever la région euro-méditerranéenne en matière de sécurité et du rôle que devrait jouer l’UE à cet égard.
La conférence a été organisée dans le cadre du projet financé par l’UE « Euro-Mediterranean Political Research and Dialogue for Inclusive Policy-Making Processes », qui encourage la recherche et le dialogue au sujet des politiques euro-méditerranéennes sous la direction de l'IEMed en collaboration avec le réseau EuroMeSCo.
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