Conférence internationale sur l’économie de la région MENA à Londres

La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et le Centre de recherche en économie (Centre for Economic Policy Research) ont organisé du 2 au 3 juin à Londres une conférence internationale sur l’économie de la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. 

Résultat de recherche d'images pour "Conférence internationale sur l’économie de la région MENA à Londres"Au programme de cette rencontre figuraient la présentation d’exposés et l’organisation de débats sur les défis auxquels sont confrontées les économies des pays de la région, à savoir le chômage des jeunes, la migration, les problèmes socioéconomiques, la situation de la femme, le commerce ou encore la religion. 

Des conférences ont été données par les professeurs Tarek Hassan de l'université de Chicago, Mohamed Saleh (Ecole d'économie de Toulouse), Adeel Malik (université d’Oxford), Nelly El-Mallakh (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Jackline Wahba (université de Southampton), Jamal Ibrahim Haidar et Ishac Diwan (université de Harvard) et plusieurs autres éminents chercheurs universitaires. 

Le Centre for Economic Policy Research (CEPR) est un centre de recherche en économie basé à Londres, et qui regroupe de nombreux chercheurs européens. 
Avec près de 700 publications annuelles, ce centre est le deuxième plus important think-thank du monde derrière le National Bureau of Economic Research (Etats-Unis). 

La BERD est une institution financière internationale créée en 1991 dont le rôle est de favoriser la transition vers une économie de marché des pays d'Europe centrale et orientale et de la Communauté d’Etats indépendants (CEI) qui s'engagent à respecter et à mettre en pratique les principes de la démocratie, du pluralisme et de l'économie de marché, et d’y promouvoir l'initiative privée et l'esprit d'entreprise. 

Après le Printemps arabe, la BERD a élargi le champ de ses opérations pour inclure les pays de l’Afrique du Nord. Depuis 2012, la BERD a investi 3,4 milliards d'euros dans 83 projets réalisés par le secteur privé en Egypte, en Jordanie, au Maroc et en Tunisie.

Source de l'article Libération Maroc

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