La Chambre économique tuniso-européenne débutera officiellement son activité en Tunisie.
Cette chambre est une délégation de la Chambre économique européenne EEIGCham, enregistrée aux Nations unies et à Bruxelles comme groupe de pression, ce qui permet aux membres et au gouvernement de développer des relations économiques avec l’Union Européenne.
La Chambre économique tuniso-européenne œuvre à soutenir ses membres dans l’expansion économique internationale et à collaborer avec les gouvernements et les institutions dans le développement socio-économique de la Tunisie. Elle défend les intérêts des entrepreneurs et aide ses membres à l’accès au marché européen et la recherche de partenaires en Europe.
Être membre fondateur de la Chambre économique tuniso-européenne présente plusieurs avantages pour les services fournis, comme la priorité des occasions d’affaires ou présider un comité, aussi bien que d’offrir :
- Le double des recherches gratuites demandées sur le marché européen (pays/produit/partenaire); elles sont incluses dans l’adhésion en tant que membre ordinaire. Il s’agit de cinq recherches par année pour les membres ordinaires et dix recherches par année pour les membres fondateurs. Ce service est disponible sur le réseau des guichets HelpDesk de la Chambre économique tuniso-européenne;
- Une commission brute de 10% payée par la Chambre économique tuniso-européenne au membre fondateur sur les frais d’inscription des nouveaux membres qu’il apporte;
- Une commission brute de 25% des fonds recueillis pour le sponsoring et les dons qu’il apporte à la chambre;
- Une commission brute de 20% sur les frais d’inscription payée par la Chambre économique tuniso-européenne au membre fondateur sur les frais d’inscription des nouveaux membres qu’il apporte à la plateforme ORION;
- 25% de réduction des coûts d’adhésion de la plateforme ORION.
D’autres avantages peuvent être attribués uniquement pour les membres fondateurs par la Chambre économique tuniso-européenne.
Télécharger le formulaire de demande d’adhésion
Source de l'article l’Économiste maghrébin
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